Pour Héléna et Marguerite.
Pour Catherine et Fleur de lys .
Pour Madeleine et Claude.
Pour Héléna et Marguerite.
Pour Catherine et Fleur de lys .
Pour Madeleine et Claude.
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Les visions de sainte Julienne du Mont-Cornillon (1193-1258)
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Moniale de l'ordre de saint Augustin, au monastère du Mont Cornillon dans le diocèse de Liège (Belgique actuelle), Julienne est la mystique du Moyen Âge qui donna l’impulsion décisive à l’institution de la fête catholique en l’honneur du Saint Sacrement. Dès son adolescence, elle a des visions impressionnantes lors de ses adorations du Corps du Christ. « A l’âge de seize ans, écrit le pape Benoît XVI, elle eut une première vision, qui se répéta ensuite plusieurs fois [...]. La vision présentait la lune dans toute sa splendeur, dont le diamètre était traversé par une bande noire. Le Seigneur lui fit comprendre la signification de ce qui lui était apparu. La lune symbolisait la vie de l’Église sur terre, la ligne opaque représentait en revanche l’absence d’une fête liturgique, pour l’institution de laquelle il était demandé à Julienne de se prodiguer de façon efficace : c’est-à-dire une fête dans laquelle les croyants pouvaient adorer l’Eucharistie pour faire croître leur foi, avancer dans la pratique des vertus et réparer les offenses au Très Saint Sacrement. » D'abord réticente à parler de ses expériences mystiques, Julienne se mit à les décrire à son confesseur puis aux autorités ecclésiastiques à partir de 1230. En 1246, Robert de Thourotte, évêque de Liège, mis au courant des révélations privées de la sainte, prit la décision d'instituer dans son diocèse une solennité liturgique en l’honneur du Saint Sacrement. Celle-ci est célébrée pour la première fois le 5 juin 1249. Seulement quelques années après la mort de sainte Julienne, la fête se répandit dans le monde entier catholique, sous l'action du pape Urbain IV en août 1264. |
A Marseille, il fait 19° et nous aurons 33° dans la journée .
L'incendie monstrueux de l'Aude court toujours et malheureu-
-sement des vents tournants sont attendus.
Nous pensons fort à tous ceux qui se trouvent dans cette
tourmente .
Bonne fête à tous les Gaëtan !
Prenez soin de vous et des vôtres !
Mirabelle
Du 7 au 15 août - Fête de l’Assomption
Introduction
L'Assomption de Marie est l'événement au cours duquel la Vierge Marie, Mère de Jésus, au terme de sa vie terrestre, est entrée directement dans la gloire du ciel, âme et corps, sans connaître la corruption physique qui suit la mort.
Le mot Assomption provient du verbe latin assumere, qui signifie « prendre », « enlever ».
Très ancienne dans les Eglises d’Orient et d’Occident, l’Assomption a été fêtée liturgiquement dès le VIIIème siècle.
Cette conviction a été définie comme dogme religieux (c’est-à-dire vérité de foi), par l’Eglise catholique en 1950.
Elle est célébrée le 15 août. La date du 15 août serait celle de la consécration à Jérusalem de la première église dédiée à Marie, au Vème siècle.
Prières quotidiennes
Au Nom du Père et du Fils et du Saint Esprit
Je crois en Dieu
Prière à l’Esprit Saint
Esprit de Sagesse, de Lumière et de force, Esprit d'Amour, Esprit Saint, mets au cœur de tous les croyants de ce monde, l'amour fraternel qui leur permettra de se rencontrer
dans un esprit d'échange et de partage au-delà de leurs différences.
Que chacun apprenne à découvrir les richesses de l'autre.
Esprit Saint, apprends-nous à nous écouter mutuellement avec patience et humilité,
pour que chacune de nos rencontres devienne un carrefour
où chacun reçoit autant qu'il donne, même si nous venons de chemins très différents.
Esprit Saint, donne-nous la force de la foi et rassemble-nous dans une volonté commune.
"La bonne nouvelle est annoncée aux pauvres".
Apprends-nous la joie de la foi, de l'espérance, de l'amour qui transforme le monde et libère tout être de ses péchés, de ses misères spirituelles ou matérielles.
Esprit Saint, fais de chaque baptisé un rayon de ta lumière, pour que le monde puisse découvrir ta présence et ton amour.
Le monde entier est mon village, l'univers est ma paroisse: pousse chacun vers le grand large, vers la civilisation de
l'amour où ce qui nous rassemble nous libérera de ce qui nous divise.
Prière pour l’Assomption
Marie, notre sœur, Marie, fille de notre terre, est élevée dans la gloire parce qu’elle est aussi la Mère de notre Dieu.
Marie est la première à pouvoir placer ses pas dans les pas de son fils, jusqu’au bout du voyage.
Nos chemins, eux aussi, conduisent à la gloire.
Nous ne le voyons pas, mais Marie nous le dit par son Assomption.
Notre-Dame, consolide en nos cœurs la foi et l’espérance et remplis-nous de cet amour qui vaincra toute mort le jour de notre propre assomption. Amen.
Notre Père, 10 Je vous salue Marie, Gloire au Père
Premier jour - Mort de la Sainte Vierge
Sag.1,3 : « Les âmes des justes sont dans la main de Dieu, et le tourment de la mort ne les touchera pas. »
C’est à Marie que convient pleinement cet oracle de l’Esprit-Saint : Les justes meurent en paix, mais en eux la nature ne laisse pas de souffrir, ayant été dégradée par la chute d’Adam.
Dans Marie, il règne un accord que le péché n’a jamais troublé ; et sa mort est en conséquence de sa naissance toute pure et de sa vie sans tache.
Elle a accompli sa haute destinée avec une perfection sublime. Sa vie a été un acte continuel de charité. Au plus fort de sa véhémence son âme sainte est passée dans le ciel pour y consommer cet acte pur, et y jouir éternellement des délices de l’amour divin.
Depuis l’ascension de son adorable Fils, elle n’avait cessé de soupirer après le moment qui devait la réunir à lui.
Les désirs que les Juifs captifs à Babylone avaient de retourner à Jérusalem ; les langueurs de l’épouse des cantiques en l’absence de l’époux ; les souhaits ardents que les patriarches et les prophètes avaient de voir le Messie ; les désirs embrasés de tous les saints de la nouvelle loi pour Dieu et pour le ciel, ne sont que de faibles images de ceux de cette véritable Israélite, de l’épouse du Saint-Esprit, de la Mère de Jésus-Christ !
O Marie ! Maintenant que vous régnez dans la vraie Jérusalem, ô vous qui avez si bien compris et la grandeur du ciel, et la petitesse de la terre, la plénitude de l’amour de Dieu et le vide de l’amour des créatures, obtenez-nous de comprendre enfin que notre destinée sur la terre est de vivre dans l’amour de Dieu, et d’y mourir pour l’aimer à jamais.
Faites, ô notre sainte Patronne ! Que nos regards se portent sans cesse vers le ciel ; que s’ils retombent sur la terre, ce ne soit que pour la considérer, comme les Israélites exilés considéraient Babylone. Ne nous laissez pas faire ici-bas notre trésor, avilir nos cœurs, oublier notre patrie et redouter l’instant qui doit nous y porter. Il est dit de la femme forte qu’elle rira au dernier jour. (Prov.31,35).
Puissions-nous, ô Marie ! Par votre intercession, éprouver comme vous la vérité de ces paroles, et passer de la paix des justes à la joie éternelle des saints ! Amen.
Prières quotidiennes
Pour Héléna et Marguerite.
Pour Cécilou
Pour Caro et Seb.
Pour Sandrine .
Pour Jean .
Pour l'abbé Guillaume de Tanoüarn .
Pour toutes les autres intentions .
Pour Catherine et Fleur de lys .
Pour Madeleine et Claude.
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Saint Stapin (VIIIe siècle) : il laisse une empreinte miraculeuse sur une pierre
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Vers 685, Stapin, ermite, est nommé évêque de Carcassonne (Aude) malgré son indifférence absolue des honneurs. Il ignore comment remplir une telle mission, lui, l’humble priant. Il implore le Christ jour et nuit de l’éclairer et passe de longs moments dans la solitude, se retirant au sommet d’une colline au sud-est de Dourgne (Tarn). Là, il s’agenouille de longues heures et demande à Dieu de le préserver de tous péchés. Un jour, des fidèles gravissent la colline et surprennent le saint en extase, les yeux levés au ciel. Une fois revenu à lui, Stapin s’excuse de ne pas avoir prêté attention à eux et s’en va sans plus attendre. A cet instant, l’un des hommes aperçoit une excavation sur la pierre où Stapin s’était agenouillé. Il ne peut contenir son émotion : les genoux du bienheureux ont laissé une empreinte miraculeuse sur la pierre ! |
Merci à mon reporter pour la photo .
Terrible incendie qui s'est déclaré dans l' Aude , hier
après-midi qui a déjà dévasté 11000 hectares .
Tout notre soutien pour les soldats du feu, les pilotes de
canadairs et pour les habitants qui ont tout perdu .
Je viens d'apprendre qu'une personne est décédée .🙏
L'A9 en direction de l'Espagne est coupé .
Et malheureusement le feu court toujours .
Nous fêtons la Transfiguration de notre Seigneur !
Prenez soin de voue et des vôtres !
Mirabelle
Pour Héléna et Marguerite.
Pour Catherine et Fleur de lys .
Pour Madeleine et Claude.
Appelé par Pépin le Bref sur le siège épiscopal de Reims (Marne), Abel, moine du monastère de Lobbes (Belgique), n’est pas préparé à la fonction d’archevêque. Pieux, fuyant les honneurs et amoureux de la solitude, il démissionne au bout de trois ans et retourne dans son abbaye.
Dieu le rappelle à lui un 5 août. Son corps est inhumé dans l’église de Saint-Ursmard, dans la chapelle dédiée à saint Jacques.
C’est là que, quelques mois plus tard, deux hommes robustes, accompagnés de plusieurs prêtres, transportent un jeune garçon dont le corps, totalement rigide, est lié par des cordes. Les traits de son visage si creusés qu’on le croit mort.
Parvenus à un mètre de la châsse de saint Abel, les prêtres manquent de défaillir : le garçon a ouvert ses yeux et ses pupilles sont si dilatées qu’il n’a plus un aspect humain.
Puis, il se met à hurler et à gesticuler si violemment qu’il est projeté sur le sol avec une violence inouïe.
Tombé face contre terre, à quelques centimètres du reliquaire, il peine à relever la tête. Mais les témoins n’en reviennent pas : il a retrouvé un aspect humain : le démon a fui en présence des reliques du saint archevêque.
Pour Héléna et Marguerite.
Pour Catherine et Fleur de lys .
Pour Madeleine et Claude.
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Saint Jean-Marie Vianney (1786-1859) : il révèle à une femme ce que son mari est devenu après sa mort
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Au milieu du XIXe siècle, la modeste église d’Ars ( Ain) est régulièrement pleine de monde et le confessionnal pris d’assaut par les pèlerins qui, venant de près ou de loin, veulent se confier au saint curé. Un jour, une femme en pleurs arrive à Ars. Elle désire rencontrer le curé que beaucoup rangent parmi les grands saints. Mais elle ne le connaît pas et ne l’a même jamais vu. La pauvre semble perdue et son visage est marqué d’une profonde tristesse. Elle est hantée par l’idée que son mari soit en enfer car celui-ci s’est suicidé en se jetant dans une rivière et menait une existence éloignée de la foi. Dès qu’elle entre dans l’église, le saint curé interrompt la conversation qu’il tient avec un pénitent, s’approche d’elle et lui dit à l’oreille : « Il est sauvé, oui, il est sauvé ! » — « Mais comment pouvez-vous savoir ? »s’exclame-t-elle, stupéfaite. Et le saint curé d’ajouter : « Il est en purgatoire et il faut prier pour lui. Entre le parapet du pont et l’eau, il a eu le temps de se repentir ! » Jean-Marie Vianney, patron de tous les curés, a été canonisé en 1925 par le pape Pie XI. |
Mortichou 😍
Nous te souhaitons plein de belles choses et une belle journée .
A Marseille , il fait 17° et nous aurons 33° dans l'après-midi .
Nous fêtons le st curé d'Ars st Jean Marie Vianney !
Bonne fête aux Jean-Marie !
Cette année je fêterai les Dominique le 8 .
Belle journée à tous !
Prenez soin de vous et des vôtres !
Mirabelle
Pour Héléna et Marguerite.
Pour Catherine et Fleur de lys .
Pour Madeleine et Claude.
A l’automne 1793, le bourg de Pézilla-la-Rivière, peuplé d’un millier d’âmes, situé près de Perpignan (Pyrénées-Orientales), est dans une situation difficile. La Terreur pourchasse les prêtres opposés à la Constitution civile du clergé et les fidèles qui les soutiennent. Le curé du village, le père Jacques Pérone, et son vicaire, le père Honoré Siuroles, ont trouvé refuge en Espagne.
Soucieux de ses ouailles, le père Pérone est retourné temporairement à Pézilla. Le 15 septembre 1793, bravant tous les dangers, il rouvre son église et y célèbre la messe.
Mais le surlendemain, il reprend le chemin de l’exil après avoir compris que sa vie était menacée. Son départ se fait dans la précipitation. Il n’a pas le temps de consommer les hosties consacrées restées dans le tabernacle.
Il croise peu après son départ une jeune fille de Pézilla, Rose Llorens, à qui il confie sa peur de voir le Saint-Sacrement profané. En effet, à cette époque, les objets du culte ont été inventoriées comme biens nationaux et maints d’entre eux partent à la fonte.
Le 26 décembre suivant, Rose se rend chez le maire de Pézilla, Jean Bonafos, qui ne fait pas mystère de sa foi.
Bonafos accepte de rouvrir l’église afin d’y retirer le tabernacle malgré le danger d’une telle initiative. Le 7 février 1794, accompagné de Rose, il pénètre dans l’édifice et ouvre le tabernacle contenant cinq hosties consacrées : une grande dans l’ostensoir et quatre plus petites dans le ciboire.
Bonafos prend la grande hostie qu’il cache sous un plancher. Rose garde les quatre autres chez elle, dans un placard. Puis, sur conseil d’une religieuse augustine de Perpignan, elle les place dans un compotier de verre, à l’intérieur d’un sac de soie rouge.
Des fidèles viennent adorer secrètement le Saint-Sacrement chez Rose. A tel point que les autorités ont vent de l’affaire. La maison est fouillée. Trop tard ! La jeune femme et sa mère ont dissimulé les hosties dans un sac de farine.
Le Consulat marque le retour d’exil des prêtres réfractaires. Le 5 décembre 1800, le vicaire de la paroisse, revenu depuis peu, reprend les quatre hosties conservées chez Rose.
Lorsqu’il s’empare du pot de verre, c’est la stupeur : les quatre hosties, conservées de cette manière depuis sept ans, sont totalement intactes ! Pas la moindre trace de décomposition ou de souillure. Blanches et pures, comme au premier jour !
Le 9 décembre, le père Pérone, revenu lui aussi d’Espagne, se rend chez Jean Bonafos en compagnie de l’ancien maire, Marc Estrade. Il retire la grande hostie du coffre de bois protecteur. C’est inimaginable : le Saint-Sacrement n’a subi aucune altération ni décomposition.
Plusieurs enquêtes sont menées les mois suivants. Toutes attestent l’authenticité des faits. L’évêque de Perpignan, Mgr de Saunhac-Belcastel, autorise une fête en l’honneur de ce prodige. Son successeur, Mgr Gerbet, en institue une autre. Mgr de La Bouillerie, évêque de Carcassonne, compose un cantique en l’honneur des saintes hosties de Pézilla. En 1893, la nouvelle église du village est inaugurée à l’occasion du centenaire du miracle. Le compotier est placé dans un reliquaire et un nouvel ostensoir est ciselé pour l’occasion.
Le prodige ne s’arrête pas là. Les hosties miraculeusement préservées vont le rester 137 ans, jusqu’à ce qu’en 1930 on construise un nouveau tabernacle destiné à prendre place près du maître-autel : mais l’endroit est très humide et en quelques semaines, les hosties se corrompent. Parallèlement, un prêtre âgé laisse choir le compotier de verre.
A Marseille, il fait 18° et nous aurons 32° dans la journée .
Et toujours du mistral . On est en alerte rouge incendies .
Avec ces écarts de température , on a chaud, on transpire, il y
a du vent j'ai trouvé le moyen d'avoir mal à la gorge .
Bonne fête à toutes les Lydie et Lydia dont
madame Papadroopy!
Prenez soin de vous et des vôtres !
Mirabelle
Pour Héléna et Marguerite.
Pour Catherine et Fleur de lys .
Pour Madeleine et Claude.
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Saint Giustino Maria Russolillo (1891-1955) : il guérit un homme plongé dans un coma profond
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Le 18 avril 2016, un jeune religieux malgache né en 1984, membre de la Société des vocations divines de Pozzuoli (Italie ), fondée par saint Giustino Maria Russolillo, est pris d’un violent mal de tête après le dîner pris en communauté. Le lendemain matin, un frère le découvre dans sa chambre, gisant par terre, au milieu d’une flaque de sang. Inconscient, il est transporté immédiatement aux urgences de l’hôpital de Pozzuoli. On l’intube. Rien n’y fait. Il sombre dans un coma profond et son pronostic vital est engagé. On parle de mort cérébrale. Le supérieur provincial de la congrégation lui rend visite, à la suite de quoi il envoie un message traduit en cinq langues à toute la congrégation, demandant à tous ses membres de prier leur fondateur pour la guérison du jeune religieux. Peu après avoir été admis en service de réanimation, un religieux pose une image du père Giustino sur la poitrine du moribond. Le 21 avril, à la stupéfaction de tous, il sort du coma, ouvre les yeux et se met à parler ! Le 3 mai 2016, il quitte l’hôpital, totalement guéri. Giustino a été béatifié le 7 mai 2011. |
Pour Héléna et Marguerite.
Pour Catherine et Fleur de lys .
Pour Madeleine et Claude.
A copier-coller pour les PPP !