faudrait une grosse pelle ! 😁
Pour Diane .
Pour Claude .
Pour Sam .
faudrait une grosse pelle ! 😁
Pour Diane .
Pour Claude .
Pour Sam .
SAINT VICTORIN
et ses
COMPAGNONS MARTYRS
Ces saints martyrs, au nombre de sept, étaient de Corinthe et y confessaient leur foi en l’an 249 devant le proconsul Tertius, au début du règne de Dèce. Passés en Egypte sans que l’on sache si c’était de leur propre chef ou qu’on les y eût emmenés, ils moururent pour Jésus-Christ à Diospolis, capitale de la Thébaïde, en 284, sous le gouverneur Sabin et sous le règne de Numérien.
Après les avoir fait souffrir sur le chevalet où ils n’avouèrent rien, le juge Sabin fit mettre Victorin dans un grand mortier où il eut les jambes et les pieds écrasés.
A chaque coup qu’il recevait, il entendait :
- Aie pitié de toi, malheureux, tu peux éviter la mort, en renonçant à ton nouveau Dieu.
Persistant toujours dans sa première confession, Victorin fut assommé. Ses compagnons n’attendaient que leur tour et lorsque l’on montra le mortier à Victor, il répondit tranquillement :
- C’est là où je trouverai le salut et la véritable félicité.
On l’y jeta aussitôt et on le battit à mort. Nicéphore prévint les bourreaux et sauta de lui-même dans le mortier ensanglanté. Claudien fut coupé en morceaux qu'on jeta aux pieds des autres chrétiens. Il en restait trois, Diodore, Sérapion et Papias. Le juge leur dit en leur montrant les membres épars de Claudien :
- Il ne tient qu’à vous d’éviter un pareil traitement ; je ne vous force pas à souffrir.
- Vous nous connaissez mal, répondirent les martyrs ; nous vous prions, si vous avez un genre de supplice plus cruel, de nous y condamner : car jamais nous ne violerons la fidélité que nous devons à notre Dieu ; jamais nous ne renierons Jésus-Christ notre sauveur. C’est de lui que nous tenons l’être, et c’est à Lui seul que tendent tous nos désirs.
Transporté de rage, le tyran condamna Diodore à être brûlé vif, Sérapion à être décapité et Papias à être noyé. Cela arriva le 25 février. Dans les ménées et dans le ménologe de l’empereur Basile Porphyrogenète, leurs noms se trouvent le 25 janvier, qui fut le jour où ils confessèrent Jésus à Corinthe.
SAINT TARAISE
Patriarche de Constantinople l’an 806 (v. 2020)
SAINT CESAIRE
Médecin + en 369
SAINTE WALBURGE
Vierge et abbesse
Je suis fatigué ...... 😩
Non pas de répondre aux taquineries de
Dame LR, ( que je ne raterai pas !) , mais
par la déliquescence de mon pays .
On est muselé, confiné, et sans lumière
au bout du tunnel ........😖
Je suis fatigué aussi, parce que je me suis
tapé l'égout ce matin, puis l'arrachage
d'herbes folles dans l'allée du jardin .
Plus l'habitude de bosser dur ! Mon dos
me rappelle à l'ordre . 🤔
Bref, on s'en fiche, et on passe aux
choses sérieuses .
Pour Diane .
Pour Claude .
Pour Sam .
LES SAINT MARTYRS
MONTAN
LUCIUS
FLAVIEN
JULIEN
VICTORIC
PRIMOLE
RENUS
DONATIEN
Lors de la persécution allumée par Valérien, qui dura deux ans, on comptait parmi les martyrs Saint Cyprien de Carthage.
Le proconsul Galère-Maxime étant mort peu de temps après, Solon continua de persécuter les chrétiens en attendant l’arrivée d’un nouveau proconsul. Les habitants de Carthage, mécontents de ce gouverneur, se révoltèrent. Les esprits s’échauffèrent tellement qu’il y eut des répressions et des morts. Il était normal que Solon cherchât des coupables : il en trouva des tout prêts dans les chrétiens afin de gagner l’estime des idolâtres. Il ordonna donc qu’on en arrête huit, tous disciples de Saint Cyprien, dont la plupart étaient membres du clergé.
Aussitôt arrêtés, les disciples furent mis en prison avec la promesse d’être brûlés vifs ; mais ils prièrent afin que Dieu leur épargnât ce supplice. Ils furent changés de prison dans une encore plus infecte où ils retrouvèrent un prêtre, Victor, et d’autres confesseurs.
Leur frère Renus eut une vision. Il lui sembla voir plusieurs d’entre eux sortir de prison avec un flambeau à la main alors que d’autres restaient dans la prison car ils n’avaient pas de flambeau. Renus nous dit que nous autres étions tous avec un flambeau. Cette vision nous remplit de joie car nous étions sûrs de subir le martyre et d’atteindre la vraie lumière.
Le lendemain, le gouverneur nous fit sortir de la prison enchaînés et ce fut un honneur pour nous de traverser la ville. Ne sachant pas bien où ils devaient nous conduire, les soldats nous traînaient de chambre en chambre pour finir dans une petite salle d’audience. Après un premier interrogatoire, on nous reconduisit en prison où nous eûmes à souffrir de la faim et de la soif. On nous refusait même un peu d’eau après avoir travaillé tout le jour. Le diacre Flavien ajoutait à ces austérités en distribuant la maigre nourriture qu’on nous donnait afin de ne pas mourir. Mais Dieu voulut nous consoler par une vision qu’eut le prêtre Victor qui mérita la couronne des martyrs quelques jours après.
J’ai vu cette nuit, nous dit-il, un enfant dont le visage rayonnait de lumière entrer dans la prison. Il nous en a fait faire le tour comme pour trouver une issue mais il n’a pas trouvé de sortie. Alors l’enfant dit :
- Ne perdez pas courage pendant le peu de temps que vous avez à rester ici. Je suis avec vous. Allez rassurer vos compagnons et dites-leur de ma part qu’ils recevront la couronne de gloire.
Et comme je lui demandais où était le paradis, il me répondit qu’il était hors du monde.
- Veuillez me le montrer, lui dis-je.
- Et où serait le mérite de votre foi, me répliqua-t-il ?
Le récit de ce songe mystérieux nous remplit de joie.
La nuit suivante, Dieu nous donna une nouvelle assurance de sa miséricorde par une vision envoyée à notre sœur Quartilosie qui était prisonnière avec nous. Il y avait trois jours que son mari et son fils avaient été martyrisés et elle ne tarda pas elle-même à les suivre. Voici son récit :
-J’ai vu entrer mon fils dans la prison ; il s’est assis au bord du puits et m’a dit : « Dieu a été témoin de vos souffrances. »
Là- dessus est entré un jeune homme d’une merveilleuse beauté, qui nous a exhortés à prendre courage et nous a assurés que Dieu s’était souvenu de nous.
Le lendemain de cette vision, nous avions terriblement faim, mais le prêtre Lucien, qui devint par la suite évêque de Carthage, nous fit passer des aliments (alimentum indeficiens, ce que Tillemont traduit par Eucharistie) par l’intermédiaire du sous-diacre Hérennien et du catéchumène Januarius.
Après plusieurs mois de captivité et de souffrances, le président nous fit venir pour nous interroger une seconde fois ; mais nous persistâmes tous dans notre première déclaration. Flavien prétendit qu’il était diacre, mais ses amis affirmèrent le contraire, car l’édit de Valérien était contre les membres du clergé uniquement, afin de le soustraire à la mort. Flavien ne fut donc pas condamné comme les autres. Montan, qui fut le premier martyr, réserva la moitié du bandeau qui lui cachait les yeux pour Flavien, assurant que dans trois jours ce serait son tour. Effectivement, trois jours après la mort de Montan, le président envoya chercher Flavien ; mais le peuple disait qu’il n’était pas diacre, alors le centenier présenta un papier au président, signé de plusieurs personnes, attestant qu’il n’avait jamais été élevé au diaconat. Ayant entendu la lecture, le juge traita Flavien de menteur. Flavien soutint qu’il était diacre et qu’il n’avait pas peur de la mort. Voyant qu’il ne se rétractait pas, le peuple demanda à ce qu’il fût étendu sur un chevalet. Le juge ne voulut pas obéir au peuple mais donner sa propre sentence : il le condamna à être décapité. Flavien désigna Lucien pour succéder à Saint Cyprien, puis se bandant les yeux avec le linge de Saint Montan, il se mit à genoux et reçut le coup fatal en l'an 259.
Donatien et Primole moururent dans la prison peu de temps après leur enfermement.
SAINT MATTHIAS
Apôtre (v. 2020)
SAINT PRETEXTAT
Evêque de Rouen + en 588
SAINT ETHELBERT
Roi de Kent et premier roi chrétien d’Angleterre + en 616
SAINT LETARD
Evêque au temps de Berthe d’ Angleterre
SAINT ROBERT D’ARBRISSELLES
Fondateur de l’Ordre de Fontevrauld
C'est une belle journée ensoleillée qui s'annonce avec
7° ce matin et 18° dans l'après-midi .
Ce sont les vacances de la zone B et de ce fait, les bus,
tramways et métro sont moins fréquents donc il
ne faut pas que je perde du temps .
Bonne fête aux Modeste !
Prenez soin de vous et des vôtres !
Mirabelle
Pour Diane .
Pour Claude .
Pour Sam .
SAINTE MILBURGE ou MILDBURTH
De sang royal, cette sainte était originaire de Mercie1, et soeur de Mildrède. Elle se fit religieuse, entra au couvent et fut élue abbesse du monastère de Wenloch dans le comté de Shrop. Elle vécut une vie sainte. La dernière recommandation qu’elle donna à ses religieuses fut de garder l’amour de la paix et la pureté du cœur. Elle mourut vers la fin du septième siècle.
L’abbaye de Wenloch2 avait été ruinée par les Danois. A sa place, on bâtit un monastère pour les Clunistes. Ce furent ces religieux qui découvrirent en 1101 les reliques de Sainte Milburge sous les ruines de l’ancienne église. La translation se fit le 26 mai de la même année et il s’opéra plusieurs miracles selon Guillaume de Malmesbury et Harpsfield.
1. La Mercie était le principal royaume Anglo-saxon de l’Angleterre du Moyen-Age. Elle se situait dans la partie centrale aujourd’hui appelée Les Midlands.
2. Aujourd’hui, de l’ancien Prieuré de Wenloch dans le Shropshire, il ne reste que des ruines. Il fut détruit en 1540 lors de la dissolution des monastères.
SAINT SERENUS
Jardinier et martyr (v. 2020)
SAINT BOISIL
Prieur de l'abbaye de Mailros ou Melros + en 664
BIENHEUREUX DOSITHEE
Moine au VIè siècle
BIENHEUREUX PIERRE DAMIEN
Cardinal évêque d'Ostie, docteur de l'Eglise + en 1072
Malheureusement, je suis obligé de
replacer Sam dans nos prières .
Prions pour que ses nouveaux problèmes
de santé s'estompent au plus vite !
Nous pensons bien sûr à sa maman
Geneviève, son papa et sa soeur Ines .
Pour Diane .
Pour Claude .
Je publierai demain le dernier dessin
reçu ce jour de Claude .
Il va commencer en Mars un nouveau
traitement contre cette saloperie
de maladie de Parkinson .
Des piqûres ..........🙁
Si ça pouvait enfin le soulager !
SAINTE MARGUERITE DE CORTONE
Marguerite est née à Alviano en Toscane. Dans sa jeunesse, elle mena une vie dissolue et sans aucune pudeur.
Un jour, s’étant arrêtée pour regarder un cadavre déjà à moitié rongé par les vers, elle reconnut en lui le dernier homme à qui elle s’était donnée. Ceci la fit réfléchir sur la crainte des jugements de Dieu. Son premier soin fut d’aller demander pardon à son père pour n’avoir pas respecté son autorité et ses conseils. Elle avait alors vingt-cinq ans.
Nuit et jour, elle ne cessait de se repentir des fautes de sa jeunesse et des scandales qu’elle avait occasionnés. Alors elle se rendit la corde au cou à l’église paroissiale d’Alviano pour annoncer à tout le monde que dès maintenant elle allait mener une vie bien réglée et qu’elle se repentait de sa vie passée. Elle se retira ensuite à Cortone où elle fit une confession générale à un moine de Saint François ; mais de violentes tentations continuaient à l’assaillir auxquelles elle résista par de nombreux efforts. Elle voulut alors se consacrer à Dieu en entrant dans le Tiers Ordre de Saint François, ce qui lui fut accordé pour une période de trois ans. Elle mortifia son corps tant qu’elle le put à l’inverse des voluptés de sa vie passée.
Elle mourut le 22 février 1297 après avoir été pendant vingt-trois ans un parfait modèle de pénitence. Le Pape Léon X, ayant constaté la véracité de ses miracles, permit à la ville de Cortone de célébrer sa fête.
En 1625, Urbain VIII étendit cette permission à tout l’Ordre de Saint François. Enfin Benoît XIII canonisa la bienheureuse Marguerite en 1728. Son corps est conservé sans corruption dans l’église de Cortone des religieuses de Saint François, laquelle église a changé du nom de Saint Basile pour prendre celui de Sainte Marguerite
LA CHAIRE DE SAINT PIERRE A ANTIOCHE
(v. 2020)
SAINT THALASSE et SAINT LIMNEE
Solitaires
SAINT BARADAT ou VARADAT
Solitaire
Au début, c'est difficile, très difficile, je ne comprends rien aux explications et aux diagrammes ...
Alors je fais des essais.
Bon, plus ou moins réussis.
Mais je persévère.
Et voilà.
Eh bien, oui, c'est moi qui l'ai fait !
Franchement, je suis contente.
Je ne vous dis pas le nombre de rangs que j'ai dû défaire !
Persévérance, vous dis-je. Le résultat en vaut la peine.
Passez une bonne journée.
LR
Ce monde est devenu fou .....
Il faut se préparer contre les fous .
Alors, c'est vrai qu'il y a les fous déclarés,
mais c'est les salauds qui les guident qui
m'inquiètent ......
Nous n'éviterons pas je pense
l'affrontement direct, puisque rien
n'est fait pour nous défendre .
Pour Diane .
Pour Claude .
SAINT GERMAN
et
SAINT RANDAUT
German était le fils d’un riche sénateur de Trèves. Il fut élevé sous l’épiscopat de Modoald, évêque de cette ville. A dix-huit ans, il distribua ses biens aux pauvres et alla se placer sous la conduite de Saint Arnould de Metz qui, après avoir quitté son évêché et sa charge de ministre d’état, qu’il exerçait sous Dagobert, s’était fait ermite près de Romberg ou Remiremont en Lorraine. Le maître, heureux de trouver un disciple plein de ferveur et de perfection, s’intéressa à lui. German, content de son état, invita son frère Numérien à venir le rejoindre. Ils se retirèrent ensuite tous les deux dans le monastère que Saint Romaric venait de fonder sur le conseil de Saint Arnould son ami. La règle qu’on y suivait était celle de Luxeuil ou de Saint Colomban1. German menait une vie sainte dans ce nouvel endroit. Quelque temps après, il changea de lieu pour se rendre au monastère de Luxeuil alors gouverné par Saint Walbert. Ce saint abbé lui confia la conduite des frères qu’il envoya au monastère de Grandel2, fondé par le duc Gondon, l’un des principaux seigneurs de l’Alsace. Notre saint fut encore chargé de gouverner deux autres monastères, celui de Saint-Ursits et celui de Saint-Paul Zuvert ou de l’Isle ; mais il résidait ordinairement à Granfel.
Boniface, qui succéda au duc Gondon, tint une conduite complètement opposée à son prédécesseur. Comme il n’avait aucun respect pour la religion, il ne suivait que son instinct dur et emporté. Tous les jours, il exerçait des violences contre les moines et les pauvres de son duché. Notre saint vivait ces circonstances avec résignation mais bientôt il plaida la cause des pauvres. Cependant Boniface continuait ses exactions au point de leur ravir les moyens de subsister. Un jour qu’il ravageait des terres et pillait des maisons, German alla le trouver afin de lui demander grâce. Boniface fit semblant d’être touché par les remontrances du moine, mais lorsque German retourna à Granfel, il fut attaqué par une troupe de soldats envoyés par Boniface qui le tuèrent à coups de lance avec le Bienheureux Randoald ou Randaut son compagnon, vers l’an 666. On porta leurs corps à Granfel et on les plaça dans une châsse qui a été exposée jusqu’à le prétendue Réforme. Les chanoines de Granfel, qui avaient pris la place des moines, ont été aussi transférés à Telsberg ou Delmont à cause du changement de religion.
1. Ce monastère construit sur un montagne des Vosges comprenait une grande maison pour les femmes et l’autre plus petite pour les hommes. Il est connu aujourd’hui sous le nom de Remiremont. Il a été depuis changé en un chapitre de chanoinesses qui devaient prouver deux cents ans de noblesse pour y être reçues. Elles pouvaient se marier en quittant leurs prébendes, à l’exception de l’abbesse, qui prononçait les vœux solennels de religion.
2. Ce monastère, que l’on appelle aussi Grandvilliers, est situé dans le diocèse de Bâle, il est plus connu sous le nom de Munster-thal.
SAINT SEVERIEN
Evêque de Scythopolis en Palestine, martyr en 452 (v. 2020)
SAINT DANIEL
Prêtre martyr en 344
et
SAINTE VERDA (Rose en chaldaïque)
Vierge et martyre en 344
BIENHEUREUX PEPIN DE LANDEN
+ 640
Bienvenue sur la Banquise à Iris la petite pingouinette ❤!
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Il y a longtemps que je voulais vous parler du célèbre « Miserere d’Allegri ». Depuis 1639 ce motet est interprété chaque année à la Chapelle Sixtine les Mercredi et Vendredi Saints.
Gregorio Allegri (1582-1652) était prêtre, chantre et compositeur. C’est le pape Urbain VIII qui l’engagea en 1629 pour le chœur de la Chapelle Sixtine. Il garda cette position jusqu'à sa mort. En 1650 il fut élu Maître de Chapelle.
Son « Miserere » fut chanté pour la première fois le 12 avril 1639. C’est un motet à 9 voix divisées en 2 chœurs, un grand choeur de 5 voix (soprano 1 et 2, alto, ténor et basse) et un petit chœur de 4 voix solistes (soprano 1 et 2, alto et basse). Il est chanté a cappella.
Il devint très vite célèbre dans toute l'Europe, bien que le Vatican s’en soit réservé l’exclusivité. La partition n’était pas accessible. On ne pouvait donc l’entendre qu’à la Chapelle Sixtine pendant la Semaine Sainte. Cela resta vrai jusqu’en 1770. Cette année-là, Mozart qui avait alors 14 ans se trouvait à Rome avec son père. Il voulut entendre le Miserere et se rendit donc à la Chapelle Sixtine le Mercredi Saint. Aussitôt après l’avoir entendu, Mozart qui était doté d'une mémoire prodigieuse (dite eidétique) le retranscrivit. Il retourna à la Chapelle Sixtine le Vendredi Saint et put apporter quelques corrections à sa transcription. Mozart ne garda pas la partition pour lui, mais la partagea. Dès lors, le « Miserere d’Allegri » devint accessible à tous.
Madame Zouave
Voilà !
Iris et sa maman sont rentrées
à la maison pour la plus grande joie
de Gustave ! 😀
Vidéo extraordinaire où il découvre
sa petite soeur ! 😍
C'est trop beau .
Pour Diane .
Pour Claude .
SAINT SADOTH1
et ses
CENT-VINGT-HUIT COMPAGNONS MARTYRS
Saint Siméon, évêque de Séleucie et de Ctésiphon2, était mort pour la foi en 514 au commencement de la persécution de Sapor II. Sadoth resta avec son clergé en attendant son heure. Un jour, il eut une vision : une échelle environnée de lumière dont le sommet touchait le ciel, sur laquelle Saint Siméon était appuyé; il lui demandait de monter. Saint Siméon avait subi le martyre l'année précédente. Sadoth comprit que cette année ce serait son tour. Il exhorta alors son clergé à accomplir toutes sortes de bonnes oeuvres et à attendre la mort qui ne tarderait pas à se présenter.
La deuxième année de la persécution, le roi Sapor vint à Séleucie et fit arrêter Sadoth, une grande partie de son clergé, des moines et des religieuses, en tout cent-vingt-huit personnes. On les conduisit en prison où ils restèrent cinq mois. Durant cette période, ils furent par trois fois attachés au chevalet avec des cordes tellement serrées qu'on entendait craquer leurs membres. Le refrain était toujours le même: Adorez le soleil et obéissez au roi et vous serez sauvés; mais aucun ne renia Jésus-Christ et la sentence de mort tomba.
On les lia deux par deux pour les emmener au lieu du supplice. Il y allèrent en chantant des hymnes et des cantiques. Arrivés sur les lieux du martyre, ils chantèrent plus fort en demandant à Dieu la grâce de la persévérance et la couronne du martyre.
Sadoth fut séparé des autres et conduit dans la province de Béthusa où il fut décapité. Ainsi il rejoignit la partie de son troupeau qui était partie avant lui. Son martyre eut lieu en 342, la trente-troisième année du règne de Sapor II. Il n'avait été évêque que neuf mois. Les écrivains chaldaïques, cités par Assémani, disent qu'il était neveu de Saint Siméon Barsaboé.
1. C'est ainsi que les Grecs et les Latins appellent notre saint. Il est nommé Schiadustes par les Perses. Ce mot est composé de schiah, roi, et de dust, ami. Ainsi Schiadustes, signifie ami du roi.
2. Ces deux villes bâties sur le Tibre étaient alors capitales de la Perse.
SAINT TRYANNION
Evêque de Tyr, et plusieurs autres saints martyrs de divers autres pays. Années 304 et 310 (v. 2020)
SAINT ELEUTHERE
Evêque de Tournai et martyr + en 532
SAINT MILDREDE
Vierge et abbesse fin VIIè siècle
SAINT EUCHER
Evêque d'Orléans + en 743
Pour Diane .
Pour Claude .
A copier-coller pour les PPP !