|
Le Saint-Sacrement guérit un petit garçon
|
|
Le jour de Pâques 1461, Madame Jehan Leclerc amena son fils Bertrand, 12 ans, à l’église Saint-Bartholomé dans la ville de La Rochelle ( Charente-Maritime) où ils vivent pauvrement. Le petit Bertrand est muet et paralysé depuis l'âge de sept ans, en raison d’une terrible chute. Au moment de communier, il fait comprendre à sa mère, en tirant sur ses vêtements et en s'agitant, qu’il veut, lui aussi, recevoir le Saint-Sacrement. Elle l'accompagne jusque devant le prêtre, mais celui-ci refuse de lui donner la communion car, explique-t-il, l'enfant n'a pu se confesser préalablement du fait de son mutisme. Bertrand insiste. Il regarde le prêtre avec des yeux trempés de larmes. Devant les supplications du garçon, le prêtre lui donne enfin la communion. Dès que Bertrand reçoit l’hostie consacrée, il est secoué par une force mystérieuse . Fixant sa mère avec une expression de joie sans pareille, il se met à bouger et à parler. Il vient de guérir miraculeusement. Les premiers mots qu'il a prononcés sont également miraculeux : « Adjutorium nostrum in nomine Domini ! » Or, le garçon ignorait jusque-là le latin ! Aujourd'hui, un tableau représentant ce miracle est toujours conservé en bonne place dans la cathédrale de La Rochelle. |
J'aime beaucoup le mois de Mars . 😎
Saint Joseph, priez pour nous .
Pour Caro et Seb
Pour Sandrine .
Pour Jean .
Pour l'abbé Guillaume de Tanoüarn .
Pour Catherine et Fleur de lys .
Pour Madeleine et Claude
|
La statue de sainte Jeanne Bonomo (1606-1670) est miraculeusement protégée
|
|
Jeanne Bonomo, moniale bénédictine, est originaire du village de Asiago (Italie ). Elle vient au monde dans la maison paternelle, située au centre du bourg le 15 août 1606. Douée de charismes extraordinaires (visions, locutions, stigmates...), elle devient une mystique exceptionnelle et une religieuse connue. En 1908, la municipalité de Asiago et le clergé local décident d'installer une statue en son honneur, au cœur du village, devant sa maison natale. Pendant la première guerre mondiale, la localité subit des bombardements intensifs et répétés. Le village est entièrement détruit. En 1918, aucune maison ne tient debout. Seule, la statue de la sainte a miraculeusement survécu aux bombes autrichiennes. Aucune explication naturelle à ce phénomène n'a jamais été avancée. Jeanne a été béatifiée par le pape Pie VI en 1783. |
|
Sainte Thérèse de Lisieux protège le bienheureux Daniel Brottier (1876-1936)
|
|
Ordonné en 1899, le père Daniel Brottier est célèbre en sa qualité de directeur de l'Œuvre des Orphelins Apprentis d'Auteuil. Pendant la guerre de 14-18, il est aumônier militaire, durant la totalité du conflit. Son entourage constate vite un phénomène inexplicable. Sur le front, il partage la vie des soldats en première ligne. Il prend part aux batailles de Lorraine, de la Somme, de Verdun, et des Flandres, sans jamais être blessé ni malade. Il est entouré d'une protection surnaturelle et les poilus lui disent : « Près de vous, Monsieur l’aumônier, on est comme sous une aile. Vous passez à travers les balles. » Lui-même raconte : « Au long de la guerre, j’ai été préservé des pires dangers comme par un miracle perpétuel. J’ai fait en volontaire des missions périlleuses auprès des blessés ou des mourants, empêchant les autres d’y aller parce qu’ils risquaient leur vie… tandis que j’étais sûr d’en revenir. Mes habits ont été troués, déchirés, je n’ai jamais eu de vraies blessures. » En 1919, le père Brottier rencontre son ancien évêque et ami, Mgr Jalabert, et lui raconte son expérience de protection inexplicable. Le prélat ouvre alors son bréviaire et en tire une image de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus derrière laquelle il a écrit ces mots : « Petite sœur Thérèse, gardez-moi mon Père Brottier. » Daniel Brottier a été béatifié en 1984 par saint Jean-Paul II. |
|
Saint Porphyre de Gaza (+ 420) chasse la sécheresse
|
|
Au début du Ve siècle de notre ère, une sécheresse épouvantable touche la Terre sainte. La famine tue des centaines de personnes et les chrétiens sont pris de panique. Saint Porphyre, évêque de Gaza, touché par le dénuement des fidèles, ordonne des prières particulières pour que la pluie revienne. Il fixe aussi un jour de jeûne. Un soir, réunis dans la plus grande église de la ville, les fidèles chantent durant la nuit entière, en invoquant Dieu et ses saints. Le lendemain, une procession est organisée à l'extérieur de la ville, aux tombeaux des martyrs, sous la présidence de saint Porphyre. Lorsque ces gens essayèrent de rentrer chez eux, à l'intérieur de Gaza, cela leur fut impossible : les païens avaient fermé toutes les portes de la cité. Femmes et hommes tombèrent à genoux en suppliant le Seigneur d'intervenir. Porphyre les accompagna de plus belle. Tout à coup le ciel jusque-là ensoleillé se couvrit de nuages, puis une pluie torrentielle tomba pendant deux jours sur la région. Voyant ce prodige, plus de deux cents païens demandèrent le baptême. |
|
Le corps préservé du bienheureux Dominique Lentini (1770-1828)
|
|
Le 25 février 1828, après une agonie, le père italien Dominique Lentini est rappelé à Dieu. Il meurt en odeur de sainteté. Ses funérailles sont célébrées à Lauria (Italie), dans l'église paroissiale de Saint-Nicolas, pendant sept jours consécutifs. Clergé et fidèles y participent en nombre, tant la renommée de cet apôtre de la charité est vaste. Quelques instants après le décès, on observe un phénomène inexplicable : son corps reste souple et chaud, et exhale un parfum merveilleux. Le teint du défunt reste coloré et l'un des témoins blesse involontairement la peau du bienheureux : du sang frais s'écoule abondamment. Ses yeux s’ouvrent devant le Saint-Sacrement porté par l'un des prêtres bénissant Dominique. La phase diocésaine du procès de béatification est ouverte dès 1842. Déclaré vénérable en 1935 par le pape Pie XI, Dominique est béatifié le 12 octobre 1997 par saint Jean-Paul II. |
|
Le bienheureux Constant Servoli de Fabriano (1410-1481) sauve sa soeur
|
|
Surnommé « l'ami de Dieu » dans l'Italie du XVe siècle, Constant, bientôt prêtre et religieux dominicain, aime tendrement ses parents et sa petite sœur. Celle-ci, depuis son deuxième anniversaire (elle a alors neuf ans), souffre d’une maladie invalidante et incurable à l'époque, qui la contraint à être alitée depuis des semaines. Famille, amis, voisins, tous prient pour elle, mais en vain, semble-t-il. Un jour, pris de pitié pour sa sœur percluse de douleurs, Constant invite ses parents à s’agenouiller près de lui, près du lit de la malade. Puis il ferme les yeux et à voix basse, il supplie Jésus de venir en aide à sa sœur dès que possible, tant ses souffrances sont devenues insoutenables. Le père et la mère des enfants demandent maintenant l'aide du Sauveur depuis de longues minutes. La fillette continue de gémir de plus belle. Rien n'y fait... Le corps de la petite est raide et elle ne peut plus parler. Constant se relève. Sa sœur tourne son regard vers lui et, métamorphosée, lui sourit et dit : « Je n’ai plus mal ! » Le pape Pie VII a confirmé le culte de Constant, « l'illustre et brillante étoile du ciel dominicain » en 1821, comme ses contemporains l'ont baptisé. |
A copier-coller pour les PPP !