Je commençais à me languir sérieusement de la musique de mon Antonio Vivaldi préféré . Je vous ai donc sorti de ma collection un de ses "Beatus Vir", le RV 795.
Ce dernier a une histoire un peu particulière. Il fut identifié seulement en 1992 à Dresde qui est la ville où, après Turin, se trouvent conservée la plus grande quantité de compositions vivaldiennes. Il faisait partie d’un lot de partitions attribuées au compositeur Baldassare Galuppi, natif de Burano, île de la lagune de Venise.
Par la suite on retrouva trois autres œuvres de Vivaldi au milieu de ce lot de partitions, dont le Dixit Dominus RV 807 que je vous ai déjà fait écouter.
Madame Zouave