30 janvier 2023
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La bienheureuse Maria Bolognesi (1924-1980) transpire du sang lors de ses extases
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Née d’une mère célibataire non loin de Ferrare (Italie, Emilie-Romagne), fait des petits travaux pour survivre. Sa vie spirituelle est remplie de grâces extraordinaires dont elle parle uniquement à son confesseur.
Le 1er avril 1942, Maria, originaire de la région de Ferrare (Italie, Emilie-Romagne), laïque sans revenus, voit Jésus qui lui transmet un message. Il lui apparaît une seconde fois le 2 janvier 1944. « Ma sueur est à toi. », lui dit le Seigneur ce jour-là. Aussitôt, le corps de Marie se met à suer une grande quantité de sang. Le phénomène dure 5 minutes.
Ces sueurs de sang sont accompagnées d’une immobilité des membres et de toute sensibilité musculaire. Nombre de témoins ont perçu un « parfum indéfinissable, délicat mais intense de fleurs » dans la chambre de la bienheureuse.
Cette sudation se reproduit ensuite tous les vendredis, vers 15 heures : Maria participe à la Passion du Christ dont elle perçoit les scènes successives jusqu’à la crucifixion. Au terme de son extase, les stigmates s’ouvrent aux mains et aux pieds, en particulier aux temps de l’Avent et du Carême.
Mgr Aldo Balduin, dans sa brochure Maria Bolognesi - Une vie pour les pauvres, a noté que toute tromperie et illusion sont exclues d’emblée car les plaies apparaissent instantanément, entraînant une modification inexplicable des tissus, et que ces stigmates sont persistants et inaltérables malgré les tentatives de soins et, qu’enfin, ils se referment sans aucun acte médical, avec « absence de faits suppuratifs ». Leur guérison est « instantanée et parfaite ».
Le pape François a béatifié Maria en 2013.
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Publié par : Caro
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dans
Une Merveille Par Jour