Coucou, me revoilou ! Les vacances sont finies et bien finies, et la Page Musicale est de retour, elle aussi 😀
Pendant l'été, j'avais commencé à vous parler des cantates profanes de Jean Sébastien Bach qu'il donnait notamment au Café Zimmermann à Leipzig. Je vous en propose une nouvelle aujourd'hui (BWV 206) : "Schleicht, spielende Wellen" (Glissez, ondes folâtres).
Cette cantate, initialement prévue pour célébrer l’anniversaire du Prince Electeur de Saxe (et roi de Pologne sous le nom d'Auguste III) le 7 octobre 1734, ne fut en fait exécutée pour la première fois que deux ans plus tard, le 7 octobre 1736, au Café Zimmermann.
Il y a onze mouvements :
- Chœur : Schleicht, spielende Wellen
- Récitatif O gluckliche Veranderung!, basse
- Aria : Schleuss des Janustempels Turen, basse
- Récitatif : So recht! begluckter Weichselstrom!, ténor
- Aria : Jede Woge meiner Wellen ruft, ténor
- Récitatif : Ich nehm' zugleich an deiner Freude teil, alto
- Aria : Reis, von Habsburgs hohem Stamme, alto
- Récitatif : Verzeiht, bemooste Haupter starker Strome, soprano
- Aria : Hort doch! der sanften Floten Chor, soprano
- Récitatif : Ich muss, ich will gehorsam sein, soprano, alto, ténor et basse
- Chœur : Die himmlische Vorsicht der ewigen Gute
Œuvre composée pour 4 solistes (soprano, alto, ténor et basse), chœur, flûtes traversières I, II et III , hautbois d’amour I et II, trompettes I, II et III, timbales, cordes et basse continue.
Madame Zouave