LR 03/07/2010 15:39

C'est viscéral : je suis incapable de me lever tard et je ne peux pas traîner au lit quand je suis réveillée.


Le marché à 6h15 l'été, c'est absolument fabuleux !


Malheureusement nos commerçants du coin n'arrivent pas si tôt !


Mais le petit dèj à six heures, seule sur ma terrasse, flanquée de mes deux springers, au frais, à écouter gazouiller les zoziaux....du pur bonheur.


LR


 

Cath...o 03/07/2010 15:10

Ah oui mais moi le matin à 9h ... je dors !!


 


Sauf aujourd'hui où j'ai dû véhiculer mon fils qui partait en camp aux aurores (en tout cas bien trop tôt pour moi !!!). Et figurez vous que j'ai pensé à vous en voyant d'honnêtes strasbourgeois
faire leur marché ... à 6h15 !!!


Comme a dit mon fils aussi éberlué que moi devant cette scène : "mais qu'est-ce qu'ils ne comprennent pas dans le concept de WE, grasse mat' ?.... "

LR 03/07/2010 14:41

Non, Cath...o, je n'irai pas faire les soldes avec vous en plein cagnard un samedi après-midi de surcroît !


Pour moi c'est déjà l'enfer !


Je veux bien faire les soldes un matin à neuf heures, à l'ouverture  des magasins, et encore à condition que ça ne dure pas longtemps !


 


LR (pas vraiment fan de shopping !)

Cath...o 03/07/2010 13:00

Je vous imagine bien faire la même danse de la pluie que le smiley  


Fermez auparavant toutes les fenêtres, que vos voisins n'appellent pas les gentils z'infirmiers en blanc !!!


 


Je vais voir ce que je fais aujourd'hui. Quitte à crever de chaud, autant que ce soit utile, non ? Et puis ça doit bien être climatisé quelque part ??

Filelalaine 03/07/2010 12:52

Cath...o z'êtes complètement , d'aller en
ville cet après-midi, il fait plus de 35° dehors ! Vous me direz il fait bien 32°chez moi...


Je vais tenter une danse de la pluie cet aprem...

Cath...o 03/07/2010 12:40

Je ne vous invite donc pas à venir faire les soldes en ville avec moi cet après midi ?

LR 03/07/2010 12:36

Ma chère Cath...o, vous êtes peut-être citadine...nous pas du tout.


Nous n'aimons que la nature sauvage et la plus déserte possible...


Comme vous dites, il faut de tout pour faire un monde.


L'essentiel est que chacun soit heureux là où il est !


En ce qui concerne les matchs de foot, je dois dire une fois de plus que cela m'indiffère totalement !


LR

Cath...o 03/07/2010 12:32

 


Il faut de tout pour faire un monde :


 


" ... habitant l'arrière-pays de l'Hérault, nous n'avons pas à nous plaindre ..."


 


Ouarf ! Même pour expier les pires de mes péchés je n'y passerais pas 6 mois !!


 

Mortimer 03/07/2010 12:26

ARGENTINA !





Don't cry for me  

un parisien 03/07/2010 12:03

Merci de votre bonne invitation, chère LR, ainsi que de vos commentaires que je n'avais pas aperçus lors de mon premier passage ce matin, il s'agit sans doute de mises à jour que n'avait pas
encore effectuées Morti.


 


Ici à Paris l'orage a enfin éclaté dans la matinée avec de grosses averses tropicales et un peu de tonnerre, pas assez à mon goût, j'ai toujours aimé les atmosphères de fin du monde, mais il ne
semble que ce soit encore pour maintenant !


 


... le match est à 16h, tango-paso-doble contre panzers, si tout se passe normallement les allemands devraient commencer par marquer comme toujours, pour finir complètement écrasés, comme
toujours, c'est du moins ce qu'on peut espérer sur la banquise, sur le FC ils seront pour les boches, c'est moche, tant pis, de toute façon ce message est à caractère diffamatoire, les liseurs
qui sont pour l'Argentine n'auront qu'à venir ici manifester leur désapprobation ou leur zatisfaktion !

LR 03/07/2010 07:40

Continuez, le Parisien, c'est un régal de vous lire !


Je partage tout à fait votre point de vue sur les "vacances obligatoires": le pire est d'entendre les rescapés enfin rentrés chez eux déclarer qu'ils "ont FAIT l'Espagne", ou qu'ils ont "FAIT" la
Grèce...comme s'ils étaient fiers d'avoir ajouté un nom à leur palmarès...


 


Eh bien, nous restons chez nous l'été, vous allez dire qu'habitant l'arrière-pays de l'Hérault, nous n'avons pas à nous plaindre, certes.


J'ai horreur de me trouver dans des foules, que ce soit de gens ou de voitures, j'ai horreur de la promiscuité et du bruit.


Quelques petits déplacements dans ma famille en confiant la maison, les chiens, les poules et le jardin à mon retraité-presque-complètement-retraité et voilà.


Et la maison est ouverte au reste de la famille et aux amis.


Si vous passez par là, faites-nous signe.


 


LR

Ewondo 02/07/2010 23:47

En union de prières pour toutes les intentions de la Banquise.


 


Pierre.

Augustin 02/07/2010 22:40

J'ajoute mes prières à celles de tous les Banquisards, pour toutes leurs intentions, surtout pour celles qui sont nommées ci-dessus.


 


En union de prières,


Augustin

un parisien 02/07/2010 22:26

Je venais de sortir, je passe devant un café au moment où le Brésil marque son but en ouvrant le score 1-0, ça n'intéressait pas grand monde, moi non plus, je suis reparti, j'étais hélas attendu
; par mon dentiste.


 


Pour cette journée d'été, première journée de vacances pour de nombreux parisiens, l'ambiance était plutôt printanière et détendue, ceux qui partent allant s'énerver dans les embouteillages, les
gares ou les aéroports, bienheureux ceux qui restent, j'ai toujours été surpris de voir combien ceux dont les vacances sont finies ont du mal à dissimuler leur satisfaction de rentrer, pour
eux partir c'est bien, revenir c'est encore mieux, le principal avantage d'être parti étant de pouvoir critiquer comment c'est ailleurs, et puis il y a le problème de la nourriture, on est
habitué à ses marques préférées, le folklore c'est marrant un moment mais il ne faut pas que ça dure trop longtemps, on se lasse vite, ceux du nord partent au sud, ceux du sud partent encore plus
au sud, le problème c'est qu'après il n'y a plus que des italiens, des espagols, des grecs ou des arabes et des noirs, tout ça c'est pareil, et dans le fond les pâtes, la paëlla et le
couscous sont meilleur dans le jardin, chérie comme on est bien chez nous, redonne des croquettes au chien et ressers moi un pastis !


 


Bref ceux qui restent à Paris sont des gens zheureux, ici c'est pas la banlieue pourrie, pourrie par l'ennui des riches dans les banlieues aisées, par l'ennui des pauvres dans les banlieues
baisées par le chômage, ainsi va la vie, ainsi va la ville. Tout le monde vient à Paris, du monde entier, c'est la mondialisation partout, tout le monde est pareil : les gens sont contents
d'arriver, je les vois arriver, ils sont encore plus content de rentrer, je les vois partir, c'est mon boulot, mais ils sont contents, ils sont venus, ils ont fait leur devoir, la plupart des
gens qui partent en vacances sont obligés de partir, la pression est forte, seul le pauvre y échappe, dès qu'il n'est plus pauvre il n'y échappe plus, il n'a plus le choix, il doit partir aussi,
maintenant on voit même des habitants de l'Inde à Paris, pas seulement dans les sous-sols des hôtels et les arrières cuisines des restaurants je veux dire, mais aussi aux terrasses des cafés
et dans les chambres d'hôtel, ce ne sont pas des millionnaires dans des palaces, c'est la nouvelle classe moyenne, les chinois arrivent juste derrière, et pas pour vous vendre des montres de
contrefaçons mais pour visiter la Tour Eiffel, c'est pas marrant d'être chinois, faut toujours monter plus haut, je vois souvent des touristes chinois partir dans un taxi conduit par un chinois,
au début ils avaient l'air surpris de se retrouver là, ils se sont habitués, les chauffeurs de taxis chinois entubent encore mieux les touristes chinois car ils peuvent se comprendre facilement,
tous ces pékins s'en sortent très bien.


 


Je change à Montparnasse pour la ligne 4 Porte d'Orléans, c'est toujours l'étuve sur cette ligne, adieu le bon air de Montmartre de la 12 ! je vois la fin de la 1ère mi-temps devant un café
en sortant, rien d'intéressant, ça n'intéresse toujours personne, en sortant de chez le dentiste j'ai oublié le match, je reprends la ligne 4 pour Odéon, direction Gibert où on trouve les
livres qu'on cherche et même ceux qu'on ne cherche pas, apparemment il a plu à Paris, pas beaucoup, pas longtemps, juste un peu, ça n'a rien rafraîchi, pas même mes idées, je prends la rue
des Ecoles où on apprend toujours quelque chose, des gouttes recommencent à tomber, je rentre dans un café et j'apprends que finalement la Hollande a battu le Brésil, je ne suis pas sorti
pour rien, je ramène deux bouquins.