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6 janvier 2025 1 06 /01 /janvier /2025 15:00
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5 janvier 2025 7 05 /01 /janvier /2025 15:00
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4 janvier 2025 6 04 /01 /janvier /2025 15:00
© Shutterstock/Paolo Gallo
Saint François d'Assise apparaît à la bienheureuse Angèle de Foligno (1248-1309)

Foligno (Italie), bourgade proche d’Assise, voit naître la bienheureuse Angèle en 1248. D'abord mariée et mère de plusieurs fils, elle mène une vie frivole et excessive en tous genres.

Peu à peu, Angèle prend conscience de ses péchés et de son éloignement de la foi. Un jour, tandis qu'elle se souvient de sa vie passée, saint François d’Assise, mort une vingtaine d'années avant sa naissance, lui apparaît.

C'est un choc et un tournant décisif. Le Pauvre d'Assise resplendit d'une lumière surnaturelle. Son regard, doux et pénétrant, fait vaciller Angèle. Désormais, plus rien ne sera comme avant pour elle.

Elle passe de longues heures en prière, distribue ses biens aux pauvres et projette de tout quitter pour prendre l'habit religieux. Autour d'elle, on pense à une crise de folie.

Mais elle perd successivement son époux et ses enfants. Dès lors, plus rien ne la retient dans ce monde. A 40 ans, devenue membre d'un tiers-ordre franciscain, elle change radicalement de vie, devenant en peu de temps l'une des plus grandes mystiques du XIVe siècle, recevant périodiquement la visite de Jésus et de Marie.

Elle a été proclamée bienheureuse par le pape Clément XI le 11 juillet 1701. Le pape François a célébré sa canonisation par équipollence le 9 octobre 2013.

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3 janvier 2025 5 03 /01 /janvier /2025 15:00
© Shutterstock/Zvonimir Atletic
Songe et prophétie de saint Germain d'Auxerre au sujet de sainte Geneviève de Paris (vers 420-502/512)

En 429, saint Germain d’Auxerre, se rendant en Grande-Bretagne pour y combattre l’hérésie pélagienne, fait étape à Nanterre, où il fait la rencontre de la future sainte Geneviève de Paris, qui, à cette date, est encore une enfant.

Peu avant, Germain a fait un songe prophétique au cours duquel il a vu des anges se réjouir de la naissance de Geneviève. Il confie à ses parents que Dieu lui a fait une prophétie au sujet de leur fille : celle-ci aura un destin exceptionnel, et un prix immense aux yeux du Seigneur.

Puis il fit appeler Geneviève et lui demanda si, oui ou non, elle désirait consacrer sa virginité au Christ : elle lui répondit que c’était son vœu le plus cher.

Alors l’évêque aperçut aux pieds de la sainte une pièce de bronze marquée du signe de la Croix. Il la ramassa et la lui donna en lui recommandant de la porter toujours à son cou.

Geneviève suit ce conseil chaque jour de sa vie.

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2 janvier 2025 4 02 /01 /janvier /2025 15:00
© Shutterstock/GEA stock
La bienheureuse Stéphanie Quinzani reçoit les stigmates (1457-1530)

Un jour, la bienheureuse Stéphanie Quinzani, originaire de Brescia (Italie),  membre du tiers-ordre dominicain auquel était rattaché jadis son propre père, tombe en extase de longues minutes.

Le bienheureux Matthew Carreri (+ 1470), frère dominicain de Mantoue (Italie),  qui s'était lui-même offert comme esclave pour racheter d'autres chrétiens détenus, mort en odeur de sainteté, lui apparaît. Le religieux porte les stigmates de la Passion du Seigneur. Stéphanie les observe longuement puis revient à elle.

Quelques instants plus tard, apparaissent sur les mains et les pieds de la bienheureuse, dans une douleur affreuse, les marques sacrées du Christ.

A compter de ce jour, elle fut capable de lire dans le cœur de celles et ceux qui venaient la consulter, parmi lesquels sainte Angela Merici, fondatrice des Ursulines.

Le pape Benoît XIV a béatifié Stéphanie le 14 décembre 1740.

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1 janvier 2025 3 01 /01 /janvier /2025 15:00
© Shutterstock/Francesco Alberti
Les stigmates de la vénérable Thérèse Gardi (1769-1837)

Personne ne connaît Thérèse Gardi, membre d'un tiers-ordre franciscain, y compris à Imola (Italie), sa ville de naissance, jusqu'en 1893. Cette année-là, une italienne de la région, Maddalena Gottarelli, fait un rêve au cours duquel elle reçoit des instructions d'une précision inouïe sur l'emplacement d'un manuscrit égaré : le journal spirituel de Thérèse, écrit entre 1800 et 1837 par son confesseur, le capucin Carlo Francesco Zanini.

L'ouvrage révèle un événement capital en date du 25 juillet 1804. Ce jour-là, Thérèse reçoit les stigmates de la Passion, aux mains, aux pieds, et au côté. Les plaies s'ouvrent presque ensemble. La douleur est extrêmement vive et il manque de peu que la jeune femme s'évanouisse.

Depuis de longs mois, elle méditait chaque jour sur les souffrances du Seigneur et avait ressenti les jours précédents des douleurs aux emplacements où les plaies allaient apparaître spontanément.

Thérèse, humble, effacée, met tout en œuvre afin de dissimuler ses blessures qui saignent abondamment certains jours, comme le vendredi. Ses stigmates sont restés visibles jusqu'à son dernier souffle.

Le pape François l'a déclarée Vénérable le 22 janvier 2015.

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31 décembre 2024 2 31 /12 /décembre /2024 15:00
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30 décembre 2024 1 30 /12 /décembre /2024 15:00

 

© Unsplash/Vanessa Serpas
La bienheureuse Eugénie Ravasco (1845-1900) guérit une fillette

Au début des années 90, Eilen Jiménez Cardozo, fillette habitant Cochabamba (Bolivie), est condamnée par la médecine. Paralysée depuis quatre ans, ses fonctions vitales sont très ralenties et rien ne laisse présager la moindre amélioration, malgré les stratégies thérapeutiques qui sont élaborées pour la sauver.

La famille de la petite est très croyante. Son entourage admire particulièrement Eugénie Ravasco, une italienne morte en 1900, qui consacra sa vie au service des jeunes filles pauvres et des ouvrières, et dont le procès de béatification est alors en cours.

Accompagné de plusieurs prêtres de Cochabamba, la famille et le personnel soignant de l'hôpital prient ardemment Eugénie d'intercéder pour Eilen.

Rien ne change dans les heures suivantes. Mais le lendemain, au début de la prière, la fillette, pour la première fois, depuis quatre ans, se lève toute seule de son lit et se met à marcher, devant les infirmières qui n'en reviennent pas. Le 17 janvier 2002, la commission médicale de la Congrégation pour les causes des saints s’est prononcée de la façon suivante : guérison inexplicable scientifiquement.

Eugenia Ravasco, fondatrice de la Congrégation des Filles des Sacrés Cœurs de Jésus et de Marie, a été béatifiée le 27 avril 2003 par saint Jean-Paul II. Sa dépouille  est exposée dans la crypte de la chapelle de la Maison Mère des Filles des Sacrés-Cœurs, à Gênes.

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29 décembre 2024 7 29 /12 /décembre /2024 15:00
© Unsplash/Josh Applegate
La lumière du Saint-Sacrement (1772)

Le 28 janvier 1772, le village de Saint-Pierre de Paterno, situé à trois kilomètres de Naples (Italie), est le théâtre d’un vol sacrilège : deux ciboires remplis d'hosties consacrées sont dérobées dans l'église paroissiale.

Le 19 février suivant, un jeune homme, Joseph Orefice, aperçoit dans un pré un  scintillement lumineux,  sur la route menant de Naples à Paterno. Le lendemain soir, constatant à nouveau ce phénomène, il en parle à ses parents. Le lendemain matin, Joseph, accompagné de son père et de son frère, partent pour Naples. Parvenus à la hauteur du champ mystérieux, les deux enfants voient une lumière jaillir du sol.

Au soir du 24 février 1772, les villageois, accompagnés de deux prêtres napolitains et du curé du village, se rendent dans le mystérieux champ. Là, les lumières apparaissent aux enfants ; on se précipite vers elle, on creuse le sol, mais on ne trouve rien.

Le lendemain, la moitié du village revient sur place. Cette fois, tous aperçoivent un  grand nombre de lumières  au pied d’un peuplier. Comme la veille, il est impossible d'expliquer ce prodige.

Lorsque les enfants quittent le champ, ceux-ci sont comme  poussés  par une force invisible qui les contraint à revenir sur leurs pas. Une seconde après, cette force les projette par terre,  à la renverse  et une  vive lumière  éblouissante jaillit près d’eux, à côté du peuplier. Sur les rayons de cette splendeur céleste, s’élève une  colombe  qui prend son vol puis disparaît.

Aussitôt on se met à remuer la terre autour du peuplier. Un villageois trouve sur l'herbe un objet rond d'une blancheur éclatante : une hostie intacte. L'un des prêtres découvre quatre hosties en creusant le sol. Il les place dans un ciboire et, d’une voix entrecoupée de sanglots, il entonne un Te Deum.

Les hosties sont restées enfouies sous terre pendant un mois. Quarante d'entre elles ont été ainsi retrouvées sur la centaine qui furent dérobées, toutes en parfait état, malgré le climat hivernal.

Le soir du jeudi suivant, les lumières apparaissent à nouveau près du peuplier. On creuse une nouvelle fois autour de l'arbre. L'un des témoins, retournant la terre avec un couteau, entend un bruit sec : sa lame vient de frapper une boîte, recouverte par une motte de terre. Il l'ouvre et y découvre plus de cinquante hosties, entières et blanches, parfaitement conservées.

Un procès canonique a été décidé par l'archevêché de Naples dont les actes détaillent tous les rebondissements de l'affaire. Le prodige a été reconnu officiellement par le vicaire général de Naples qui a fait placer les hosties miraculeuses dans deux cylindres de cristal pour que les fidèles puissent les vénérer.

Dans l’intervalle qui s’est écoulé entre le vol et l’apparition des lumières, François Jodice, muletier de vingt-sept ans, a vu un soir, dans le champ où l'on a retrouvé les hosties, une  dame  appuyée contre un arbre. Intrigué, il lui a demandé ce qu’elle faisait ainsi, seule, en rase campagne. « Je suis là, lui dit-elle, pour veiller à la garde de mon Fils ! »

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27 décembre 2024 5 27 /12 /décembre /2024 15:00
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24 décembre 2024 2 24 /12 /décembre /2024 15:00
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22 décembre 2024 7 22 /12 /décembre /2024 15:00
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21 décembre 2024 6 21 /12 /décembre /2024 15:00
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20 décembre 2024 5 20 /12 /décembre /2024 15:00
© Shutterstock/Billion Photos
Sainte Dominique de Solos (1000-1073) voit la Vierge Marie

Berger dans sa jeunesse, Dominique, né en Navarre en l'an mil, quitte tout pour se consacrer à Dieu. Il devient prêtre, ermite puis moine bénédictin au monastère de San Millan de la Cogolla (Espagne). Grâce à ses succès pastoraux, il est élu abbé de Saint-Sébastien de Silos (Espagne).

73 ans plus tard, après une vie passée à évangéliser et à prier, il est alité dans l'infirmerie du monastère de Silos où les autres moines l'entourent de leur affection.

Une nuit, la Vierge Marie apparaît dans sa cellule. La scène est d'une beauté sans pareille. La Reine des anges est entourée d'une clarté indescriptible.

Dominique se demande s'il ne rêve pas. Mais, non, il se frotte les yeux et l'apparition est toujours là. Il n'ose dire quoi que ce soit. Marie brise alors le silence pour le prier de ne pas s'inquiéter, en ajoutant qu'il la rejoindra dans trois jours à compter de ce moment.

Dominique est mort trois jours plus tard.

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19 décembre 2024 4 19 /12 /décembre /2024 15:00
© Shutterstock/Nastyaofly
L'Enfant-Jésus apparaît à la bienheureuse Cécile de Ferrare (+ 1511)

Cécile est heureuse en ménage. Son mari, homme pieux et vertueux, est pleinement associée à sa recherche spirituelle. Au bout de huit de ans de vie commune, ils décident de se séparer pour vivre l'évangile sur un mode radical. La future sainte frappe à la porte du couvent des Dominicaines de Sainte-Catherine Martyr de Ferrare (Italie). Elle y est admise.

Elle y mène une vie toute « céleste », faite d'abandon à Dieu, et de grâces extraordinaires. Conjuguant action et contemplation, elle est élue prieure de la communauté et accompagne ses sœurs avec humilité et sagesse.

A la Noël 1511, la sainte est épuisée. Les préparatifs de la fête ont eu raison de ses forces. Elle a tout donné pour le bien-être du couvent et maintenant elle attend le moment où Dieu viendra la chercher.

Dans la nuit du 24 au 25 décembre 1511, tandis qu'elle se recueille dans la chapelle du couvent, elle voit l’Enfant Jésus « comme il était à Bethléem après sa naissance ». Elle tombe en extase. Son visage s'illumine de joie. Les autres religieuses, conscientes que quelque chose se passe, l'observent sans la déranger.

La vision dure plusieurs minutes. Puis tout disparaît.

Cécile meurt quelques jours après.

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18 décembre 2024 3 18 /12 /décembre /2024 15:00
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16 décembre 2024 1 16 /12 /décembre /2024 15:00
© Shutterstock/Anneka
La prophétie de la bienheureuse Marie des Anges (1661-1717)

En 1706, la Savoie et le Piémont italien sont envahis par les troupes de Louis XIV, dans le contexte de la Guerre de Succession d'Espagne. A partir du 14 mai, les soldats français assiègent Turin. La capitale piémontaise va tomber d'un jour à l'autre.

Dans son monastère de Moncalieri (Italie), à une encablure de l'armée française, sœur Marie des Anges prie ardemment pour le salut de Turin et de la région. Elle supplie la Vierge Marie pour obtenir le départ des Français. Sa foi est immense. Au fond d'elle, elle sait que le Ciel l'écoutera. Elle ignore encore comment.

Soudain, elle reçoit un message intérieur, l'informant que le 7 septembre suivant, les forces unies du duc Victor-Amédée et du prince Eugène de Savoie remporteront une victoire définitive sur les hommes du Roi-Soleil.

Cette prophétie s'est réalisée le jour prévu. Pour célébrer cette victoire, la Maison de Savoie a fait ériger une basilique à Turin où les membres de la Maison de Savoie sont inhumés depuis lors.

L'humble sœur Marie des Anges, quant à elle, a été béatifiée le 25 mars 1865 par le pape Pie IX.

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15 décembre 2024 7 15 /12 /décembre /2024 15:00
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14 décembre 2024 6 14 /12 /décembre /2024 15:00

 

© Shutterstock/ArtMari
Dieu fait une révélation à saint Jean de la Croix (1542-1591)

Le Carmel de l'Incarnation d'Avila (Espagne) a comme un air de fête en ce jour de 1573. Les religieuses, avec à leur tête sainte Thérèse de Jésus en personne, attendent la visite d'un prêtre de grande renommée, Jean de la Croix, bien connu dans toute la région.

Le visiteur est annoncé. La « Madre » se rend au parloir où Jean l'attend. Le cœur rendu joyeux par cette visite, sainte Thérèse aime s'entretenir avec lui de la réforme du Carmel espagnol et de spiritualité. Aucun bruit ne provient du parloir ; celui-ci semble vide. Elle frappe doucement à la porte mais personne ne lui répond.

Thérèse pousse légèrement la porte d'entrée d'une main et jette un regard à l'intérieur de la pièce. Ce qu'elle découvre la submerge d'émotion : Jean est en extase, le regard levé vers le haut, les bras ouverts ; ses yeux brillent d'une clarté inhabituelle.

Thérèse s'agenouille à ses côtés et prie, attendant que le visiteur revienne à lui, ce qui arrive après de longues minutes. Après les salutations fraternelles, Jean évoque pour elle, dans une clarté confondante, l'enseignement théologique sur la Sainte Trinité que Dieu vient de lui révéler lors de son extase.

Béatifié en 1675 par le pape Clément X, Jean est élevé sur les autels le 27 décembre 1726 par le pape Benoît XIII. Le 24 août 1926, Pie XI le déclare Docteur de l’Église.

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13 décembre 2024 5 13 /12 /décembre /2024 15:00
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