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10 mars 2019 7 10 /03 /mars /2019 06:10
Bon et Saint premier dimanche de Carême à tous !

 

 

 

 

 

L’âge baroque musical fut d’une extrême richesse. J’essaie de vous faire découvrir des compositeurs dont on parle moins, mais qui furent d’une manière ou d’une autre, importants par l’influence qu’ils exercèrent sur leurs contemporains ou immédiats successeurs.

 

Ce fut le cas de Nikolaus Bruhns né à Husum (non loin de Hambourg), en 1665 et mort dans la même ville en 1697.

 

Né dans une famille de musiciens, il apprit très tôt à jouer de l’orgue, puis partit pour Lübeck où il étudia le violon et la viole de gambe avec son oncle. Il approfondit sa pratique de l’orgue et étudia la composition avec le grand compositeur Dietrich Buxtehude. Sur la recommandation de ce dernier, Bruhns passa quelques années à Copenhague, avant de revenir en 1689 à Husum comme organiste de la Stadtkirche. C’est là qu’il mourut prématurément à l’âge de 32 ans.

 

La première biographie de Jean Sébastien Bach parue en 1802 à Leipzig nous apprend (grâce au témoignage de ses fils) que JS Bach connaissait et admirait Bruhns.

 

Du fait de sa courte vie, ses compositions ne sont pas très nombreuses. Mais il se trouve aussi que, malheureusement, la plus grande partie de celles-ci sont perdues. On en connaît l’existence à travers les documents d’époque. Seules 17 (dix sept) de ses œuvres sont parvenues jusqu’à nous : 12 cantates et 5 œuvres pour orgue !!!

 

 

 

Vous allez entendre aujourd’hui sa cantate  « Muss nicht der Mensch auf dieser Erden in stretem Streite sein » (l’homme ne doit pas être en lutte permanente sur cette terre)

 

 

 

Œuvre pour 4 voix (soprano, alto, ténor et basse), orchestre à cordes, 2 clarini (sorte de trompette aigüe) et basse continue

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Madame Zouave

 

 

 

 

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commentaires

E
La semaine prochaine je vais voir les "maraudeurs" (ceux qui, le soir, vont visiter les Sans Abris in situ). Parmi eux un Coréen et je vais préparer un plat qui généralement fait défaillir les Occidentaux comme le munster les Extrêmes Orientaux : le kimchi (hangeul : 김치 ; hanja : 沈菜) sorte de choucroute que je prépare au chou rouge lactofermenté, huîtres, nuoc mam, ail, piment rouge, pommes broyées au blender, huile de sésame ... personnellement j'en raffole car j'ai des goûts, disons, très exotiques !<br /> <br /> Mais au moins l'ami coréen me fera sa critique.<br /> <br /> Pierre.
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E
Mon modeste apport au repas des Sans Abris vient de partir. J'ai préparé un taboulé à la menthe poivrée, passata et tomates séchées à l'ail.<br /> <br /> Pour la première fois non pas aux magrets de canard sechés (non arrivés ... pourtant en Chronopost frais ;-(:-(;-( mais au cochon. Saucisses fumées et jambon, mini gras et hyposodé).<br /> <br /> Capuccino au lait d'amandes.<br /> <br /> J'espère que ça leur plaira.<br /> <br /> Pierre.
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E
Deo Gratias ! Un de nos jeunes paroissiens (45 ans, c'est un gamin pour moi ;-) a signé son contrat d'embauche hier ... un an et demi de galère avec sept enfants dont le plus jeune ... 6 mois.<br /> <br /> Pierre.
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E
Mot Spirituel de l'abbé Forestier :<br /> <br /> Dimanche 10 mars : 1° dimanche de Carême<br /> <br /> Retire-toi, Satan ; car il est écrit : "Tu adoreras le Seigneur, ton Dieu, et tu ne serviras que lui seul ! "<br /> <br /> L’Evangile de ce jour est d’une puissance étonnante. Il nous montre d'abord le diable à l’œuvre, comme l'auteur des tentations de cette terre. Saint Paul dira que nous avons ici-bas à lutter surtout contre les esprits mauvais répandus dans les airs… <br /> <br /> Avis à ceux qui entrent en Carême : ils défient le démon, qu’ils soient sur leurs gardes ! Mais le point le plus frappant, c’est la violence de ce récit. Le diable s’approche de manière doucereuse, avec des raisonnements parfaitement ciblés. Et le Seigneur répond la vérité avec des phrases courtes, lapidaires, incisives :Tu ne tenteras pas le Seigneur ton Dieu ! Arrière, Satan ! Nous ne sommes pas dans la faiblesse de la Passion mais dans la puissance du Seigneur. Si un réalisateur s’avisait de mettre en scène ce passage, qu’il ne se trompe pas en montrant un Christ doucereux et calme, nous sommes en face d’un combattant…<br /> <br /> A travers cet épisode, le Seigneur nous apprend à savoir DIRE LA VERITE. Bien sur qu'on doit parfois, par prudence, ne pas tout dire à celui qui se trouve devant nous, mais combien de fois aussi sommes-nous lâches et nous n’osons pas dire la vérité ?<br /> <br /> Le monde en crève de ce qu’on ne dise pas la vérité : vérité sur le salut ou la perte que nous risquons, vérité sur l’obligation d’adhérer au catholicisme clairement connu, vérité sur notre devoir de respecter toute la morale et de confesser nos péchés ! Dans l’histoire de Benoîte Rencurel, la voyante du Laus, on lit qu’elle eut un jour la visite de protestants qui lui demandèrent : est-il nécessaire d’être catholique pour être sauvé ?A ces<br /> hommes qui, visiblement avaient été touchés par la grâce des apparitions du Laus, mais manquaient de courage pour devenir catholiques, Benoîte, un peu<br /> gênée, répondit : J’en laisse le jugement à Dieu !<br /> <br /> La sainte Vierge lui reprocha par la suite cette parole en lui disant : Si tu avais dit la vérité, ils se seraient<br /> convertis…<br /> <br /> Pratique : éviter tout respect humain (la<br /> honte d'être chrétien).
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E
Bon et Saint Premier Dimanche de Carême à toute la Banquise et merci à Madame Zouave de nous faire découvrir un nouveau compositeur.<br /> <br /> À Adeodat, je n'avais pas pensé aux fiacres hyppomobiles et à leur cochers. Pourtant ma grand mère qui avait vécu fin du XIXè siècle n'a vu la première voiture automobile que quand elle avait 16-17 ans ...<br /> <br /> Pierre.
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M
Merci Madame Zouave pour cette très belle page musicale .<br /> <br /> Merci à Adeodat pour la réponse à l'énigme, je n'avais pas trouvée . Bon dimanche à tous .
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C
Merci à Madame Zouave, de nous faire connaître ce compositeur. Bon dimanche la Banquise.
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S
Je savais que le poète Theodor Storm était né dans cette petite ville (qu'il a immortalisée dans Du graue Stadt am Meer), mais j'ignorais qu'il y avait aussi ce compositeur.<br /> C'est largement au nord de Hambourg, sur la côte ouest du Schleswig-Holstein, en bordure de la mer des Wadden, maintenant site de l'Unesco, où l'on trouve les Halligen, des îlots sableux submersibles, longtemps habités grâce à des maisons situées en haut d'une butte.<br /> Vous avez compris que je connais cette région et que je l'aime.
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A
SANCTORAL<br /> <br /> LES QUARANTE MARTYRS DE SEBASTE, l'an 320 Sébaste, ville de la Petite Arménie sous l'Empereur Licinius.<br /> <br /> SAINT CAIUS et SAINT ALEXANDRE, martyrs à Apamée en Phrygie en 279.<br /> <br /> SAINT MACKESSOGE ou KESSOGE, évêque des Provinces de Levin et de Boyn en Ecosse. + 560.<br /> <br /> SAINT DROCTOVEE, premier abbé de Saint Vincent, aujourd'hui Saint Germain des Prés. + 580.<br /> <br /> SAINT ATTALE, second abbé de Bobio en Italie + 627. Natif de Bourgogne il fut instruit par Saint Arige évêque de Gap.<br /> <br /> SAINTE MARIE-EUGENIE Milleret Fondatrice des Religieuses de l'Assomption + 1898<br /> <br /> SAINT MATTHIEU del Castillo, mexicain canonisé par Jean Paul II + 1928<br /> <br /> SAINTS PIERRE Ch'oe Hyong et JEAN BAPTISTE Chon Chang-un martyrs en Corée + 1866<br /> <br /> VENERRABLE RACHELE Ambrosini jeune laïque italienne + 1941
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A
Martyrs de Sébaste: 40 soldats qui refusèrent de sacrifier aux idoles.
A
Réponse à l'énigme:<br /> <br /> Les plaques de rues dites aussi de cochers sont à cette hauteur, car vous l'avez déjà compris, pour qu'elles soient bien visibles des cavaliers, des cochers de fiacres et de diligences.<br /> <br /> C'est en 1728 que pour la première fois le Lieutenant de Police de l'époque fait apposer des plaques en fer-blanc indiquant le nom des rues de Paris. Plus tard un arrêté de 1844 du Préfet Rambuteau rend obligatoire les plaques de rues en Pierre de Volvic, qui seront par le suite remplacées par des plaques émaillées avec des lettres blanches sur fond bleu.<br /> Parallèlement, en 1841 dans les carrefours, des plaques directionnelles sont placées également à l'intention des cochers. Elles sont en fonte peintes en bleu avec lettres blanches. Elles comportent des flèches de direction et des distances en km. On en trouve encore dans les carrefours en campagne. Une association c'est créée pour les restaurer.<br /> <br /> Bon et saint dimanche à tous<br /> <br /> Adeodat
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