à tous.
Comme vous le savez, j’avais choisi dimanche dernier de vous faire écouter une cantate de Jean Sébastien Bach, mais les évènements tragiques que nous avons vécus m’avaient amenée à changer mon programme.
Il s’agissait de la cantate BWV 26 que je vous propose donc aujourd’hui. Son titre "Ach wie flüchtig, ach wie nichtig", en français: "Ah ! combien fugitive, ah ! combien vaine est la vie de l'homme". Ce titre me semble aujourd’hui tellement prémonitoire
Cette cantate fut exécutée pour la première fois à Leipzig le 19 novembre 1724 pour le 24e dimanche après la Trinité, soit le 25e dimanche après la Pentecôte. L’œuvre est écrite pour cor d’harmonie, trois hautbois, flûte traversière, deux violons, alto et basse continue, avec quatre solistes (soprano, alto, ténor, basse) et un choeur à quatre voix.
- Choeur : Ach wie flüchtig, ach wie nichtig
- Aria (Ténor) : So schnell ein rauschend Wasser schießt
- Récitatif (Alto) : Die Freude wird zur Traurigkeit
- Aria (Basse) : An irdische Schätze das Herze zu hängen
- Récitatif (Soprano) : Die höchste Herrlichkeit und Pracht
- Choeur : Ach wie flüchtig, ach wie nichtig
Madame Zouave