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20 novembre 2024 3 20 /11 /novembre /2024 15:00
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18 novembre 2024 1 18 /11 /novembre /2024 15:00
© Shutterstock/Jes2u.photo
La mort sainte du bienheureux Grimoald de la Purification (1883-1902)

En ce 18 novembre 1902, les religieux passionistes du couvent de Ceccano (Italie)  entourent un jeune novice de 19 ans, frère Grimoald de la Purification, foudroyé par une méningite aiguë.

Les frères connaissent l'enfance de Grimoald, son amour de Dieu, les longs moments durant lesquels, agenouillé, il priait devant un crucifix, ou une image de la Madone, dans l'église de son village natal, où le curé le trouva immobile, les mains jointes, enlevé en extase.

Soudain, son visage devient  aussi brillant que le soleil. Ses yeux, fixés sur un point de la pièce, semblent voir un être invisible.

Il rend son dernier soupir au coucher du soleil, « calme, serein et paisible ».

Au même moment, à des dizaines de kilomètres de là, les parents du bienheureux voient leur fils entouré d'une lumière indescriptible. Il a une allure magnifique et son visage est exempt de toutes marques de souffrance.

Les Passionnistes déclarent bientôt qu'ils ont perdu un confrère mais qu'ils ont acquis un saint. Propos prophétiques... Le 29 janvier 1995, saint Jean-Paul II a béatifié le frère Grimoald de la Purification.

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17 novembre 2024 7 17 /11 /novembre /2024 15:00
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16 novembre 2024 6 16 /11 /novembre /2024 15:00
© Unsplash/Andrey Grinkevich
Sainte Gertrude de Helfta (1256-1301) est saisie par Jésus

Le 27 janvier 1281, après l’office des complies, Gertrude, moniale bénédictine au monastère de Helfta (Allemagne), est favorisée d'une vision extraordinaire.

« Je vis devant moi, témoigne-t-elle, un jeune homme plein de charme et de beauté, âgé d'environ seize ans [...]. Ce fut avec un visage rempli de bonté qu’il m’adressa ces paroles : “Pourquoi es-tu consumée par le chagrin ?” Tandis qu’il prononçait ces mots, il me sembla que j’étais au chœur, dans ce coin où je fais habituellement mon oraison. Là, j’entendis la suite des paroles : “Je te sauverai, je te délivrerai, ne crains pas.” »

L'apparition saisit ensuite la main droite de la sainte et ajoute : « Tu as léché la terre avec mes ennemis et sucé parmi les épines quelques gouttes de miel. Reviens vers moi… » Tandis qu'il prononce ces mots, Gertrude voit se dresser entre sa vision et elle, une « haie hérissée d’épines » s'étendant jusqu'au fond de l'horizon. La sainte comprend alors que cet obstacle végétal symbolise le péché.

Tout à coup, l'apparition empoigne Gertrude sans aucune difficulté, et la dépose à côté d'elle. La religieuse a le temps de voir la main qui la saisit ainsi. Elle porte la plaie de la Passion.

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15 novembre 2024 5 15 /11 /novembre /2024 15:00
© Shutterstock/Christin Lola
Saint Joseph Pignatelli (1737-1811) guérit une jeune religieuse

Plaisance (Italie), 1837. Une rumeur enfle : Catherine Perpenti, une jeune ursuline d'environ 25 ans, du couvent de Marie l'Immaculée de Plaisance, aurait été guérie miraculeusement par l'intercession de saint Joseph Pignatelli, prêtre jésuite espagnol, mort 26 ans auparavant. Sa communauté, liée à la Compagnie de Jésus depuis longtemps, a l'habitude d'invoquer saint Ignace et ses fils.

La guérison de Catherine a eu lieu après des mois de maux de cœur  incurables aux dires des médecins, et d'une toux persistante qui lui causaient des crises de convulsions. On lui administre les derniers sacrements mais son état s'est amélioré brusquement lorsque son entourage se met à supplier Joseph Pignatelli d'intervenir pour elle, et qu'on lui ait fait ingérer un sachet contenant des cheveux pulvérisés du saint.

Le document attestant ce miracle figure parmi les pièces officielles du procès de canonisation de Joseph. Celui-ci est proclamé bienheureux en 1933 par le pape Pie XI. En 1954, son successeur Pie XII l'inscrit au catalogue des saints.

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14 novembre 2024 4 14 /11 /novembre /2024 15:00
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13 novembre 2024 3 13 /11 /novembre /2024 15:00
La Vierge aux anges, 1900, de William Bouguereau. CC0/wikimedia
La Vierge guérit saint Stanislas Kostka (1550-1568)

Envoyé par ses parents à Vienne (Autriche) pour étudier, Stanislas Kostka, issu de la noblesse polonaise, tombe gravement malade à la mi-décembre 1565. Il est hébergé dans la maison d'un sénateur protestant sectaire qui ne tolère même pas la présence d'un prêtre chez lui.

Se sentant mourir, Stanislas demande l'Extrême-onction et le viatique. Il a beau insister ; rien n'y fait. C'est un refus total.

Stanislas prie sans cesse. Une nuit, la Vierge Marie, accompagnée de sainte Barbe et d'anges, apparaît dans sa petite chambre. Marie porte l'Enfant Jésus dans ses bras. Elle place son Fils entre les bras de Stanislas. Son regard est d'une tendresse infinie. Puis elle disparaît.

Au réveil, Stanislas est guéri.

Et, en une sorte d'illumination, il a définitivement trouvé sa vocation : il entrera chez les Jésuites.

Stanislas a été béatifié par le pape Paul V en 1605. Benoît XIII a proclamé sa sainteté en 1726.

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12 novembre 2024 2 12 /11 /novembre /2024 15:00
© Unsplash/Mélanie THESE
L'intervention surnaturelle de saint Jean l'Aumônier (VIIe siècle)

Le patriarche d'Alexandrie, Jean dit l'Aumônier, ou le Miséricordieux (en raison de ses bienfaits pour les pauvres), est mort à Chypre il y a quelques heures. Son corps est inhumé dans un sépulcre où reposent déjà deux autres évêques.

Quelques jours avant sa disparition, une femme, qui avait commis un grave péché, n'osait s'en confesser. Elle alla trouver le saint. Celui-ci lui recommanda de l'écrire et de lui remettre le document sous pli scellé sur lequel il prierait pour elle.

Dès qu'elle apprit la mort du patriarche, cette femme se crut déshonorée et perdue, pensant qu'il n'avait pas eu le temps de prier en sa faveur.

Elle se précipite au tombeau de Jean et là, elle répand un torrent de larmes en criant : « Hélas ! Hélas ! en pensant éviter la confusion, je suis devenue une confusion à l’esprit de tous. » Puis elle supplie le saint de lui révéler où il a déposé l'écrit.

Soudainement, Jean apparaît, vêtu de ses habits épiscopaux, entouré des deux prélats qui reposent avec lui. Il lui dit : « Pourquoi nous importuner ? Pourquoi ne pas nous laisser en repos moi et les saints qui sont avec moi ? Voici que nos ornements sont tout mouillés de tes larmes. »

Il lui remet alors son écrit scellé en lui disant : « Vois ce sceau, ouvre ton écrit et lis. » En l’ouvrant, elle trouve son péché entièrement effacé ; à la place, elle lit ces mots : « A cause de Jean, mon serviteur, ton péché est effacé. »

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11 novembre 2024 1 11 /11 /novembre /2024 15:00
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10 novembre 2024 7 10 /11 /novembre /2024 15:00
© Shutterstock/Doidam10
Les trois hosties d'Aguaviva

Le 23 juin 1475, le père Barthélémy Sane, vicaire d'Aguaviva (Espagne), consacre une grande hostie pour la procession du Saint-Sacrement prévue le lendemain, jour de la Fête-Dieu. Il la dépose ensuite dans le tabernacle du maître-autel de l'église du bourg, à l'intérieur d'une boîte en argent, avec trois hosties plus petites.

La nuit suivante, un incendie effroyable ravage toute l'église. Malgré les nombreux efforts de la population pour circonscrire les flammes, tout est parti en fumée.

Le surlendemain, alors que les décombres fument encore, le vicaire tente de se frayer un chemin vers les quelques débris du maître-autel. Tout est désolation, soupire le prêtre. Pendant trois jours, il fouille comme il peut, espérant retrouver les saintes hosties. En vain : elles restent introuvables.

Après trois jours de recherche infructueuse, il retourne se reposer quelques heures au presbytère, et demande à un enfant de chœur d'Aguaviva de monter la garde devant ce qui reste de la porte de l'édifice jusqu'à son retour.

Peu après, le jeune garçon voit s'approcher de lui trois hommes « à l'aspect vénérable » qui, malgré sa recommandation, s'engouffrent dans l'église. L'enfant de chœur se précipite chez le vicaire qui vient immédiatement en compagnie d'un ami prêtre.

Mais les trois inconnus ont disparu quand ils parviennent sur place.

A cet instant, le regard du père Sane est attiré par « quelque chose » sur la table de l'autel. Il s'approche, muet de stupeur : la grande hostie destinée à la procession est là, pliée en deux ; elle renferme les trois petites. Toutes sont de couleur sang...

L'archevêque de Saragosse,, tenu au courant des faits, ordonne une enquête canonique. Celle-ci aboutit à un résultat positif. Trois phénomènes différents sont consignés dans les rapports : les hosties ont été retrouvées de manière inexplicable ; leur état avait évolué depuis le jour de l'incendie : du sang s'était écoulé de leurs surfaces ; elles sont restées dans un parfait état d'incorruption jusqu'à nos jours. Elles sont conservées dans un reliquaire d'or sur lequel a été gravée l'inscription : « Amor me lo fay fer » (L'amour me l'a fait faire).

A l'été 1475, les habitants d'Aguaviva ont cru que les trois inconnus aperçus par l'enfant de chœur n'étaient autres que saint Pierre, saint Paul et saint Laurent, tous les trois titulaires de l'église, venus eux-mêmes retrouver les hosties perdues.

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9 novembre 2024 6 09 /11 /novembre /2024 15:00
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8 novembre 2024 5 08 /11 /novembre /2024 15:00
© Shutterstock/Jesus Cervantes
Les stigmates de la bienheureuse Marie de la Crucifixion (1706-1745)

Elisabetta Maria Satellico, vénitienne, entre chez les Clarisses d'Ostra Vetere (Italie), à l'âge de quatorze ans. Elle n'est autorisée à porter l'habit religieux que cinq ans plus tard. Très attachée à la Passion du Christ, elle prend le nom de Maria Crocifissa (Marie de la Crucifixion).

Peu après ses vœux définitifs le 19 mai 1726, elle ressent aux mains, aux pieds, dans la région du cœur et autour de la tête, de très vives douleurs.

Un vendredi, elle tombe en extase et voit Jésus toucher son corps. Elle ressent une souffrance indescriptible : les stigmates de la Passion sont apparus sur elle. En même temps, elle éprouve un sentiment de déréliction profond. Elle participe au Calvaire de Jésus sur un mode extraordinaire.

Peu après, c'est la transverbération du cœur : elle a la vision d'un être céleste touchant son côté avec un dard de feu.

Elle est rappelée par Dieu à l’âge de 39 ans. Saint Jean-Paul II la proclame bienheureuse le 10 octobre 1993.

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7 novembre 2024 4 07 /11 /novembre /2024 15:00
© Unsplash/Kelly Sikkema
Saint Vincent Grossi (1845-1917) sauve une enfant

En 2010, un nouveau-né de Pizzighettone (Italie), souffrant d’anémie érythropoïétine de type 2, ne peut recevoir de greffe de moelle osseuse car aucun membre de la famille n’est compatible. La fillette est maintenue en vie par transfusions. Elle est placée en soins palliatifs. Les espoirs de guérison sont nuls.

Une amie des parents, religieuse des Filles de l'Oratoire de Lodi (Italie), invite à prier le fondateur de sa congrégation, le bienheureux Vincent Grossi. La famille de la petite, le personnel soignant de l'hôpital, et les communautés religieuses de la région sont sollicités. Tout le monde se met à prier d'une seule voix pour le salut de la malheureuse enfant.

Après quelques heures, il n'y a aucune amélioration. Certains se mettent à désespérer. Les Filles de l'Oratoire insistent. Le père Vincent va venir en aide.

Elles ont raison. Au lendemain du lancement de la prière, les paramètres physiologiques sont devenus excellents. Les médecins n'y comprennent rien.

Ce miracle est authentifié par un décret du pape François le 5 mai 2015. La béatification de Vincent Grossi est célébrée à Rome le 18 octobre suivant.

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6 novembre 2024 3 06 /11 /novembre /2024 15:00
© Shutterstock/KieferPix
La bienheureuse Christina von Stommeln (1242-1312) guérit un homme

Originaire de Pulheim (Allemagne ), Christina von Stommeln est une béguine de premier plan. Elle est considérée comme une sainte de son vivant.

En 1338, alors que des fidèles toujours plus nombreux se recueillent sur sa tombe, dans le cimetière de Stommeln (Allemagne), le comte Dietrich de Clèves, époux d'une petite-fille de Philippe Auguste, s'y rend à son tour. Il souffre de la goutte au point de ne plus pouvoir marcher. Les médecins de l'époque ne peuvent rien pour lui.

Confiant dans la miséricorde de Dieu, il a depuis longtemps entendu parler de Christina, de ses expériences mystiques et de son pouvoir d'intercession.

Parvenu à Stommeln, il demande au curé de toucher les reliques de la bienheureuse. On les lui apporte. Il s'agenouille et se met à prier dans un recueillement impressionnant.

Puis il touche de ses deux mains les os de Christina.

Aussitôt il sent une force lui traverser le corps et une chaleur l'envahit. Il se relève seul. Il est guéri.

Christina a été béatifiée en 1908.

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5 novembre 2024 2 05 /11 /novembre /2024 15:00
© Shutterstock/Tinnakorn jorruang
Saint Jonas de Novgorod (+ 1470) arrête la peste

Originaire de Novgorod (Russie), Jonas, encore adolescent, prend l'habit religieux. Il est sacré archevêque de Novgorod en 1458.

Peu après, une terrible épidémie de peste s'abat sur la Russie, faisant plus de 200.000 victimes.

C'est alors qu'une icône de la Vierge Marie apparaît mystérieusement dans l'église du monastère de Tver, sur les rives de la Volga.

Mais le lieu avait été transformé en un grand cimetière. Jonas décide de bâtir une église provisoire pour mettre l'image miraculeuse à l'abri.

Le jour d'après la dédicace de cette église, célébrée par Jonas dans une longue et magnifique prière à la Mère de Dieu, on s'aperçoit qu'il n' y a plus de nouvelle victime de la peste dans la ville et aux alentours.

Le surlendemain, c'est confirmé : l'épidémie a miraculeusement disparu.

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4 novembre 2024 1 04 /11 /novembre /2024 15:00
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2 novembre 2024 6 02 /11 /novembre /2024 15:00
© Shutterstock/Billion Photos
La Vierge Marie apparaît à saint Grégoire de Parumala (1848-1902)

Grégoire de Parumala (ou Parumala Thirumeni) est un évêque indien de l’Église orthodoxe malankare. Jeune diacre, encore étudiant en vue du sacerdoce, son maître, le père Geevarghese, tombe gravement malade de la variole. Le futur saint l'assiste jour et nuit, priant sans discontinuité. Mais Geevarghese meurt le huitième jour. Grégoire contracte la variole à son tour. Il doit s'aliter. La nuit suivante, la Vierge Marie lui apparaît au cours d'un songe, vêtue d'habits resplendissants, couronnée, d'une beauté inconnue sur terre. Marie le console de la perte de son ami et maître et lui demande de poursuivre sa formation afin de consacrer le reste de sa vie à Dieu. Grégoire s'y engage immédiatement. La Mère de Dieu disparaît alors mais le saint gardera le souvenir de sa vision jusqu'à son dernier souffle. En 1947, l’Église syrienne orthodoxe malankare a fait de Grégoire le premier saint d'origine indienne canonisé par cette Église. L’Église syriaque orthodoxe le canonise à son tour en 1987.

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1 novembre 2024 5 01 /11 /novembre /2024 15:00
© Unsplash/Vishal Banik
Saint David d’Eubée (vers 1480-1589) et la source miraculeuse d’eau.

David, prêtre orthodoxe grec, grand mystique, est aussi constructeur. Il fait bâtir au milieu du XVIe siècle un nouveau monastère sur l'île d'Eubée (Grèce ).

Après une assez longue absence pour affaires, il découvre à son retour que les ouvriers n’ont pas observé ses consignes. Au lieu de débuter le chantier au sommet d'une montagne, ils ont commencé les travaux près de l'ancienne chapelle de la Transfiguration. Une discussion s'engage entre David et les ouvriers. Ceux-ci expliquent qu'ils ont effectivement désobéi car, au sommet de la montagne, ils n’ont pu trouver une seule goutte d'eau.

David prend alors des ouvriers et des moines avec lui et gravit la montagne. Arrivé à l’endroit qu’il avait suggéré pour le nouveau monastère, il s'agenouille et prie longuement la Vierge Marie.

Puis il se relève, empoigne son bâton à pleines mains, avec lequel il frappe la racine d’un grand arbre. Aussitôt, de l’eau jaillit de façon ininterrompue.

L'eau coule toujours de nos jours. En 1963, un canal a été aménagé pour l'amener dans la cour du monastère Saint David.

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31 octobre 2024 4 31 /10 /octobre /2024 15:00
© Shutterstock/BaanTaksinStudio
Le visage de saint Alphonse Rodriguez (1531-1617) s'illumine

Entré dans la Compagnie de Jésus à 39 ans après avoir été marié, devenu humble portier au couvent de Majorque (Espagne), Alphonse Rodriguez a reçu de Dieu les dons de prophétie et de miracles. En 1617, après quarante-cinq années de vie religieuse exemplaire, une douloureuse maladie finit par avoir raison de sa santé. Il passe les derniers mois de son existence dans sa cellule, alité.

Le 27 octobre 1617, le saint reçoit le sacrement des malades. Il communie avec ferveur, ferme les yeux et semble ailleurs. Son corps est immobile. Est-ce l'agonie ?

Étrangement, Alphonse surprend les religieux présents en se mettant à sourire. Puis son visage s'illumine d'une  céleste clarté . Il va rayonner ainsi trois jours et trois nuits durant. Tous les frères prient à tour de rôle au pied de son lit.

Le 31 octobre, Alphonse revient à lui, prononce distinctement le nom de Jésus et rend son âme.

Il a été béatifié par le pape Léon XII en 1825 ; Léon XIII a proclamé sa sainteté le 8 janvier 1888.

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30 octobre 2024 3 30 /10 /octobre /2024 15:00
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