Elle est malheureuse sur le plan matrimonial. Parallèlement, elle mène une vie chrétienne exemplaire, pleine de grâces extraordinaires.
Le 8 décembre 1820, le Christ lui apparaît et lui fait part des difficultés rencontrées à cette époque par le pape, en ajoutant : « Je frapperai les hommes d’un grand châtiment si les hommes, et, en particulier, les ennemis de son Église, continuaient d’ourdir des complots contre elle. »
Elisabeth s’offre à cet instant comme victime expiatoire pour la réconciliation de tous. Le visage de Jésus rayonne alors d’une lumière surnaturelle. Ses traits expriment une paix inconnue ici-bas. Il dit : « Fille bénie de mon Père, ta prière m’est très agréable. Ton sacrifice et tes mérites m’apaisent. Je suspends le châtiment mérité et je fais place à ma miséricorde. »
Elisabeth quitte ce monde cinq ans plus tard, après des dizaines de visites de Jésus et de Marie.
Elle est béatifiée en 1994.
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