<br /> Chère Madame Zouave<br /> <br /> <br /> J'ai bien pensé à faire lire la Comtesse de Ségur à ma petite-fille en voyant sur un catalogue vente livres pour la jeunesse "Un Bon Petit diable",je le lui ai donné à lire,mais ce n'était<br /> peut-être pas le bon moment vu son manque d'enthousiasme . Ce qui ne l'empêche pas fort heureusement d'aimer beaucoup la lecture.<br />

<br /> Vos petits-enfants lisent-ils les oeuvres de la Comtesse de Ségur, chère Téri?<br /> <br /> <br /> Pour ma part je relis régulièrement ses livres et j'y trouve toujours autant de plaisir. "Après le pluie, le beau temps" est son dernier livre, paru en 1871. Et il y est question des Zouaves<br /> Pontificaux, alors vous comprendrez qu'il est particulièrement cher à mon coeur.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Madame Zouave<br />

<br />  Ce que j'ai pu aimer lire les livres de La Comtesse de Ségur chère Madame Zouave ,il y a bien longtemps mais<br /> j'en garde  un très bon souvenir ,je crois bien avoir lu la collection complète , mes parents m'offraient un livre( ou deux à la fois quand il y avait une suite) à<br /> l'occasion d'un anniversaire ,une fête , pour une récompense.Par la suite j'ai donné cette collection à ma  première petite nièce.<br />

<br /> ............. et la Comtesse de Ségur disait comme vous chère Téri :<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Madame Zouave<br />

<br /> Grand merci Mimi. J'ai recherché vos articles et les ai lus attentivement . Je ne sais plus ce que je faisais aux<br /> alentours du 16 juin 2011, mais ils  m'avaient complètement échappé, désolée .<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Bisous.<br /> <br /> <br /> Madame Zouave<br />

<br />   Bonjour à tous! Oui, courage cher Adso . Nos prières pour vous et Tite Rose.<br /> <br /> <br /> Merci chère Philomène de me remettre en mémoire la vie de Saint Eugène de Mazenod.<br /> <br /> <br /> Il pleut encore et toujours  mais!<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br />  <br />

<br /> Courage, cher Adso. On continue de prier pour vous et P'tite Rose.<br /> <br /> <br /> Gros bisous<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Mimi <br />

<br /> Bonjour,<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Quelques nouvelles rapides, vous remerciant de vos prières !<br /> <br /> <br /> <br /> Il a fallu le temps que les médocs disolvent le calcul ! Les médocs brulent aussi l'estomac, et les douleurs, provoquant crampes muscu ! Bon, c'est le serpent qui se mort la queue car les médocs<br /> pour l'estomac et les muscles=pas bon pour les reins ! En ce moment une violente crise par jour, mais cause inconnue !!! ! dois refaire radio rein dans la semaine et examen estomac peut<br /> être ! Comme par internet chez moi, et que pas la t^te à lire, je m'ennui ! Descendre au café à 500 m de chez moi (WIFI)mépuise...Mais bon, toujours plus grave que mes problème, alors<br /> j'offre à NSJC pour les autres banquisards... Merci prier aussi pour tite Rose car très fatiguée nerveusement...<br />

<br /> Bonjour ! Eh bien ici en Alsace toujours pas de pluie !<br /> <br /> <br /> Bonne journée !<br />

<br /> Madame Zouave,  à droite, en dessous de commentaires il y a recherche ! Tapez St Eugène de Mazenod et vous tomberez sur 4 articles sur la vie de ce grand Saint<br /> que j'avais tapé moi-même ( je l'avais copié sur un livret que Dame Philomène m'avait envoyé !<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Mimi <br />

<br /> ... Et il pleut !<br /> <br /> <br />  Bon courage et bonne journée à toutes et à tous.<br /> <br /> <br />      Caro.<br />

<br /> Cela fait longtemps que je n'ai pas préparé de muffins !<br /> <br /> <br /> La pluie est partie chez vous, nous verrons bien si le soleil nous réchauffera : pour le moment, c'est nuageux et je gèle !<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> LR<br />

<br /> Bonjour Philomène ........ et merci pour Saint Eugène .<br /> <br /> <br /> Dommage que Morti a oublié de laisser l'appareil photo à la maison , car juste devant chez<br /> moi, il y a un gros camion qui livre un toit en bois et j'aurais pu faire un p'tit reportage ! C'est impressionant !!! Ze n'avais jamais vu ça .<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Mimi <br />

<br />  <br /> <br /> <br /> Merci chère Dame Philomène pour ce récit passionnant. Je ne connaissais pas Saint Eugène de Mazenod. C'est donc une découverte pour moi.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Madame Zouave<br />

<br /> .... Bonjour à tous !.....ici c'est pluie sans discontinuer ..... mon balcon est bien arrosé <br /> <br /> <br /> aujourd'hui c'est Saint Eugène de Mazenod : <br /> <br /> <br /> Saint Eugène de Mazenod  <br /> Évêque, fondateur de la congrégation des Oblats de Marie Immaculée  <br /> (1782-1861)<br /> <br /> <br />           CHARLES-JOSEPH-EUGÈNE DE MAZENOD vit le jour dans un monde en pleine et rapide évolution. Né à Aix-en-Provence, dans le sud de la<br /> France, le premier août 1782, il paraissait assuré d'une brillante carrière et d'une certaine aisance de par sa famille qui était de la petite noblesse. Les bouleversements de la révolution<br /> française allaient changer cela pour toujours. Eugène n'avait encore que huit ans quand sa famille dut fuir la France en abandonnant ses biens derrière elle. La famille commençait alors un long<br /> et pénible exil qui allait durer onze ans.   <br /> <br /> <br /> Les années en Italie :  <br />         La famille de Mazenod, partit en exil en Italie, passant d'une cité à une autre. Le père, qui avait été Président de chambre au Parlement d'Aix, fut<br /> contraint de s'adonner au commerce pour faire vivre sa famille. Il se montra si peu habile en affaire qu'au bout de quelques années sa famille était proche de la détresse. Eugène étudia quelque<br /> peu au Collège des Nobles à Turin mais l'obligation de partir pour Venise allait marquer pour lui la fin d'une fréquentation scolaire normale.<br />         Un prêtre, Don Bartolo Zinelli, qui était proche de la famille de Mazenod, entreprit de travailler à la formation du jeune émigré. Don Bartolo donna à<br /> Eugène une éducation fondamentale imprégnée du sens de Dieu et du désir d'une vie de piété qui devaient l'accompagner pour toujours malgré les hauts et les bas de son existence.<br />         Un nouveau déplacement, vers Naples cette fois, engendra une période d'ennui doublée d'un sentiment d'impuissance. La famille changea de nouveau, et<br /> cette fois se rendit à Palerme, où grâce à la bonté du Duc et de la Duchesse de Cannizzaro, Eugène goûta pour la première fois à la vie de la noblesse qu'il trouva agréable. Il prit le titre de "<br /> Comte de Mazenod ", s'initia aux habitudes de cour et se mit à rêver à un brillant avenir.<br /> <br /> <br /> Le retour en France : la prêtrise<br />         En 1802, à l'âge de 20 ans, Eugène put retourner dans son pays. Tous ses rêves et ses illusions s'évanouirent rapidement. Il n'était que le " Citoyen "<br /> Mazenod. La France avait beaucoup changé. Ses parents s'étaient séparés. Sa mère essaya de récupérer le patrimoine familial. Elle était aussi très préoccupée de marier Eugène à une plus riche<br /> héritière. Il devint pessimiste face à l'avenir qui s'offrait à lui. Mais son souci spontané des autres, joint à la foi qu'il avait développée à Venise commencèrent à s'affirmer. Il fut<br /> profondément peiné par la situation désastreuse de l'Église de France qui avait été provoquée, attaquée et décimée par la révolution.<br />         L'appel au sacerdoce commença à se manifester en lui et Eugène répondit à cet appel. En dépit de l'opposition de sa mère, il entra au Séminaire<br /> Saint-Sulpice à Paris et le 21 décembre 1811 il fut ordonné prêtre à Amiens.<br /> <br /> <br /> Les engagements apostoliques: Oblats de Marie Immaculée<br />         Revenant à Aix-en-Provence, il ne prit pas la charge d'une paroisse, mais commença à exercer son ministère en se souciant tout spécialement d'aider<br /> spirituellement les plus pauvres : les prisonniers, les jeunes, les employés, les gens des campagnes. Souvent, Eugène fut en butte à l'opposition du clergé local. Mais bientôt il trouva d'autres<br /> prêtres également remplis de zèle et prêts à sortir des sentiers battus. Eugène et ses compagnons prêchèrent en provençal, le langage courant chez leurs auditeurs et non dans le français des gens<br /> instruits. Ils allaient de village en village enseignant le " petit peuple " et passant de longues heures au confessionnal. Entre ces " missions paroissiales ", le groupe se retrouvait pour une<br /> intense vie communautaire de prière, d'étude et de fraternité. Ils s'appelaient " Les Missionnaires de Provence ".<br />         Pour assurer la continuité de l'œuvre, Eugène entreprit une démarche audacieuse, celle d'en appeler au Saint-Père et de lui demander que son groupe soit<br /> reconnu comme congrégation de droit pontifical.  Sa foi et sa persévérance portèrent des fruits et c'est ainsi que le 17 février 1826, le Pape Léon XII approuvait la nouvelle<br /> congrégation sous le nom d'"Oblats de Marie Immaculée". Eugène fut élu supérieur général et il continua d'inspirer et de guider ses membres pendant 35 ans encore, jusqu'à sa mort.<br />         Le nombre des œuvres allait croissant : prédications, confessions, ministère auprès des jeunes, responsabilité de sanctuaires marials, visites de<br /> prisons, directions de séminaires, charges de paroisses. Dans leur accomplissement, Eugène insista toujours sur la nécessité d'une profonde formation spirituelle et d'une vie communautaire<br /> intense. Il aimait Jésus Christ avec passion et il était toujours prêt à assumer un nouvel engagement s'il y voyait une réponse aux besoins de l'Église. La " gloire de Dieu, le bien de l'Église<br /> et la sanctification des âmes " étaient à la source de son dynamisme intérieur.<br /> <br /> <br /> Évêque de Marseille :  <br />         Le diocèse de Marseille avait été supprimé après le Concordat de 1802. Quand il fut rétabli, c'est le vieil oncle d'Eugène, le chanoine Fortuné de<br /> Mazenod, qui y fut nommé évêque. Aussitôt, le nouvel évêque appela Eugène comme vicaire général et c'est ainsi que le chantier immense de la reconstruction du diocèse lui incomba.<br />         Après quelques années, en 1832, Eugène lui-même, fut nommé évêque auxiliaire de son oncle. Son ordination épiscopale eut lieu à Rome. Ce fut considéré<br /> comme un défi au gouvernement français qui prétendait avoir le droit de confirmer de telles nominations. Il s'en suivit une bataille diplomatique serrée. Eugène en fut le centre : accusations,<br /> incompréhensions, menaces et récriminations.<br />         Ce fut une période douloureuse pour lui, douleur accrue encore par les difficultés croissantes de sa propre famille religieuse.  Cependant, il<br /> garda fermement le cap et finalement les affaires s'apaisèrent. Cinq ans plus tard, quand son oncle se retira, il fut nommé évêque de Marseille.<br /> <br /> <br /> Un cœur grand comme le monde :<br />         Bien qu'il ait fondé les Oblats de Marie Immaculée pour apporter d'abord les services de la foi aux pauvres des campagnes de France, le zèle d'Eugène<br /> pour le Royaume de Dieu et son amour pour l'Église amenèrent les Oblats à la pointe de l'apostolat missionnaire. Ceux-ci s'installèrent en Suisse, en Angleterre et en Irlande. En raison de son<br /> zèle, Eugène fut regardé comme un "second Saint Paul".<br />         Des évêques missionnaires vinrent lui demander d'envoyer des Oblats dans leur champ apostolique en expansion. Malgré le petit nombre des membres de son<br /> Institut, Eugène répondit généreusement. Il envoya ses hommes au Canada, aux Etats-Unis, à Ceylan (Sri Lanka), en Afrique du Sud et au Basutoland (Lesotho).<br />  &<br />

<br />  <br /> <br /> <br /> Miam !!! Merci chère Mimi.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Madame Zouave<br />

<br /> Bonjour Madame Zouave, voici quelques muffings de Dame LR pour accompagner votre café ! <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Mimi <br />

<br />  <br /> <br /> <br /> Coucou, me revoilou .......... sous la pluie comme tout le monde <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Le séjour en Bretagne fut moitié sous le soleil, moitié sous la pluie. A Toulouse, ce matin, pluie au menu. Pour un peu, on rallumerait le chauffage.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Je sous souhaite une bonne journée à tous.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Madame Zouave<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br />