|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Un miracle eucharistique en 1969
|
Dans la nuit du 25 au 26 juillet 1969, la porte de l'église paroissiale du petit village San Mauro La Bruca (Italie) est fracturée par des voleurs. Les malfaiteurs défoncent violemment le tabernacle d'où ils extraient un beau ciboire contenant plusieurs hosties consacrées. Ils parviennent à quitter les lieux sans que personne n'entende quoi que ce soit. Parvenus à l'extérieur du village, ils se débarrassent des hosties en les jetant le long d’un sentier. Le lendemain, un enfant se promenant dans les parages, aperçoit une lumière inhabituelle près d'un gros arbre. Il s'approche et découvre un spectacle inexplicable : plusieurs hosties d'un blanc immaculé, baignées dans une clarté indescriptible, flottent à quelques centimètres au-dessus du sol. Surmontant sa peur, l'enfant les ramasse et les porte au curé. Depuis, les hosties ainsi retrouvées sont restées totalement intactes, sans aucune trace de pourriture ni de détérioration. En 1994, après des analyses scientifiques rigoureuses, Mgr Biagio d’Agostino, évêque de Vallo della Lucania reconnaît la conservation miraculeuse des hosties et en autorise le culte. Le rapport des scientifiques précise que, normalement, après six mois, la farine azyme s’altère gravement et, en l’espace d'à peine deux ans, se transforme en cendre. |
|
|
|
|
|
Charles Gaëtan Calosinto naquit dans l'île d'Ischia, près de Naples (Italie ), le jour de l'Assomption de 1654. Enfant charitable, il prête très tôt assistance aux pauvres de la région, avec le soutien de ses parents.
A sept ans, il entre au couvent Santa Lucia Vergine al Monte de Naples, fondé par des Franciscains. Désormais fils du Pauvre d'Assise, il prend le nom de Frère Jean-Joseph de la Croix.
Il meurt en 1734.
Quelques instants après son trépas, un célèbre aristocrate napolitain, le duc de Monte-Lione se promène dans ses appartements.
Soudain, il tombe nez à nez avec le saint. Celui-ci semble en parfaite santé. Il est environné d'une lumière extraordinaire.
Le duc hésite : serait-il en train de rêver ? Il a vu le religieux quelques jours auparavant, à Naples, et ce jour-là, il était très souffrant. Le duc s'écrie : « Quoi ! Père Jean-Joseph, êtes-vous donc si subitement rétabli ? » Celui-ci de répondre avant de disparaître : « Je suis bien et heureux. »
Le pape Pie VI l'a proclamé bienheureux en 1789. En 1839, Grégoire XVI l'élève aux honneurs des autels.
|
|
|
|
|
L'alpiniste miraculé de saint Innocent de Berzo (1844-1890)
|
Au début des années 1920, un alpiniste, parvenu sur les parois du mont Adamello (3554 mètres, Italie), fait un mauvais pas, perd l'équilibre et tombe dans une crevasse. Il est seul et personne ne peut lui venir en aide. L'homme, croyant et pieux, se met à invoquer le religieux capucin Innocent de Berzo (né Giovanni Scalvinoni) pour lequel il a un grand attachement. Quelques instants plus tard, il aperçoit une corde visiblement jeté par quelqu'un à l'extérieur de la crevasse. Il s'en empare et gravit la paroi glacée. Mais il a du mal à s'accrocher. Ce qu'il observe alors le laisse sans voix : la corde s'adapte à chacun de ces mouvements, comme si, effectivement, une personne la tenait. Après un effort épuisant, il parvient à rejoindre l'extérieur. Là, c'est la consternation, suivie d'une joie ineffable : personne ne l'attend ! Aucun homme n'a tenu la corde. En 1961, saint Jean XXIII l'a proclamé bienheureux. |
Le Saint-Sacrement guérit un petit garçon
|
Le jour de Pâques 1461, Madame Jehan Leclerc amena son fils Bertrand, 12 ans, à l’église Saint-Bartholomé dans la ville de La Rochelle ( Charente-Maritime) où ils vivent pauvrement. Le petit Bertrand est muet et paralysé depuis l'âge de sept ans, en raison d’une terrible chute. Au moment de communier, il fait comprendre à sa mère, en tirant sur ses vêtements et en s'agitant, qu’il veut, lui aussi, recevoir le Saint-Sacrement. Elle l'accompagne jusque devant le prêtre, mais celui-ci refuse de lui donner la communion car, explique-t-il, l'enfant n'a pu se confesser préalablement du fait de son mutisme. Bertrand insiste. Il regarde le prêtre avec des yeux trempés de larmes. Devant les supplications du garçon, le prêtre lui donne enfin la communion. Dès que Bertrand reçoit l’hostie consacrée, il est secoué par une force mystérieuse . Fixant sa mère avec une expression de joie sans pareille, il se met à bouger et à parler. Il vient de guérir miraculeusement. Les premiers mots qu'il a prononcés sont également miraculeux : « Adjutorium nostrum in nomine Domini ! » Or, le garçon ignorait jusque-là le latin ! Aujourd'hui, un tableau représentant ce miracle est toujours conservé en bonne place dans la cathédrale de La Rochelle. |
La statue de sainte Jeanne Bonomo (1606-1670) est miraculeusement protégée
|
Jeanne Bonomo, moniale bénédictine, est originaire du village de Asiago (Italie ). Elle vient au monde dans la maison paternelle, située au centre du bourg le 15 août 1606. Douée de charismes extraordinaires (visions, locutions, stigmates...), elle devient une mystique exceptionnelle et une religieuse connue. En 1908, la municipalité de Asiago et le clergé local décident d'installer une statue en son honneur, au cœur du village, devant sa maison natale. Pendant la première guerre mondiale, la localité subit des bombardements intensifs et répétés. Le village est entièrement détruit. En 1918, aucune maison ne tient debout. Seule, la statue de la sainte a miraculeusement survécu aux bombes autrichiennes. Aucune explication naturelle à ce phénomène n'a jamais été avancée. Jeanne a été béatifiée par le pape Pie VI en 1783. |
Sainte Thérèse de Lisieux protège le bienheureux Daniel Brottier (1876-1936)
|
Ordonné en 1899, le père Daniel Brottier est célèbre en sa qualité de directeur de l'Œuvre des Orphelins Apprentis d'Auteuil. Pendant la guerre de 14-18, il est aumônier militaire, durant la totalité du conflit. Son entourage constate vite un phénomène inexplicable. Sur le front, il partage la vie des soldats en première ligne. Il prend part aux batailles de Lorraine, de la Somme, de Verdun, et des Flandres, sans jamais être blessé ni malade. Il est entouré d'une protection surnaturelle et les poilus lui disent : « Près de vous, Monsieur l’aumônier, on est comme sous une aile. Vous passez à travers les balles. » Lui-même raconte : « Au long de la guerre, j’ai été préservé des pires dangers comme par un miracle perpétuel. J’ai fait en volontaire des missions périlleuses auprès des blessés ou des mourants, empêchant les autres d’y aller parce qu’ils risquaient leur vie… tandis que j’étais sûr d’en revenir. Mes habits ont été troués, déchirés, je n’ai jamais eu de vraies blessures. » En 1919, le père Brottier rencontre son ancien évêque et ami, Mgr Jalabert, et lui raconte son expérience de protection inexplicable. Le prélat ouvre alors son bréviaire et en tire une image de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus derrière laquelle il a écrit ces mots : « Petite sœur Thérèse, gardez-moi mon Père Brottier. » Daniel Brottier a été béatifié en 1984 par saint Jean-Paul II. |
Saint Porphyre de Gaza (+ 420) chasse la sécheresse
|
Au début du Ve siècle de notre ère, une sécheresse épouvantable touche la Terre sainte. La famine tue des centaines de personnes et les chrétiens sont pris de panique. Saint Porphyre, évêque de Gaza, touché par le dénuement des fidèles, ordonne des prières particulières pour que la pluie revienne. Il fixe aussi un jour de jeûne. Un soir, réunis dans la plus grande église de la ville, les fidèles chantent durant la nuit entière, en invoquant Dieu et ses saints. Le lendemain, une procession est organisée à l'extérieur de la ville, aux tombeaux des martyrs, sous la présidence de saint Porphyre. Lorsque ces gens essayèrent de rentrer chez eux, à l'intérieur de Gaza, cela leur fut impossible : les païens avaient fermé toutes les portes de la cité. Femmes et hommes tombèrent à genoux en suppliant le Seigneur d'intervenir. Porphyre les accompagna de plus belle. Tout à coup le ciel jusque-là ensoleillé se couvrit de nuages, puis une pluie torrentielle tomba pendant deux jours sur la région. Voyant ce prodige, plus de deux cents païens demandèrent le baptême. |
Le corps préservé du bienheureux Dominique Lentini (1770-1828)
|
Le 25 février 1828, après une agonie, le père italien Dominique Lentini est rappelé à Dieu. Il meurt en odeur de sainteté. Ses funérailles sont célébrées à Lauria (Italie), dans l'église paroissiale de Saint-Nicolas, pendant sept jours consécutifs. Clergé et fidèles y participent en nombre, tant la renommée de cet apôtre de la charité est vaste. Quelques instants après le décès, on observe un phénomène inexplicable : son corps reste souple et chaud, et exhale un parfum merveilleux. Le teint du défunt reste coloré et l'un des témoins blesse involontairement la peau du bienheureux : du sang frais s'écoule abondamment. Ses yeux s’ouvrent devant le Saint-Sacrement porté par l'un des prêtres bénissant Dominique. La phase diocésaine du procès de béatification est ouverte dès 1842. Déclaré vénérable en 1935 par le pape Pie XI, Dominique est béatifié le 12 octobre 1997 par saint Jean-Paul II. |
En 1125, à l'emplacement actuel du village de Bettbrunn (Allemagne), se trouvait une petite exploitation agricole nommée Viehbrunn. Outre le bâtiment abritant le paysan et sa famille, il y avait un puits servant à donner à boire au bétail.
Le chef de famille, homme pieux et pratiquant, avait une grande dévotion au Saint-Sacrement. Mais sa ferme se trouvait à une longue distance de l'église paroissiale de Tholling, le bourg le plus proche, soit une heure et demie de marche à pied. Aussi lui et les siens rataient beaucoup de célébrations.
Pour remédier à cette difficulté, il lui vînt une idée : dérober une hostie consacrée et l’emmener à la maison. L'homme fit un trou au sommet de son bâton afin d'y placer l'hostie. Puis il part à Tholling où il parvient discrètement à subtiliser une hostie lors de la communion, et à placer celle-ci dans l'anfractuosité de son bâton. Les jours suivants, en surveillant son bétail dans les prés, il plantait son bâton dans le sol et s’agenouillait devant le Saint Sacrement pendant de longs moments.
Plusieurs mois passèrent. Un jour, il lança négligemment le bâton qui contenait le Corps du Christ contre une bête du troupeau qui s’était éloignée. L’hostie tomba par terre et le paysan, profondément navré, s’inclina pour la ramasser.
Mais il est impossible de la soulever de terre, tant elle semble peser un poids démentiel. Au bout de dizaines d'essais infructueux, le paysan court prévenir le curé de Tholling. A son tour, celui-ci échoue dans ses tentatives de ramasser le Saint-Sacrement.
On alla chercher l’évêque de Regensburg, Mgr Harwich, qui se rendit aussitôt à l’endroit du prodige avec plusieurs de ses prêtres. A son tour, le prélat fut incapable de soulever l’hostie de terre. Affolé, il s'agenouilla et promit à voix haute au Seigneur de construire une chapelle à cet endroit. Aussitôt, il put ramasser le Corps du Christ.
Le chantier de la chapelle fut ouvert rapidement. On y conserva la relique eucharistique jusqu'en 1330, date à laquelle l'édifice fut ravagé par un incendie. Seul un des piliers resta intact des flammes. Ce dernier fut placé à l'intérieur d'une nouvelle chapelle bâtie à la fin du Moyen Âge.
Après une jeunesse dissolue, Marguerite, originaire de Cortone (Italie) reçoit la visite de la Vierge Marie, à la suite de laquelle elle se convertit radicalement.
Au soir de sa vie, elle est devenue une grande sainte et une mystique exceptionnelle : on a recours à ses prières, on lui demande d'intervenir dans des conflits civils, on l'invite à s’opposer à un potentat local...
Marguerite a la révélation de sa mort prochaine. Elle s’endort dans la paix du Christ le 22 février 1297. Enterrée dans l’église des Franciscains, son corps y est conservé dans un état d'incorruption totale depuis la fin du XIIIe siècle. Tous les témoins des exhumations successives sont tombés d'accord pour affirmer que le processus naturel de décomposition des chairs ne jouait aucunement pour la sainte.
Le pape Léon X a d'abord autorisé son culte pour la ville de Cortone, puis, en 1623, permission étendue à tout l’Ordre franciscain par Urbain VIII.
Le pape Benoît XIII l'a canonisée le 16 mai 1728.
En 805, les funérailles de Georges, évêque d’Amasra (Turquie actuelle), donnent lieu à des cérémonies émouvantes et superbes. Le clergé et les fidèles y participent de concert. Par sa solennité, la procession funéraire est unique.
Le troisième jour suivant le trépas, le corps du défunt est déposé dans un cercueil. Peu après, les habitants de la contrée sont alertés par les soldats surveillant les alentours : des troupes russes sont apparues à l'horizon. Ces hommes, païens, veulent à coup sûr, envahir le territoire.
On implore le Christ et sa Mère, et on supplie Georges d'intervenir. Mais il est déjà trop tard. Les soldats pénètrent dans Amasra et se précipitent au tombeau de Georges pour le saccager.
Là, une clarté magnifique apparaît, avec, en son centre, le saint, majestueusement revêtu de ses habits épiscopaux. Levant les yeux et étendant ses bras, l'apparition prie Jésus à haute voix de délivrer la ville de ses envahisseurs. Aussitôt, les Russes prennent peur. Certains tombent de leur monture. Tous sentent leurs mains et leurs jambes ligotées par des liens invisibles. Paniqués, ils quittent Amasra sans crier gare.
Né à Orléans (Loiret) vers 687, Eucher devient moine bénédictin à l'abbaye de Jumièges ( Seine-Maritime) vers 714. Sept ans plus tard, Charles Martel le choisit comme nouvel évêque d’Orléans. Là, le saint forme son clergé et sanctifie les fidèles de façon magistrale.
Mais Charles Martel finit par lui chercher querelle. Il le fait exiler à Cologne (Allemagne) puis à l’abbaye de Saint-Trond, près de Liège (Belgique), où il reste prisonnier jusqu'à sa mort, le 20 février 743. Après son trépas, son corps est déposé dans l’église de l’abbaye de Saint-Trond.
Là, on dispose des cierges autour de son tombeau. A la surprise générale, on s'aperçoit, plusieurs heures après, que ces candélabres brûlent sans se consumer.
On dispose alors des hommes en armes pour surveiller entrées et sorties de l'église. Le lendemain, le surlendemain, puis les jours suivants, chacun constate que les cierges ne sont toujours pas entamés !
Un moine a l'idée de recueillir un peu d’huile servant à la combustion des lampes pour en mettre sur la tête d'un frère malade, en invoquant le nom d'Eucher. Aussitôt, le religieux, guéri instantanément, ouvre les yeux et demande à manger.
La bienheureuse Elisabeth Picenardi (vers 1428-1468) voit Jésus et Marie
|
Élisabeth, née à Crémone (Italie), devient religieuse Servite dès sa jeunesse. Sa réputation de sainteté se répand à travers la Lombardie. Sa proximité avec la Vierge Marie la conduit à être considérée comme sa porte-parole. Favorisée du don de prophétie, elle prédit exactement le jour et l’heure de sa mort. En 1468, elle vit ses derniers instants. Allongée sur son lit de souffrance, elle est entourée de ses sœurs en religion. Soudain, son visage change de physionomie, passant d'une expression de douleur à une joie surnaturelle. Une lumière semble entourer sa tête. Un silence complet règne dans la pièce. Élisabeth décrit à présent à haute voix ce qu'elle contemple : auréolés d'une clarté indescriptible, Jésus et Marie lui sourient tendrement tandis que des myriades d'anges jouent une musique céleste. L'instant d'après, elle penche la tête et rend son dernier souffle. Elle vient de naître à la vie éternelle. Le 20 novembre 1804, le pape Pie VII accorde à tout l’Ordre des Servites le droit de célébrer la messe et l’office de la bienheureuse Élisabeth Picenardi. |
Vasco Ricchini, quatre ans, résidant avec ses parents à Agnosine (Italie), jouit d'une santé parfaite jusqu'au soir du 29 septembre 2001. Ce jour-là il est touché par de violents maux de tête. Puis il tombe dans le coma.
Inconscient, il est admis en urgence, pendant la nuit, dans l'unité de soins intensifs de l'hôpital de Bergame (Italie), où il est intubé et placé sous respiration artificielle.
Le 2 octobre, un syndrome de défaillance multiviscérale avec polysérosite est diagnostiqué de surcroît. Il y a danger de mort imminent.
A l'initiative des Sœurs Sacramentines de Bergame qui dirigent l'école maternelle fréquentée par Vasco, tout Agnosine se mobilise. Le 3 octobre, débute une neuvaine à la bienheureuse Geltrude Comensoli, dont une image et une relique sont placées sous la tête de l'enfant, ainsi qu'une image de saint Padre Pio.
Dans la nuit du 3 au 4 octobre, l'état général de l'enfant s'améliore ; celui-ci a ouvert les yeux. Le 5 octobre, les médecins lui retirent l'appareillage qui permettait de le maintenir en vie. Le 11, le miraculé quitte les soins intensifs et le 17 octobre 2001, il quitte l'hôpital, sans séquelles.
Geltrude Comensoli a été béatifiée par saint Jean-Paul II en 1989 et le pape Benoît XVI l'a inscrite au registre des saints en 2009.
En 1953, Antonio Fois, tailleur de pierre italien résidant à Alghero (Sardaigne), est victime d'un accident professionnel au niveau du gros orteil de son pied droit.
Pendant des mois, médecins et orthopédistes tentent de sauver son pied, mais sans y réussir. La plaie se met à suppurer. Bientôt on diagnostique une ostéomyélite. La gangrène fait son apparition, assombrissant le tableau. Les médecins conseillent l’amputation mais Antonio refuse.
Pieux et confiant dans la providence divine, il prie son épouse d'invoquer la vénérable Edvige Carboni, stigmatisée du XXe siècle, dont les fidèles célébraient alors le deuxième anniversaire de la mort, le 17 février 1954.
Sa femme se rend ce jour-là à la messe à l’église Saint-François d’Alghero, où elle supplie Edvige Carboni d'intercéder pour son époux.
Rentrée à son domicile, elle trouve Antonio tout joyeux. Il a défait lui-même son pansement car, lui dit-il, il ne ressent plus aucune douleur. Son pied avait repris une couleur rosée.
Cette guérison, instantanée, complète et durable , a été approuvée par un décret du pape François en novembre 2018. Edvige, la mystique de la Sardaigne a été béatifiée le 15 juin 2019 à Pozzomaggiore (Sardaigne), son village natal.
A copier-coller pour les PPP !