Au niveau du moral, et si ça peut rassurer Pierre, c'est idem ici ....<br /> Mais quelque part, ça s'explique .<br /> Le temps de l'Avent déchaine le diable .<br /> <br /> Et il se fait un plaisir de nous emmerdaver !<br /> Mais ça ne sert à rien .<br /> C'est en surface .<br /> Voir la BNP de ce soir .<br /> <br /> Bien à vous tous .<br /> <br /> Mortimer

Pierre, puisque vous avez le moral au bas des chaussettes, je viens vous tapoter la main...<br /> Comment ce pingouin, sur la photo, a-t-il fait sa marque en forme de coeur ??<br /> <br /> LR

Qu'il est bon de venir sur la Banquise quand le moral est au ras des chaussettes ...<br /> <br /> Ce devait être en 1966, et je rentrais de France à Yaoundé et dans l'avion, stupidement, je n'arrêtais pas de prier pour que l'on n'y arrive pas (des raisons personnelles trop longues à expliquer) ... <br /> <br /> Et bien, cela a "marché". On voyait clairement les lumières de Douala, quand le commandant de bord nous a annoncé que pour des "raisons atmosphériques", nous devions continuer notre route vers Brazzaville.<br /> <br /> A "Brazza", c'était le petit matin et l'on nous a servi le petit déjeuner dans le restaurant de l'aéroport de Maya-Maya.<br /> <br /> Et je me souviens d'un vieux Monsieur blanc, style Neuilly-Auteuil-Passy en costume trois pièces qui demande courtoisement au serveur où se trouvaient les toilettes, et le serveur claque des doigts à l'africaine, pointe son index en répondant "les cabinets, c'est là bas au fond" (je pourrais vous le dire avec l'accent idoine).<br /> <br /> Quand nous sommes repartis, c'était le scandale à l'aéroport de Brazzaville Maya-Maya, puis à celui de Libreville, car personne ne pouvait embarquer, l'avion étant plein de voyageurs pour Douala !<br /> <br /> Arrivé à Yaoundé avec près de douze heures de retard, toutes mes copines et tous mes copains m'attendaient et cela m'a fait chaud au coeur.<br /> <br /> Pierre.