Le jour de Noël 1984, un citoyen allemand âgé d’une cinquantaine d’années, résidant à Ellwangen (Allemagne, Bade-Wurtemberg), resté anonyme, ressent des douleurs inhabituelles à l’abdomen.
Cinq jours plus tard, son état se dégradant, il est hospitalisé. Le 1er janvier 1985, il reçoit les derniers sacrements.
À la mi-janvier, on le transporte en hélicoptère à Ulm (Allemagne, Bade-Wurtemberg).
Les médecins semblent impuissants. L’état du patient se passe de commentaire : colite aigüe enflammée, septicémie, polmonite avec insuffisance respiratoire, hémorragie digestive, hémophilie et ulcère gastroduodénal.
Sa famille est croyante. Avec ses amis, chacun de ses membres supplie le vénérable jésuite Johann Philipp Jeningen de lui venir en aide, malgré une issue qui apparaît inéluctable.
L’homme est plongé depuis près de trois semaines dans un coma profond lorsqu’il ouvre les yeux le 23 janvier 1985. C’est l’étonnement. Rien ne peut expliquer un tel réveil, à ce stade clinique.
Le 8 février suivant, il quitte l’hôpital et rentre chez lui, guéri.
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