1 janvier 2025
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Les stigmates de la vénérable Thérèse Gardi (1769-1837)
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Personne ne connaît Thérèse Gardi, membre d'un tiers-ordre franciscain, y compris à Imola (Italie), sa ville de naissance, jusqu'en 1893. Cette année-là, une italienne de la région, Maddalena Gottarelli, fait un rêve au cours duquel elle reçoit des instructions d'une précision inouïe sur l'emplacement d'un manuscrit égaré : le journal spirituel de Thérèse, écrit entre 1800 et 1837 par son confesseur, le capucin Carlo Francesco Zanini.
L'ouvrage révèle un événement capital en date du 25 juillet 1804. Ce jour-là, Thérèse reçoit les stigmates de la Passion, aux mains, aux pieds, et au côté. Les plaies s'ouvrent presque ensemble. La douleur est extrêmement vive et il manque de peu que la jeune femme s'évanouisse.
Depuis de longs mois, elle méditait chaque jour sur les souffrances du Seigneur et avait ressenti les jours précédents des douleurs aux emplacements où les plaies allaient apparaître spontanément.
Thérèse, humble, effacée, met tout en œuvre afin de dissimuler ses blessures qui saignent abondamment certains jours, comme le vendredi. Ses stigmates sont restés visibles jusqu'à son dernier souffle.
Le pape François l'a déclarée Vénérable le 22 janvier 2015.
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Publié par : Caro
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dans
Une Merveille Par Jour