Cathédrale Saint Maurice à Angers .
Avec toutes les intentions de la Banquise .
Pour Florence .
Pour Diane .
Pour Claude
Pour Sam .
Pour notre Banquisarde.
Cathédrale Saint Maurice à Angers .
Avec toutes les intentions de la Banquise .
Pour Florence .
Pour Diane .
Pour Claude
Pour Sam .
Pour notre Banquisarde.
Nous ne sommes pas à Alep !
Mais à Paris ( France ) .
Ils ont tapé fort les guerriers bobos antifas ...
Faut dire que s'attaquer à une procession
catholique ne comporte aucun risque !
Ces crevures ne risquent rien, à moins de
tomber sur un service d'ordre .
Mais visiblement, il n'y en avait pas ....
Silence en France sur tous les merdias !
A part Cnews .
A force de tendre l'autre joue, on perd
la tête ....
Faudra pas s'étonner si ça explose ......
Mortimer
SAINT PAMPHILE
Saint Pamphile était d’une famille riche et bien en vue. Il est né à Béryte (Beyrouth), ville renommée pour ses écoles. Il passa ses premières années à l’étude des différentes sciences, après quoi il obtint les premières charges dans la magistrature ; mais dès qu’il eut connaissance de Jésus-Christ il ne pensa plus qu’à se sanctifier. Il arrêta tout pour se consacrer à la pratique de sa religion. Il changea le sens de ses études et se consacra à l’écriture sainte. Malgré toutes ses connaissances dans l’exercice de la magistrature, il fit son choix et n’hésita pas à se mettre au nombre des disciples de Piérins, successeur d’Origène, à la grande école d’Alexandrie.
Il se fixa à Césarée où, sur ses biens personnels, il constitua une grande bibliothèque dont il fit cadeau à l’Eglise. Au dire d’Isidore de Séville, cette bibliothèque était composée de trente mille volumes. On y trouvait presque tous les ouvrages anciens. Pamphile établit à Césarée une école publique pour l’étude des saintes lettres.
L’Eglise put s’enrichir d’une excellente traduction de la bible faite par Pamphile qu’il édita lui-même à ses frais; il en distribua plusieurs copies gratuitement. En fait, Pamphile travailla toute sa vie sur l’étude et la diffusion des saintes écritures. Il composa l’apologie d’Origène lorsqu’il était en prison avec Eusèbe. De cet ouvrage divisé en cinq livres, il ne nous reste que le premier traduit du latin par Ruffin qui se trouve dans les œuvres de Saint Jérôme.
Pour finir, Pamphile distribua ses biens aux pauvres et avait pour ses esclaves et ses serviteurs les sentiments d’un père plein de tendresse. Lui-même menait une vie très austère et retirée du monde afin de mieux servir Dieu.
Pamphile fut arrêté en 307 sur l’ordre d’Urbain gouverneur de la Palestine. Après avoir été torturé comme savaient le faire les bourreaux romains, il fut remis en prison où il resta pendant presque deux ans avec plusieurs autres chrétiens. Parmi eux, deux catéchumènes furent purifiés par le baptême du feu.
Urbain ayant été décapité sur l’ordre de l’empereur Maximin, il fut remplacé par Firmilien. Ce nouveau gouverneur continua les persécutions. Il fit comparaître devant lui Pamphile avec Valens et Paul. Valens, diacre de l’Eglise de Jérusalem, était un vieillard qui connaissait toute l’écriture par cœur. Paul, né à Jamnia en Palestine, avait toujours montré beaucoup de ferveur. Devant leur foi inébranlable, le juge, sans plus attendre, les condamna à mort ainsi que d’autres chrétiens qui furent exécutés avant eux. De ce nombre furent Porphyre, ancien un esclave de Pamphile qui l'avait traité comme un fils. Réclamant les corps des chrétiens, Porphyre provoqua la fureur du gouverneur qui le fit martyriser avec la dernière barbarie pour finalement le faire brûler encore vivant.
Séleucus de Cappadoce fut condamné à être décapité avec les autres prisonniers. C’était un brave officier qui, en 298, avait déjà été fouetté pour sa foi. Il avait quitté ses fonctions pour se consacrer à la religion.
La sentence contre Pamphile et ses compagnons fut exécutée le 16 février 309. Les corps furent exposés pour que les bêtes sauvages les dévorent mais ils furent ramassés intacts le quatrième jour par des chrétiens qui les enterrèrent.
Eusèbe de Césarée prit Pamphile comme surnom en mémoire de notre saint martyr dont il écrivit la vie.
SAIT JUSTIN
Philosophe, et apologiste de la religion chrétienne, martyr en 167 (v. 2020)
SAINT CAPRAIS
Abbé, + en 430
SAINT WISTAN
Prince de Mercie, martyr en 849
SAINT SIMEON
Reclus à Trèves, + en 1035
BIENHEUREUX PIERRE DE PISE
Fondateur des Ermites de Saint Jérôme, + en 1435
SAINTE ANGELE MERICI
Vierge, + à Brescia en 1540
En ce 1er juin, je vous emmène à Lyon et à Montréal admirer des dessins de rue...
A Montréal, depuis septembre 2017, les yeux s'émerveillent devant les réalisations de l'un de mes neveux. Un excellent coup de crayon, de plume, de bombe à grapher ... Il n'aime pas les murs vides, alors les voilà remplis.
Je vous laisse découvrir quelques échantillons de ses œuvres :
Et pour retrouver ce qu'il fait de mieux, voilà de quoi régaler vos mirettes encore un peu plus ! 😋
https://www.instagram.com/galliumbeaumer/
https://galliumbeaumer.square.site/
Bonne journée à tous !
Caro
Pour Florence
Pour Diane
Pour Claude
Pour Sam
Pour notre Banquisarde
Pour l'abbé Guillaume de Tanoüarn
Pour toutes les autres intentions de la Banquise
Pierre Ewondo
SAINT CANT et SAINT CANTIEN
les deux frères, et
SAINTE CANTIANILLE
leur sœur
Ces saints sont connus sous le nom de martyrs cantiens.
Ils étaient de la famille des Anices, une des plus illustres de Rome, et proches parents de l’empereur Carin, qui favorisa les chrétiens dans les Gaules. Protus les instruisit dans la foi et dans les maximes de la plus haute perfection.
Comme Dioclétien commençait à remplir Rome de terreur, ils vendirent tous leurs biens et se retirèrent à Aquilée ; mais les édits de l’empereur les avaient devancés. Sisinnius général d’armée et Dulcidius gouverneur de la province faisaient chaque nuit des rafles de chrétiens et en remplissaient les prisons.
Lorsqu’ils surent l’arrivée de nos saints, comme ils étaient des personnes de qualité, il fut demandé à l’empereur comment les traiter. Il répondit qu’ils devaient être décapités. Entre-temps, nos futurs martyrs avaient quitté Aquilée à bord d’un char ; mais ce dernier eut un accident et ne put passer le bourg d’Aquæ-Gradatæ. Sisinnius s’y rendit pour leur apprendre l’ordre de l’empereur, mais nos saints répondirent qu’ils ne renieraient pas Jésus-Christ. Ils furent décapités en 304 avec Protus qui avait pris soin de leur éducation. Un prêtre, Zoélus, embauma leurs corps et les enterra dans le même tombeau. Le bourg d’Aquæ-Gradatæ prit le nom de San-Cantiano1.
1. San Canzian d’Isonzo
SAINTE PETRONILLE
Vierge (v. 2020)
Pour Florence
Pour Diane
Pour Claude
Pour Sam
Pour notre Banquisarde
Pour l'abbé Guillaume de Tanoüarn
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Pierre Ewondo
SAINT FELIX Ier
Félix, successeur du pape Denys, était romain. Il fut ordonné le 28 ou 29 décembre 269. L’Eglise d’Orient était alors en proie aux erreurs de Paul de Samosate.
Paul de Samosate était évêque d’Antioche. Il joignit l’hérésie à une conduite scandaleuse. Il soutenait que Jésus-Christ n’était qu’un homme dans lequel le Verbe habitait comme dans son temple. Il enseignait aussi d’autres erreurs sur la trinité et l’incarnation. On examina sa cause par deux conciles à Antioche mais, par son habileté, il parvint à éviter la condamnation. Les pères d’un troisième concile tenu dans la même ville en 269, l’ayant condamné d’hérésie, d’orgueil et d’autre accusations non moins importantes, prononcèrent la sentence d’excommunication et sa déposition et élurent Domnus sa place. Malgré tout, Paul resta dans la maison épiscopale. Alors Domnus eut recours à l’empereur Aurélien qui, bien que païen, commanda que la maison fût donnée à celui qu’avaient désigné l’évêque de Rome et les pères du concile.
Lorsque, plus tard, Aurélien eut publié un édit contre le christianisme, Félix, craignant pour son troupeau baptisa les catéchumènes, encouragea les faibles et travailla à de nouvelles conversions. Au concile d’Ephèse, Saint Cyrille et Saint Vincent de Lérins lui donnèrent le titre de martyr, non pas pour avoir terminé sa vie de façon violente, mais parce qu’il avait beaucoup souffert pour Jésus-Christ. Il était pape depuis cinq ans lorsqu’il mourut le 22 décembre 274 ou le 30 mai selon les différents martyrologes.
SAINT JEANNE D’ARC
(v. 2020)
SAINT FERDINAND III
Roi de Léon et de Castille, + en 1252
SAINT WALSTAN
en Angleterre, + en 1016
SAINT MAUGUILLE
Solitaire en Picardie, + vers 685
Il y a quelques années je vous avais fait entendre, en l’honneur du premier dimanche après la Pentecôte, l’oratorio d’Alessandro Scarlatti « La Santissima Trinita ». Je voulais pour cette année trouver une autre œuvre dédiée spécifiquement à ce dimanche. Cela n’a pas été facile, car peu d’œuvres ont été composées en l’honneur de la Très Sainte Trinité. Mais j’ai réussi à en trouver une 😉 !
Jan Dismas Zelenka (1679-1745) a tout simplement composé une « Missa Sanctissimae Trinitatis » en 1736.
Œuvre écrite pour 4 voix solistes (soprano, alto, ténor et basse), choeur mixte à 4 voix, et un petit orchestre composé de 2 hautbois, 1 chalumeau, 2 violons, 1 viole, et basse continue
Madame Zouave
Pour Florence
Pour Diane
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Pour Sam
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Pour l'abbé Guillaume de Tanoüarn
Pour toutes les autres intentions de la Banquise
Pierre Ewondo
SAINT CYRILLE
Le père de Cyrille se complaisait dans les superstitions et le paganisme. Voyant que son fils avait été instruit dans la religion chrétienne, il le chassa et lui fit subir toutes sortes de mauvais traitements.
Informé de ce qui se passait, le gouverneur de Césarée voulut qu’on lui amenât le jeune Cyrille. Il ne put contenir sa colère lorsqu’il l’entendit confesser le nom de Jésus-Christ ; mais il la dissimula et tenta d’amener l’enfant à se réconcilier avec son père. A quoi Cyrille répondit :
- Je me réjouis des reproches que vous me faites. Je serai reçu auprès de Dieu et je m’y trouverai infiniment mieux qu’avec mon père. Je serai volontiers pauvre sur la terre, afin de posséder les richesses éternelles dans un autre monde. Je ne crains pas la mort, parce qu’elle me procurera une vie meilleure que celle-ci.
Lorsqu’il eut fini de parler, le juge le fit attacher et emmener au supplice ; mais secrètement il ordonna qu’on lui fasse simplement peur.
La vue d’un grand feu où on menaça de le jeter, loin de l’effrayer, ne put ébranler la constance de Cyrille. Alors il fut ramené devant le juge.
- Mon fils, lui dit celui-ci. Vous avez vu le feu et le glaive qui devaient vous donner la mort ; soyez sage et ne courez pas à votre perte.
- Vous m’avez fait un tort réel lorsque vous m’avez rappelé, lui dit Cyrille. Je ne crains ni le feu ni le glaive ; je brûle du désir de rejoindre mon Dieu. Hâtez-vous et qu’on en finisse, afin que j’aie le bonheur de voir rapidement mon Dieu, dit-il, en s’adressant également aux assistants. Pourquoi pleurez-vous ? Vous devez au contraire montrer tous plus de joie ; mais vous ignorez quelle est mon espérance et vous ne connaissez pas le royaume où je vais aller.
Ce furent ses dernières paroles avant sa mise à mort. On croit qu’il fut décapité sous le règne de Dèce ou de Valérien. On lit son nom dans le martyrologe de Saint Jérôme et de Florus.
SAINT MAXIMIN
Evêque de Trèves, + en 349 (v. 2020)
SAINT CONON et son FILS
Martyrs à Icône en Asie, + vers 275
SAINT SISINIUS
SAINT MARTYRIUS
et son frère
SAINT ALEXANDRE
Martyrs dans le territoire de Trente, + en 397
Quelques nouvelles de Diane : elle a terminé sa première série de séances de chimiothérapie qui l'ont fait beaucoup souffrir. Maintenant elle se repose pendant un mois. Ensuite, deuxième série de chimiothérapie. Si la tumeur a suffisamment régressé, elle sera opérée en septembre. Elle est loin d'être tirée d'affaire. J'ai dit à sa maman que nous priions pour elle. Ça l'a beaucoup émue. Elle vous remercie tous pour vos prières. Continuons à la confier à l'intercession de la Sainte Vierge Marie
Pour Florence
Pour Diane
Pour Claude
Pour Sam
Pour notre Banquisarde
Pour l'abbé Guillaume de Tanoüarn
Pour toutes les autres intentions de la Banquise
Pierre Ewondo
Et Oriane
In Christo per Mariam
Madame Zouave
SAINT GUILLAUME LE GRAND
Guillaume ou Guilhem, en langue d’Oc, est né vers 755 et mort le 28 mai 812 à Gellone.
Il descend de Garin de Monglane et d’Ermengart, fille de Charles-Martel. Tous sont de fiers guerriers ayant combattu les Sarrasins. Il est le cousin de Charlemagne, sa sœur est mariée au roi Louis Ier le Débonnaire.
La France est envahie par les Sarrasins. Guillaume, comte des Marches d’Espagne, les combat vigoureusement et avec bravoure. Il les rejette définitivement du pays à la bataille des Aliscans, près d’Arles. Il y bat leur plus grand chef : Abderrhaman.
Charlemagne le nomme en 790, duc de Septimanie (ou de Gothie) de Toulouse en Aquitaine. Il prend la ville d’Orange gouvernée alors par une princesse sarrasine, fille d’Abderrhaman. Par la suite, elle se convertit et épouse Guillaume sous le nom chrétien de Guibourg; la ville devient son lieu de résidence.
Sous les conseils de Saint Benoît d’Aniane, son ami d’enfance, réformateur de l’Ordre Bénédictin, il dote et fonde en 804 dans les gorges de l’Hérault le monastère de Gellone près de Montpellier. Après la mort de sa femme, il se retire en 806 comme simple frère dans le monastère qu’il a fondé. Il y opère plusieurs miracles dont un resté célèbre pour avoir eu le pouvoir d’éloigner le diable. De l’abbaye d’Aniane, Saint Benoît lui envoyait régulièrement des vivres par le seul chemin praticable qui franchissait les gorges de l’Hérault. A chaque fois, le diable effrayait les animaux de charge qui tombaient dans le précipice. Alors Saint Guillaume, avec l’aide de Dieu, ordonna au diable de rentrer dans son trou et de n’en plus sortir. C’est ainsi que le pont porte le nom de Pont du Diable.
Saint Guillaume meurt le 28 mai 812 à l’heure des Complies. Les anges emportent son âme et, dans tout l’empire de Charlemagne, les cloches se mettent à sonner sans qu’aucun homme ne les touche. Guillaume est inhumé dans la chapelle qu’il a fait construire, dédiée à Saint Michel protecteur de la famille Carolingienne. Il fut canonisé peu de temps après sa mort, sa fête se célèbre le 28 mai.
Les chansons de geste le nomment aussi Guillaume d’Orange ou Guillaume au Court-nez, car il avait eu le bout du nez coupé, lors d’un combat sous les murs de Rome, par l’émir Corsolt ; il eut aussi le surnom de Fierbrace qui veut dire bras vaillants.
Dans l’abbaye bénédictine de Gellone, aujourd’hui Saint Guilhem-le-Désert, on peut voir encore le reliquaire en argent en forme de croix renferment un morceau de la Sainte-Croix que Charlemagne lui avait offert.
SAINT GERMAIN
Evêque de Paris, + en 576 (v. 2020)
SAINT CHERON
Martyr au pays Chartrain, Vè siècle
SAINT MAUVIEU
Evêque de Bayeux, + vers 480
Elle a résisté au gel : je fais attention tous les
matins, en ouvrant les volets, pour ne pas
écraser une branche qui se serait
malencontreusement égarée trop à l'est...
Quand je coupe l'herbe folle à son pied, je
surveille brin à brin que je ne commets pas
l'irréparable.
Je l'admire tous les jours. Vous l'avez reconnue :
la clématite.
Merci, mon Dieu, pour la beauté de votre
Création.
Passez une excellente journée.
LR
Pour Florence
Pour Diane
Pour Claude
Pour Sam
Pour notre Banquisarde
Pour l'abbé Guillaume de Tanoüarn
Pour toutes les autres intentions de la Banquise
Et Oriane
In Christo per Mariam
Madame Zouave
SAINT JULES
Jules était un combattant expérimenté, autrement dit un vétéran de l’armée romaine. Il servait dans le même corps que Pasicrate et Valention qui avaient reçu récemment la couronne du martyre. Il fut accusé d’être chrétien par ses propres officiers, devant Maxime, gouverneur de la seconde Mésie, aujourd’hui la Bulgarie. Le juge, comme d’habitude, lui fit des promesses s’il abjurait, mais Jules répondit qu’il ne désirait qu’une chose : mourir pour Jésus-Christ afin de vivre éternellement avec Lui. Il fut donc condamné à être décapité.
Lorsqu’on le conduisit au lieu de son exécution, un soldat chrétien, Hésychius, qui était aussi en prison et fut martyrisé quelques jours après, lui dit :
- Va avec courage et vole vers la couronne que le Seigneur t’as promise. Souviens-toi de moi qui dois bientôt te suivre. Recommande-moi aux serviteurs de Dieu, Pasicrate et Valention qui nous ont précédés dans la confession du saint nom de Jésus.
Embrassant Hésychius, Jules lui répondit :
- Hâte-toi, mon cher frère, de venir à nous. Ceux auxquels tu me charges de te recommander ont déjà entendu notre prière : Mandata tua jam audierunt quos salutasti.
Ensuite on lui banda les yeux. Présentant son cou au bourreau, il déclara :
- Seigneur Jésus, pour le nom duquel je souffre la mort, daigne recevoir mon âme au nombre de celles de tes saints.
Son martyre eut lieu le 27 mai 302 à Durostoro (Sillistra) sur le Danube.
SAINT JEAN Ier
Pape et martyr en 526 (v. 2020)
SAINT BEDE
Père de l’Eglise + en 755
SAINT EUTROPE
Evêque d’Orange, + après 475
SAINT HILDEVERT
Evêque de Meaux et patron de la ville de Gournay en Normandie, + vers l’an 680
Pour Florence
Pour Diane
Pour Claude
Pour Sam
Pour notre Banquisarde
Pour l'abbé Guillaume de Tanoüarn
Pour toutes les autres intentions de la Banquise
Pierre Ewondo
Et Oriane
In Christo per Mariam
Madame Zouave
A copier-coller pour les PPP !