Pour Cécilou .
Pour Florence .
Pour Caro et Seb.
Pour Sandrine .
Pour Jean .
Pour l'abbé Guillaume de Tanoüarn .
Pour Catherine et Fleur de lys .
Pour Madeleine et Claude.
Pour Cécilou .
Pour Florence .
Pour Caro et Seb.
Pour Sandrine .
Pour Jean .
Pour l'abbé Guillaume de Tanoüarn .
Pour Catherine et Fleur de lys .
Pour Madeleine et Claude.
La bienheureuse Marie d’Oignies (1177-1213) : elle apaise le futur pape Grégoire IX
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En 1211, Jacques de Vitry, futur évêque de Saint-Jean-d’Acre (Israël), devient le confesseur de Marie d’Oignies, mystique laïque née dans le Brabant (Belgique). Vers 1220, Jacques va à Rome (Italie) où il est reçu par le cardinal Hugolin de Anagni, futur pape sous le nom de Grégoire IX. Hugolin se confie ainsi à Jacques de Vitry : « Je vais mettre mon âme à découvert dans l’espoir que, par vos conseils et vos prières, j’obtiendrai du Ciel quelque consolation dans l’état déplorable où se trouve ma conscience… Dieu permet que je sois livré à l’ennemi de notre Salut. L’esprit de blasphème me tourmente ; une multitude de tentations contre la foi m’agitent sans cesse ; je n’ai de repos ni le jour ni la nuit. » Jacques prend la parole : « J’ai connu une femme d’une sainteté si éminente qu’elle reçut de Dieu le pouvoir de chasser les blasphèmes. Ce pouvoir qu’elle avait sur Terre, elle l’a encore dans le Ciel. » — « Si vous aviez une relique d’elle… » — « Oui, Eminence. » Jacques sort alors d’un petit sac qu’il porte autour du cou un doigt de la bienheureuse qu’il garde toujours sur lui. Il l’offre au cardinal en disant : « Vous verrez bientôt le retour de la paix. » La nuit suivante, Hugolin prie dans son oratoire privé lorsqu’il sent une présence maléfique près de lui. Il écarquille les yeux : le diable, sous la forme d’un monstre, est à ses côtés. Il se précipite jusqu’à sa chambre, s’empare de la relique de Marie, l’applique sur sa poitrine, récitant un Pater et un Ave et implore la bienheureuse de lui venir en aide. L’instant d’après, le démon a disparu. Une paix surnaturelle envahit le cardinal qui n’a plus aucun doute sur les dogmes de l’Église et qui n’a plus aucune envie de blasphémer. « Une lumière céleste se répand dans son âme. » |
A Marseille, il fait 20° et nous aurons 33° dans la journée .
Nous passons en vigilance jaune.
Avant d'aller chez ma kiné, je vais passer au laboratoire
juste à côté pour une prise de sang , comme ça j'aurai
les résultats pour montrer à mon médecin, demain .
Bonne fête à toutes les Audrey !
Prenez soin de vous et des vôtres !
Mirabelle
Pour Cécilou .
Pour Florence .
Pour Caro et Seb.
Pour Sandrine .
Pour Jean .
Pour l'abbé Guillaume de Tanoüarn .
Pour Catherine et Fleur de lys .
Pour Madeleine et Claude.
Blanot, petit village sans histoire de Bourgogne, fut la scène d'un miracle eucharistique extraordinaire au XIVe siècle. La relique est aujourd'hui encore honorée chaque année, lors des principales fêtes catholiques. Si le nombre des fidèles a diminué depuis le XIXe siècle, leur ferveur est en revanche toujours aussi intense.
Le dimanche 31 mars 1331, jour de Pâques, la petite église du village, dédiée à saint Andoche, est pleine à craquer. La messe qu'on y célèbre en ce jour exceptionnel est tout simplement magnifique.
Au moment de la communion, tandis que les laïcs s'agenouillent pour recevoir le Corps du Christ, un des servants d’autel s'aperçoit qu’une parcelle de l’hostie est tombée de la bouche d'une femme directement sur la petite nappe de communion, en dessous du ciboire, portée par les enfants de chœur.
Le servant d'autel fait remarquer ce fait au curé, le père Hugues de la Baume. Celui-ci s’approche mais à la place du morceau d'hostie il voit une tache de sang frais.
Saisi de stupeur, le prêtre se précipite à la sacristie muni du napperon et tâche de la laver. Mais plus il frotte le tissu, plus la tache s’agrandit !
Tremblant, décontenancé, le père de la Baume revient à l’autel et dépose le morceau de la nappe dans un reliquaire. Puis il s'adresse ainsi à ses paroissiens : « Bonnes gens, ici il y a le Très Précieux Sang de Notre Seigneur Jésus Christ. J’ai cherché par tous les moyens à laver le linge et à l’essorer, mais je n’ai pas réussi à retirer de cette nappe le morceau d'Hostie transformé en sang. »
L'évêque du lieu, Mgr Pierre Bertrand, informé du phénomène, a diligenté une commission d'enquête qui a statué de manière positive.
Saint Jean XXIII a accordé des indulgences aux pèlerins de Blanot.
Pour Cécilou .
Pour Florence .
Pour Caro et Seb.
Pour Sandrine .
Pour Jean .
Pour l'abbé Guillaume de Tanoüarn .
Pour Catherine et Fleur de lys .
Pour Madeleine et Claude.
Pour Cécilou .
Pour Florence .
Pour Caro et Seb.
Pour Sandrine .
Pour Jean .
Pour l'abbé Guillaume de Tanoüarn .
Pour Catherine et Fleur de lys .
Pour Madeleine et Claude.
Premières fleurs d'hibiscus de mon jardin .
A Marseille, il fait 24° et nous aurons 35° dans la journée .
Je profite de la fraîcheur relative matinale et lorsque je
reste à la maison l'après-midi avec la clim pour tricoter.
En ce moment je fais une couverture pour le bébé de la
fille de mes voisins qui va bientôt naître .
Après 2 garçons ce sera une fille .
Bonne fête aux Silvère !
Prenez soin de vous et des vôtres !
Mirabelle
Pour Cécilou .
Pour Florence .
Pour Caro et Seb.
Pour Sandrine .
Pour Jean .
Pour l'abbé Guillaume de Tanoüarn .
Pour Catherine et Fleur de lys .
Pour Madeleine et Claude.
D'origine calabraise, mystique stigmatisée, Elena devient religieuse dans l’institut des sœurs du Précieux-Sang. Mais, frappée par la maladie, opérée sans anesthésie, elle est renvoyée dans sa famille. En 1928, elle fonde une œuvre pour les orphelines, puis la congrégation des sœurs minimes de la Passion, qui ont comme modèle de vie la passion du Christ et la vie de charité de saint François de Paule.
Le 21 octobre 1921, sa sœur, Evangelina, allongée dans la pièce voisine, voit une lumière brillante envahir la pièce où elle se repose. Un instant plus tard, Elena, atteinte d'une pathologie gastrique extrêmement grave, demande aux siens de lui apporter de quoi manger.
Les semaines suivantes, elle annonce qu’elle ne tardera pas à être guérie de la plaie à son épaule. Dans une lettre datée du 10 mai 1924 adressée à un évêque, elle écrit : « Vers 15 heures hier, Jésus m’est apparu et m’a dit : “Ma fille, veux-tu être guérie ou veux-tu souffrir ?” J’ai répondu : “souffrant avec toi, mon Jésus, on peut tout souffrir”, et Jésus m’a dit encore : “Eh bien, je te guérirai, mais chaque vendredi je t’amènerai dans les ténèbres ; tu seras plus près de moi.” Après m’avoir dit cela, il a disparu. »
Dans la nuit du 21 mai 1924, sainte Rita apparaît dans sa chambre et lui annonce qu’elle sera guérie le lendemain à 15 heures. Le lendemain, peu avant 15 heures, après avoir récité le rosaire, Hélène se met à prier… Sa sœur raconte : « Elle s’est levée et s’est approchée de la statue [de sainte Rita]. Nous avions l’impression que la main tendue de sainte Rita, celle qui tenait le crucifix, s’était écartée pour atteindre la main du côté blessé d’Hélène et la soulever, et qu’une vibration secouait la statue et sa protection. Devant notre incrédulité, Hélène répéta : "Je suis guérie ! Je suis guérie !" Quand je me suis penchée pour voir la plaie, elle était refermée, il ne restait plus qu’une cicatrice. »
Pour Cécilou .
Pour Florence .
Pour Caro et Seb.
Pour Sandrine .
Pour Jean .
Pour l'abbé Guillaume de Tanoüarn .
Pour Catherine et Fleur de lys .
Pour Madeleine et Claude.
Sainte Elisabeth de Schönau (1129-1164) parle latin sans l’avoir appris
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Élisabeth de Schönau, née près de Cologne (Allemagne), est une moniale et une mystique bénédictine qui fut gratifiée par Dieu de charismes extraordinaires. Elle est considérée comme l'une des plus grandes visionnaires de la fin du Moyen Âge. A partir de 1152, Élisabeth, sœur du monastère de Schönau-im-Taunus, près de Trèves (Allemagne), voit couramment Jésus-Christ et la Vierge Marie. Les dimanches et jours de fête, elle tombe en extase pendant de longues heures. Un dimanche, fidèles et religieux accourent à la messe célébrée dans l'église abbatiale pour assister à l'un de ses ravissements. L'édifice est bondé. A son habitude, la sainte tombe en extase après que le prêtre célébrant eut prononcé les paroles de consécration. Lorsqu’elle revient à elle, la cérémonie n'est pas encore complètement terminée. Les religieuses lui trouvent un air inhabituel. Élisabeth ne dit rien d'abord mais tout d’un coup, elle se met à parler... en latin puis à réciter des passages entiers de la Bible dans cette langue. L’entourage est saisi de stupeur : hormis les prières propres à la vie monastique, la sainte n'a jamais appris cette langue ! Ce prodige se répète souvent jusqu'en 1156, avant de disparaître. L’Église a inscrit Élisabeth au martyrologe romain en 1584. |
Pour Cécilou .
Pour Florence .
Pour Caro et Seb.
Pour Sandrine .
Pour Jean .
Pour l'abbé Guillaume de Tanoüarn .
Pour Catherine et Fleur de lys .
Pour Madeleine et Claude.
Pour Cécilou .
Pour Florence .
Pour Caro et Seb.
Pour Sandrine .
Pour Jean .
Pour l'abbé Guillaume de Tanoüarn .
Pour Catherine et Fleur de lys .
Pour Madeleine et Claude.
Le cercueil miraculeux du cousin de saint Jean François Régis ( 1597-1640)
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Jean-François Régis, prêtre et missionnaire jésuite surnommé « l'apôtre du Vivarais », a l'habitude de raconter l'histoire suivante pour montrer l'amour infini de Dieu. En a-t-il été témoin ? A la fin du XVIe siècle, un de ses cousins manifeste le désir de de s’engager dans les troupes de la Ligue catholique. Son père, oncle de Jean de Régis, fervent catholique, désapprouve cependant les méthodes expéditives des troupes de la Ligue pour convertir les huguenots. Mais son fils se montre inflexible ; le père aussi ! Finalement, le jeune abandonne le foyer familial pour devenir Ligueur, sans le consentement de l'autorité paternelle. Le jeune combat deux ans. Mais un jour, il est tué. Son père est inconsolable ; il pleure tellement qu'il en devient aveugle. De surcroît, le corps de son fils n'a pu être identifié. L'absence de tombe sur laquelle il pourrait se recueillir accroît encore son désespoir. Tandis qu'elle garde ses moutons, une jeune bergère, voisine de la famille, a une vision terrible : un fantôme, couvert de sang, lui parle ainsi : « Ici, sous cette herbe, est enterré un soldat de la famille des Régis. Cours, enfant, cours avertir ses parents ! » La bergère court prévenir la famille du saint. Effectivement, à l'endroit précis indiqué par l'apparition, on fait la macabre découverte du corps du jeune soldat. Seul son père, vivant alors en marge de la communauté villageoise, ignore les faits. Le jour de l'inhumation, le cercueil, porté par les villageois, passe devant la maison familiale. Mais, à cette hauteur, les porteurs s’arrêtent : le cercueil est soudain devenu si lourd qu’il est intransportable ! Attiré par les bruits de la foule, le père aveugle accourt à son tour. On lui raconte le miracle du cercueil. Profondément ému, il pardonne alors à son fils et trace un signe de croix sur le cercueil. Immédiatement, les porteurs peuvent facilement repartir car le cercueil a retrouvé son poids normal. Béatifié en 1716, Jean-François Régis est proclamé saint par le pape Clément XII en 1737. |
A copier-coller pour les PPP !