« Dell’aura al sussurar * », première aria, pour chœur et 2 solistes (soprano et ténor), de « Dorilla in Tempe » d’Antonio Vivaldi, operia seria (1726), puis pasticcio (1734). Merci Pierre !
Madame Zouave
* Et si vous reconnaissez la mélodie du thème principal du « Printemps », concerto du même Vivaldi, ce n’est pas une coïncidence
Certains reconnaîtront évidemment Raymond Devos....
Pendant que le chef se promène voici ce qu'il m'a fallu affronter dans la bonne ville de Marseille...
Au début juste un petit tour par le bus... Voyant cette furie je n'ai pu résister à m'arrêter en milieu de parcours pour faire quelques photos (une des rares fois où je n'avais pas emmené mon appareil, donc c'est avec mon téléphone que je les ai faites)...
Connaissant le "truc" je me méfiais donc des vagues s’abattant sur la falaise... Malgré ma prudence, je fus trempé ! Un beau paquet de mer que je n'ai pas vu arriver.
Pour la partie rigolote la mairie de Marseille déconseillait aux utilisateurs de deux roues d'utiliser cette voie... par contre pour les piétons... rien !
Quand je pense que samedi le temps était radieux......
On ne voyait même plus la Côte Bleue depuis la Bonne Mère... Et avec en haut un vent à décorner les boeufs. Je me demande si je n'ai pas mérité un diplôme de breton d'honneur en faisant le tour de la basilique sur la terrasse....
Il a fait de sacrés dégâts en 79 après JC...
Voyez : Herculanum....
Oui, je sais...ce n'est pas gai...
Je me demande comment vivent aujourd'hui les gens qui habitent dans le coin.
Qui est ce personnage ? (Je ne pouvais pas vous laisser avec des squelettes, vous auriez fait des cauchemars...)
Je suis sûre que certains banquisards auront la réponse !
Bonne continuation
LR
Nous étions à Malte donc .
Seigneur !
Déjà un mois ...
Une des résidences de la présidente de Malte .
Elle en a 3 !
C'est pour LR !
Inutile de traduire je pense, vu que sur la
Banquise tout le monde parle anglais !
Hum .......
Le lendemain nous arrivions à Barcelone .
Mais je ne retrouve pas les photos .....
Mirabelle va s'en occuper !
C'était notre première croisière, et on s'est
dit que ce n'était peut être pas la dernière ....
Parce que c'est merveilleux !
Si Dieu le veut !
Bien à vous tous .
Mortimer
C'était le 9 mai dernier ...
Monreale au dessus de la ville .
C'est superbe !
Puis, la cathédrale de Palerme .
Et puis la Plazza Pretoria .
Une superbe fontaine avec de très belles
gargouilles .
Là aussi, excursion tout en taxi à un prix
raisonnable !
Si on a peur de la circulation, on peut
essayer cela .......
Bon, demain on se retrouve à Malte et
en Jeep .......
Bien à vous tous .
Mortimer
Impossible de voir le Vésuve à cause d'une
couronne de nuages .....
Le principal est qu'il soit resté sage !
C'est vraiment une terrible menace .
Les excursions proposées pendant la croisière
sont chères !
On peut très bien se débrouiller en négociant
un même parcours avec un taxi !
Et le prix devient modique ....
Et pour aller dans ces ruelles vaut mieux
être avec un professionnel ....
Ceci dit, ils conduisent comme des fous !
Allez hop, demain on débarquera en Sicile où
là aussi la circulation automobile se rapproche
encore plus de la magie ......
Bien à vous tous .
Mortimer
C'est un beau bateau !
Nous étions au pont 9 .
Il y en a encore 3 plus haut .....
Faut pas avoir le vertige .
La cabine avec balcon était très agréable .
Tout est si grand !
On n'imagine pas être plus de 3 000 à
bord .....
Plusieurs restaurants, des dizaines de bars ....
Des ascenseurs à chaque pont .
Une organisation parfaite .
Et un personnel chaleureux et attentif !
Comme ici au restaurant :
Zut !
Ce n'est pas la bonne photo .......
Bref, c'est une première pour nous, et
nous sommes enchantés !
On va envisager une suite ...
Si Dieu veut .
A suivre sur la Banquise 2 textes sur la RIB
à Lyon .
Un de Tonio la Fripouille, et l'autre des
soeurettes .
Puis bien sûr, la suite de la croisière avec
des photos de Savone, Naples, Palerme,
de l'île de Malte et de Barcelone .
Bien à vous tous .
Mortimer
Comme il n’est pas possible de résumer en quelques paragraphes la bataille de
Loigny, je ne parlerai ici que de l’action des Volontaires de l’Ouest (placés sous le commandement du Général de Sonis) et de la bannière qui servit de fanion
à leur régiment.
Les Volontaires de l’Ouest à la bataille de Loigny
2 décembre 1870
Le général Gaston de Sonis (1825-1887) se trouvait en Algérie lorsque la guerre
franco- prussienne éclata en Juillet 1870. A sa demande, il fut envoyé en France
en octobre et Gambetta lui confia alors le commandement du 17e corps
de la 2ème Armée de la Loire.
Le monument du Général de Sonis à Loigny
C’est ainsi que le 1er décembre 1870, il retrouva sur la route de Patay
les Volontaires de l’Ouest commandés par le Colonel de Charette.
Ce bataillon, composé en grande partie d’anciens Zouaves Pontificaux,
avait été incorporé dans l'Armée de la Loire et était donc passé sous
son commandement.
Sonis et Charette firent route ensemble, en compagnie du Père Doussot,
religieux dominicain,aumônier des Volontaires de l’Ouest. Ce dernier leur
parla notamment du seul moyen de salut qui restât à la France : redevenir
pleinement chrétienne.
Alors Sonis leur montra le fanion que portait un de ses spahis :
une croix blanche sur fond bleu, et leur dit : « Il est vrai que cette
croix héraldique ne parle pas assez de Jésus Christ. J’y avais bien fait peindre
d’abord un crucifix, mais il était si mal fait que je n’en voulus pas. »
« Eh bien, mon général, tenez, j’ai ce qu’il vous faut », lui répondit le Colonel
de Charette.
Et il lui conta l’histoire de la bannière du Sacré Cœur qu’il transportait avec lui.
Ce récit émut profondément Gaston de Sonis. Il décida que, puisqu’elle avait été
donnée aux Zouaves, c’est un zouave qui la porterait, chargeant
le Colonel de Charette de désigner lui-même le porte-fanion.
Leur route les amena enfin à Saint-Péravy-la-Colombe où ils firent halte
pour la nuit.
A deux heures du matin, le Père Doussot célébra la Messe dans l’église
du village.
C’était le premier vendredi du mois, jour de l’office du Sacré-Cœur.
Le Général de Sonis, le Colonel de Charette, ainsi que nombre de Zouaves
Pontificaux, y assistèrent et communièrent.
Cette veillée d’armes fut la dernière pour beaucoup. Le soir même la plupart
gisaient blessés ou morts sur le champ de bataille.
La communion suprême des Zouaves (tableau de Lionel Royer dans l’église de Loigny)
Après l’action de grâces, l’ordre fut donné aux troupes de se diriger vers Loigny.
La bataille faisait rage dans la plaine de Beauce entre les Allemands et l’Armée
de la Loire.
Pour repousser les troupes allemandes et les empêcher d’encercler
les 16ème et 17ème Corps, Sonis devait absolument reprendre à l’ennemi
le village de Loigny.
Malgré tous ses efforts, les soldats du 51ème régiment d’infanterie
refusèrent de poursuivre le combat et se couchèrent dans les sillons.
Il leur dit alors : « Eh bien, puisque vous ne savez pas mourir pour la France,
je vais faire déployer devant vous le drapeau de l’honneur.» Il s’élança au galop
et rejoignit les Zouaves Pontificaux. Tous voulaient le suivre. Il en prit 300 qui se
joignirent aux Mobiles des Côtes du Nord et aux francs-tireurs de Tours et de Blidah.
La nuit tombait.
Le général de Sonis dit au Colonel de Charette : « C’est le moment de faire
déployer la bannière du Sacré Coeur. » Et ils partirent à l’assaut de Loigny.
La charge des Zouaves Pontificaux
Pour atteindre le village, les Français devaient franchir un petit bois
où les Allemands s’étaient retranchés Le Général de Sonis et le Colonel
de Charette à leur tête,
les Volontaires de l’Ouest s’élancèrent aux cris de « Vive la France !
Vive Pie IX ! ».
Henri de Verthamon les précédait, tenant haut la bannière.
Une pluie de projectiles s’abattit sur eux. Sonis fut grièvement blessé à la cuisse
et s’effondra.
Puis, Henri de Verthamon fut touché à mort.
Le Comte de Bouillé se précipita pour reprendre la bannière, mais il tomba à
son tour, mortellement blessé. Son fils Jacques la reprit. Quelques minutes
plus tard,il était tué.
Son gendre, Edouard Cazenove de Pradines s’en empara, fut grièvement blessé
au bras et laissa échapper la bannière. Le zouave Le Parmentier parvint à la saisir,
mais fut blessé à son tour.
Les Zouaves Pontificaux, grâce à leur héroïsme, parvinrent dans un
premier temps à chasser l’ennemi du bois et à atteindre les premières
maisons de Loigny.
Mais lorsque les Allemands s’aperçurent qu’ils étaient très peu nombreux,
ils les pourchassèrent et les repoussèrent.
La retraite fut sonnée. Les Zouaves se replièrent en bon ordre. Plusieurs furent
encore tués, le Colonel de Charette fut blessé. Le sergent Landeau, qui avait réussi à récupérer la bannnière, teintée du sang de tous ses défenseurs et trouée par les balles,
parvint à la rapporter à l’arrière.
Il la confia au Père Doussot qui la cacha sous sa robe blanche pour la soustraire aux
Allemands.
La bannière était sauvée.
Tués en portant la Bannière : Henri de Verthamon, Fernand et Jacques de Bouillé
Partis 300, les Zouaves Pontificaux laissèrent sur le champ de bataille
198 des leurs, tués ou blessés, dont 10 officiers sur 14.
Leur sacrifice ne fut pas vain.
Ils sauvèrent l’Armée de la Loire du désastre, en empêchant le mouvement
d’encerclement de l’armée allemande.
La nuit du 2 décembre (tableau de Lionel Royer dans l’église de Loigny)
Repartons donc à Londres, pour la dernière partie de mon voyage !
Le dernier jour je suis allé dans un musée un peu particulier. Le musée des Transports de Londres. Etabli dans un ancien dépôt de bus en plein centre à Covent Garden.
Ce musée expose différents matériels ayant circulé dans Londres.
Bus, tramway (à deux étages !), métro, et taxi !
Covent Garden... C'est l'équivalent des Halles à Paris
Imaginez donc un peu à l'époque les personnes en habit sortant de l'Opéra et se retrouvant au milieu des marchands et autres joyeusetés... Vous pourrez utilement voir My fair lady (tiré de Pygmalion de G. B. Shaw) pour vous faire une idée...
Aujourd'hui tout a bien changé. C'est un quartier touristique où vous trouverez les dernières boutiques à la mode.
Après Covent Garden je me suis promené sur Withehall depuis Trafalgar jusqu'à Westminster. (Tout en me trompant de station de métro.... Descendre à Picadilly au lieu de Charing Cross, et chercher la sortie qui donne sur Withehall...)
Aldmiraty Arch et Nelson sur sa colonne...
Et en bas de Withehall, le Parlement avec sa célèbre tour.
Juste à côté il y a Westminster Abbey, lieu de toutes les cérémonies religieuses officielles.
Après il était temps de retourner à la gare pour retrouver le continent...
Voilà, enfin.... Un petit article sur mon séjour outre Manche.
Londres, fascinante et si proche. Pour les Parisiens il n'a pas beaucoup de dépaysement ! A part peut-être la langue, et la conduite à gauche (!), ce qui peut être dangereux lorsqu'on traverse une rue ! Surtout que les Londoniens font comme les Parisiens, ils traversent n'importe où et n'importe quand.
Londres est une ville agréable et très verte. On trouve des grands, très grands parcs en pleine ville.
Hyde Park fut donc l'objet de ma première promenade, le temps s'y prêtant (j'ai eu de la chance !).
Après avoir traversé Kensington Gardens je me retrouve à Kensington et décide de me rendre à la Tour de Londres en bus. Heureusement que je n'étais pas pressé, j'ai mis à peu près deux heures... Un premier bus pour aller jusqu'à Trafalgar puis un deuxième pour aller à la Tour de Londres. La deuxième ligne de bus est la seule ligne qui utilise encore quelques célèbres bus rouges, les Route Masters. Les autres lignes ont bien des bus à deux étages, mais plus modernes (avec la clim !!).
Après cet épuisant trajet, j'ai vu la Tour de Londres et le célèbre Tower Bridge, j'y suis retourné le lendemain matin pour visiter tout cela.
Donc le lendemain me voilà reparti vers la Tour de Londres. Ce n'était pas forcément très simple, car le métro avait beaucoup de lignes fermées pour travaux ce week-end là et il y avait un événement à Trafalgar ce qui gênait les bus...
J'ai donc pris le train de banlieue pour 3 arrêts afin de rejoindre une ligne de métro qui fonctionnait partiellement.
La Tour de Londres
L'entrée des monuments peut être très chère car il n'y a pas ou peu de subvention de la part de l'Etat, de plus la Tour est un bien de la Couronne Britannique et non de l'Etat, donc 25 £ l'entrée (soit 32 € environ).
Vous pouvez effectuer une visite conduite par un des célèbres gardes les yeomen. L'ayant déjà faite (il y a bien quinze ans...) et surtout vu le monde, j'ai préféré visiter tranquillement. J'ai donc aussi vu les célèbres corbeaux.
La légende veut que, s'il n'y a plus de corbeaux à la Tour de Londres, la monarchie tombera. Les mauvais sujets peuvent être exilés pendant plusieurs mois dans une autre résidence royale.
Après la Tour, je n'avais qu'à faire quelques mètres pour voir et visiter le Tower Bridge.
Le Tower Bridge, construit fin XIXème, permet le passage des bateaux grâce à une partie basculante du tablier central.
On peut monter (en payant !) sur les passerelles hautes et avoir une vue magnifique sur la Tamise et Londres.
Mon après-midi fut consacré à quelque chose de plus terre à terre : le shopping !!
Ce que je ne savais pas c'est que c'était le début des soldes.Et là-bas c'est pire que chez nous, c'est une religion !
Voulant me rendre dans un certains magasin du centre de Londres, j'avais décidé de prendre un bus devant mon hôtel qui m'amenait directement à l'endroit désiré : Oxford Circus. Avec une circulation intense cauchemardesque sur Oxford Street... (la fameuse taxe pour rentrer dans le centre ne semble pas très efficace). Mais j'ai compris pourquoi en voyant le monde dans la rue... le début des soldes.
Personnellement je suis allé dans le plus grand magasin de jouets du monde: Hamley's ! Et j'en suis ressorti avec ça :
Et après Oxford Circus je suis allé à South Kensington pour aller dans le plus célèbre des magasins londoniens :
Eh oui, chez Harrod's. Magasin très surprenant, et surtout un vrai labyrinthe ! Avec un escalier égyptien surprenant (comprenez : déco hyper lourde) et des ascenseurs du même style.
Après cette après-midi fatigante je suis rentré à l'hôtel...
Ah, si, j'oubliais je suis ressorti en début de soirée pour voir ceci :
Enfin si j'avais bien lu l'horaire je l'aurais vu complètement ouvert, mais je m'étais trompé de 10 minutes...
Je reviens d'un petit voyage à Vienne (en Autriche, pas en Isère - n'est-ce pas Caro ou LR...) 1h30 d'avion depuis Paris,
J'avais en tête quelques idées de visites à faire dans ce court laps de temps : la cathédrale, la Hofburg et Schönbrunn. Pour le reste on verra.
Stephansdom - La cathédrale Saint-Etienne en français.
Il paraîtrait, selon Madame Zouave, que Don Antonio Vivaldi est mort à Vienne et que sa messe de funérailles fut dite dans la cathédrale St Etienne. L'ennui c'est qu'on n'a pas retrouvé sa tombe, donc permettez-moi de douter de l'existence de Vivaldi, qui n'existe que dans l'esprit de madame Zouave......
Vienne fut aussi la capitale impériale de l'empire jusqu'en 1918. 2 principaux bâtiments étaient le lieu de résidence de la famille impériale : la Hofburg et Schönbrunn. Les deux sont maintenant dans Vienne, mais Schönbrunn, le palais d'été, est presque à l'extérieur de la ville.
La Hofburg
Schönbrunn
Lorsque vous visitez Vienne, vous pouvez vous apercevoir qu'il y a un véritable culte envers Elisabeth d'Autriche, la fameuse Sissi, et son mari. Dans les visites de la Hofburg et de Schönbrunn il y a énormément de références à ce couple.
L'autre grand personnage est évidemment Marie-Thérèse, la mère de Marie-Antoinette.
Je dois ajouter que je n'ai aucune photo d'intérieur ni de la Hofburg ni de Schönbrunn, vu que les photos n'étaient pas autorisées (pire qu'en France sur le sujet !).
Par contre j'ai pu apprécier ce pays où vous n'êtes pas contrôlé dès que vous rentrez quelque part...
L'église des Capucins.
A Vienne, il est un endroit particulier à visiter impérativement à mon avis : la crypte de l'église des Capucins, où évidemment Vivaldi n'est pas enterré (n'est-ce pas madame Zouave !!!).
Dans cette crypte reposent la plupart des membres de la famille des Habsbourg jusqu'à Otto de Habsbourg-Lorraine qui y fut enterré en 2011.
Pour finir, une petite vue de la ville depuis ma chambre d'hôtel.
Un bien beau voyage, très bien organisé par mon agence favorite : Archange Voyages !
Le soleil joue à cache-cache avec les nuages .
Voici la réponse du Cédonkoù du 17 Mars:
Nous étions à la Basilique Notre-Dame- du- Mont- Carmel
à Récife au Brésil .
Merci au photographe, je me permets de l'embrasser .
Bravo à LR et Caro qui sont les seules à m'avoir envoyé
la réponse .
Bonne continuation à tous !
Mirabelle
A copier-coller pour les PPP !