Pour Cécilou .
Pour Florence .
Pour Caro et Seb.
Pour Sandrine .
Pour Jean .
Pour l'abbé Guillaume de Tanoüarn .
Pour Catherine et Fleur de lys .
Pour Madeleine et Claude.
Pour Cécilou .
Pour Florence .
Pour Caro et Seb.
Pour Sandrine .
Pour Jean .
Pour l'abbé Guillaume de Tanoüarn .
Pour Catherine et Fleur de lys .
Pour Madeleine et Claude.
Pour Cécilou .
Pour Florence .
Pour Caro et Seb.
Pour Sandrine .
Pour Jean .
Pour l'abbé Guillaume de Tanoüarn .
Pour Catherine et Fleur de lys .
Pour Madeleine et Claude.
Premières fleurs d'hibiscus de mon jardin .
A Marseille, il fait 24° et nous aurons 35° dans la journée .
Je profite de la fraîcheur relative matinale et lorsque je
reste à la maison l'après-midi avec la clim pour tricoter.
En ce moment je fais une couverture pour le bébé de la
fille de mes voisins qui va bientôt naître .
Après 2 garçons ce sera une fille .
Bonne fête aux Silvère !
Prenez soin de vous et des vôtres !
Mirabelle
Pour Cécilou .
Pour Florence .
Pour Caro et Seb.
Pour Sandrine .
Pour Jean .
Pour l'abbé Guillaume de Tanoüarn .
Pour Catherine et Fleur de lys .
Pour Madeleine et Claude.
D'origine calabraise, mystique stigmatisée, Elena devient religieuse dans l’institut des sœurs du Précieux-Sang. Mais, frappée par la maladie, opérée sans anesthésie, elle est renvoyée dans sa famille. En 1928, elle fonde une œuvre pour les orphelines, puis la congrégation des sœurs minimes de la Passion, qui ont comme modèle de vie la passion du Christ et la vie de charité de saint François de Paule.
Le 21 octobre 1921, sa sœur, Evangelina, allongée dans la pièce voisine, voit une lumière brillante envahir la pièce où elle se repose. Un instant plus tard, Elena, atteinte d'une pathologie gastrique extrêmement grave, demande aux siens de lui apporter de quoi manger.
Les semaines suivantes, elle annonce qu’elle ne tardera pas à être guérie de la plaie à son épaule. Dans une lettre datée du 10 mai 1924 adressée à un évêque, elle écrit : « Vers 15 heures hier, Jésus m’est apparu et m’a dit : “Ma fille, veux-tu être guérie ou veux-tu souffrir ?” J’ai répondu : “souffrant avec toi, mon Jésus, on peut tout souffrir”, et Jésus m’a dit encore : “Eh bien, je te guérirai, mais chaque vendredi je t’amènerai dans les ténèbres ; tu seras plus près de moi.” Après m’avoir dit cela, il a disparu. »
Dans la nuit du 21 mai 1924, sainte Rita apparaît dans sa chambre et lui annonce qu’elle sera guérie le lendemain à 15 heures. Le lendemain, peu avant 15 heures, après avoir récité le rosaire, Hélène se met à prier… Sa sœur raconte : « Elle s’est levée et s’est approchée de la statue [de sainte Rita]. Nous avions l’impression que la main tendue de sainte Rita, celle qui tenait le crucifix, s’était écartée pour atteindre la main du côté blessé d’Hélène et la soulever, et qu’une vibration secouait la statue et sa protection. Devant notre incrédulité, Hélène répéta : "Je suis guérie ! Je suis guérie !" Quand je me suis penchée pour voir la plaie, elle était refermée, il ne restait plus qu’une cicatrice. »
Pour Cécilou .
Pour Florence .
Pour Caro et Seb.
Pour Sandrine .
Pour Jean .
Pour l'abbé Guillaume de Tanoüarn .
Pour Catherine et Fleur de lys .
Pour Madeleine et Claude.
Sainte Elisabeth de Schönau (1129-1164) parle latin sans l’avoir appris
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Élisabeth de Schönau, née près de Cologne (Allemagne), est une moniale et une mystique bénédictine qui fut gratifiée par Dieu de charismes extraordinaires. Elle est considérée comme l'une des plus grandes visionnaires de la fin du Moyen Âge. A partir de 1152, Élisabeth, sœur du monastère de Schönau-im-Taunus, près de Trèves (Allemagne), voit couramment Jésus-Christ et la Vierge Marie. Les dimanches et jours de fête, elle tombe en extase pendant de longues heures. Un dimanche, fidèles et religieux accourent à la messe célébrée dans l'église abbatiale pour assister à l'un de ses ravissements. L'édifice est bondé. A son habitude, la sainte tombe en extase après que le prêtre célébrant eut prononcé les paroles de consécration. Lorsqu’elle revient à elle, la cérémonie n'est pas encore complètement terminée. Les religieuses lui trouvent un air inhabituel. Élisabeth ne dit rien d'abord mais tout d’un coup, elle se met à parler... en latin puis à réciter des passages entiers de la Bible dans cette langue. L’entourage est saisi de stupeur : hormis les prières propres à la vie monastique, la sainte n'a jamais appris cette langue ! Ce prodige se répète souvent jusqu'en 1156, avant de disparaître. L’Église a inscrit Élisabeth au martyrologe romain en 1584. |
Pour Cécilou .
Pour Florence .
Pour Caro et Seb.
Pour Sandrine .
Pour Jean .
Pour l'abbé Guillaume de Tanoüarn .
Pour Catherine et Fleur de lys .
Pour Madeleine et Claude.
Pour Cécilou .
Pour Florence .
Pour Caro et Seb.
Pour Sandrine .
Pour Jean .
Pour l'abbé Guillaume de Tanoüarn .
Pour Catherine et Fleur de lys .
Pour Madeleine et Claude.
Le cercueil miraculeux du cousin de saint Jean François Régis ( 1597-1640)
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Jean-François Régis, prêtre et missionnaire jésuite surnommé « l'apôtre du Vivarais », a l'habitude de raconter l'histoire suivante pour montrer l'amour infini de Dieu. En a-t-il été témoin ? A la fin du XVIe siècle, un de ses cousins manifeste le désir de de s’engager dans les troupes de la Ligue catholique. Son père, oncle de Jean de Régis, fervent catholique, désapprouve cependant les méthodes expéditives des troupes de la Ligue pour convertir les huguenots. Mais son fils se montre inflexible ; le père aussi ! Finalement, le jeune abandonne le foyer familial pour devenir Ligueur, sans le consentement de l'autorité paternelle. Le jeune combat deux ans. Mais un jour, il est tué. Son père est inconsolable ; il pleure tellement qu'il en devient aveugle. De surcroît, le corps de son fils n'a pu être identifié. L'absence de tombe sur laquelle il pourrait se recueillir accroît encore son désespoir. Tandis qu'elle garde ses moutons, une jeune bergère, voisine de la famille, a une vision terrible : un fantôme, couvert de sang, lui parle ainsi : « Ici, sous cette herbe, est enterré un soldat de la famille des Régis. Cours, enfant, cours avertir ses parents ! » La bergère court prévenir la famille du saint. Effectivement, à l'endroit précis indiqué par l'apparition, on fait la macabre découverte du corps du jeune soldat. Seul son père, vivant alors en marge de la communauté villageoise, ignore les faits. Le jour de l'inhumation, le cercueil, porté par les villageois, passe devant la maison familiale. Mais, à cette hauteur, les porteurs s’arrêtent : le cercueil est soudain devenu si lourd qu’il est intransportable ! Attiré par les bruits de la foule, le père aveugle accourt à son tour. On lui raconte le miracle du cercueil. Profondément ému, il pardonne alors à son fils et trace un signe de croix sur le cercueil. Immédiatement, les porteurs peuvent facilement repartir car le cercueil a retrouvé son poids normal. Béatifié en 1716, Jean-François Régis est proclamé saint par le pape Clément XII en 1737. |
Merci Patou pour cette belle photo . Eh oui , les chevaux
ont remplacé les chèvres mais l'endroit est toujours aussi
beau que dans mon souvenir .
Il y a même un âne tout au fond .
A Marseille ,il fait 19° et nous aurons 30° dans la journée.
Bonne fête à tous les Régis !
Prenez soin de vous et des vôtres !
Mirabelle
Pour Cécilou .
Pour Florence .
Pour Caro et Seb.
Pour Sandrine .
Pour Jean .
Pour l'abbé Guillaume de Tanoüarn .
Pour Catherine et Fleur de lys .
Pour Madeleine et Claude.
Des hosties jetées dans un marécage brillent de mille feux
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En 1345, le roi de Pologne, Casimir III le Grand, ordonne la construction d'une nouvelle église dédiée au Corpus Domini, en l’honneur d’un miracle eucharistique qui avait eu lieu quelques mois auparavant, la même année, dans le secteur de Wawel, à deux pas de l'actuelle Cracovie. Des individus sans foi ni loi avaient pénétré dans une église de Wawel où ils avaient forcé la porte du tabernacle, puis s’étaient emparés du ciboire doré contenant plusieurs hosties consacrées. Une fois sortis de l'édifice, ils s’aperçurent que le ciboire dérobé n’était pas en or ; ils le jetèrent sans tarder dans un marécage. Aussitôt, une lumière extraordinaire jaillit de la surface des eaux saumâtres. La clarté brilla ainsi plusieurs jours durant, sans faiblir. Des habitants de la localité prirent peur : de quoi pouvait-il bien s'agir ? L'un d'eux alerta le curé qui, à son tour, fort surpris du phénomène, informa discrètement l'évêque de Cracovie, Mgr Jan Grot. Celui-ci se rendit à Wawel et ordonna trois jours de jeûne et de prière. Le troisième jour, tous les habitants du village, accompagnés du prélat, se rendirent en procession jusqu'au marécage. Un homme, plus intrépide que les autres, traversa le marécage dont il scruta le fond attentivement. Soudain, il se mit à crier en direction des autres témoins ; il venait de découvrir la source émettrice de la lumière : le ciboire en parfait état avec, à l'intérieur, les saintes hosties qui irradiait l'entourage. Les autorités diocésaines reconnurent ce miracle et le souverain polonais devint un grand défenseur du pèlerinage de Wawel. |
Pour Cécilou .
Pour Florence .
Pour Caro et Seb.
Pour Sandrine .
Pour Jean .
Pour l'abbé Guillaume de Tanoüarn .
Pour Catherine et Fleur de lys .
Pour Madeleine et Claude.
Francisca de Paula De Jesus, fille d’une mère célibataire esclave, vient au monde entre 1808 et 1810 au Brésil. Sans instruction, analphabète, elle se retrouve très vite orpheline. Devenue adulte, elle se consacre à la prière, vivant seule dans une petite maison près de Baependi (Brésil, Minas Geiras), et se consacrant aux soins des plus pauvres.
Sa maison devient un véritable lieu de pèlerinage. Surnommée la « mère des pauvres », sa renommée s'étend bientôt dans toute la région.
Puis la providence fait d'elle une riche héritière : son frère lui lègue une fortune. Elle distribue tous ses biens aux pauvres et fait construire une chapelle dédiée à Notre-Dame de la Conception, où elle sera enterrée à sa mort.
Morte le 14 Juin 1895, elle est inhumée 4 jours plus tard dans la chapelle qu´elle avait construite. Durant ces 4 jours, toutes les personnes présentes respirent un mystérieux parfum de roses qui exhale du corps de la défunte. Ce parfum a été à nouveau senti en 1998 par les personnes présentes pour l'exhumation canonique de sa dépouille. Francisca a été déclarée bienheureuse le 4 mai 2013 au Sanctuaire de Notre-Dame de la Conception à Baependi.
A copier-coller pour les PPP !